Sur le plan extérieur, 316 aura été une année d'épreuves.
Après le départ de mon collègue Titus Andronicus à la tête de 5 légions pour porter assistance à la cité de Massalia et une diplomatie particulièrement active en direction de Carthage, Rome a obtenu que Carthage mette fin à ses hostilités directes contre Massalia, avec laquelle notre alliance a été formalisée par un traité.
Mais ce semblent être des hordes de gaulois qui attaquent la cité phocéenne. Les engagements ont été cause de certains succès côté romain mais au prix de lourdes pertes.
En outre, Rome a été victime d'une attaque pirate sans précédent sur ses territoires donnant sur la côte adriatique : la ville d'Aesium et ses environs gravement pillée, de nombreux concitoyens tués ou emmenés en captivité.
L'envoi rapide de 2 légions avec le légat Flavius Publicola à leur tête a permis de vaincre ces barbares et de les repousser. Reste pour Rome la nécessité de les châtier et de sauver nos concitoyens enlevés.
Or des mouvements de populations gauloises vers le sud semblent avoir repris, requerrant toute notre vigilance en Italie même.
Les négociations menées par nos ambassadeurs en Thessalie et en Egypte sont en cours de finalisation. En revanche, pas de nouvelles de nos ambassadeurs dans le reste de la Grèce et à Carthage. Triste
Sur le plan intérieur, ont été adoptées des lois venant en aide aux pécheurs de haute mer et augmentant la solde de certains des citoyens mobilisés.
Des notables locaux semblent mis en cause dans des incidents en Campanie. L'affaire étrusque est sur le point d'être élucidée avec l'arrestation d'un gouverneur que tout semble désigner comme le responsable des attaques et des crimes perpétrés dans ces provinces vassales.
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CORNELIUS SCIPIO Publius
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