Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Rapport 369

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Rapport 369

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MARTIUS NEMESIA Publius
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Inscrit le : Lun 31 Mai 2010

Posté le : Dim 26 Sep 2010

Rapport de sortie de magistrature : Questeur Publius MARTIUS NEMESIA

L’année 369 à été une année où beaucoup à dû être fait. Malgré une très grande discrétion du questeur IULIUS PROCULUS, la bonne entente qui a régné entre le Questeur ARIUS SAXA et moi même à permis d’obtenir un résultat plus qu’honorable. Ce résultat se traduit par une légère reprise de l’économie et un exercice comptable excédentaire. La politique qui à été menée pouvant se résumer en 3 axes :

Impôts et taxes :
Les revenus ayant énormément diminués à cause de l’épidémie, la questure à décidé de mettre l’accent sur une perception régulière des ressources fiscales à la disposition de la République. Une campagne de vérification de la bonne perception a été réalisée dans les provinces du Nord de la République.
Ainsi la chute des taxes sur le sel et sur la capitation a été freinée (-22% et -8%). A l’inverse la reprise du commerce aidant les taxes maritimes et de douanes ont littéralement bondies (+798% et + 100%). Pourtant ces niveaux restent environ deux fois moindre qu’en 366, preuve que l’action entreprit doit perdurer.
La perception de l’as des dieux que l’épidémie n’avait pas permis de prélever à été lui aussi centre de l’attention des Questeurs afin que la loi soit de nouveau respectée et que les Dieux soient de nouveau contentés, on note pourtant une baisse sensible de cet impôt (1 274 000as).
Pour cette année le Samnium devait verser son tribut à la République mais le messager en charge de le rappeler au gouverneur est arrivé trop tard. Les fonds ayant déjà servi la grandeur de Rome. En accord avec le gouverneur Barezzus, la questure ne lui en tiens pas compte à condition que l’utilisation de ses fonds soit détaillée dans son rapport.
De ces chiffres on peut être légèrement rassuré mais, si l’économie repart lentement, il ne faudrait en aucun cas que les efforts entrepris cessent.

Budget des sodalités :
Cette année la Questure à penser bon d’utiliser les sodalités comme moteur de l relance économique. L’année passée elles avaient accepté de grosses concessions. Et cette année bien reste marqué par une activité économique tournant au ralentit, il a été accordé aux sodalités des dotations proche du niveau de celles de 367 (1040000 as).
Suite au débat qui à agité la Curie au milieu de l’année, il est important de noté que la sodalité de Minerve bien qu’une des plus importante c’est contenté de deuxième plus faible des dotations (60 000 as) .
Pourtant considérant que le rôle des sodalités dans la reprise économique ne doit pas être sous-estimé, et la République possédant des liquidités dues aux bons résultats de cette année, il a été décidé d’instaurer une subvention exceptionnelle dénommée « fond pour l'aide à la relance » doté de 1 500 000 as et qui se décompose comme suit :
_ 500 000 as à la sodalité de Minerve en échange d’un plafonnement des taux d’emprunt et de sa garanti à la signature. Ainsi qu’un meilleur accès au prêt pour les gens de condition modeste.

_ 500 000 as à la sodalité de Vesta contre l’engagement d’une chartre de qualité (technique et esthétique) à la construction particulièrement dans le cadre des contrats privés.
_ 500 000 as à la sodalité de Cérès en échange de la promesse d’aider les gens de condition modeste dans la culture de leur terre. Par l’annonce de publique de cours et explication afin que chacun tire de son lopin de terre de quoi vivre.
La Questure remercie d’ailleurs, le procurateur et les maîtres pour l’attitude qui a été la leur lors de la négociation.

Dépenses de l’état :
Les dépenses de l’année ont été moindre que prévues se qui à permis le bon résultat de cette année particulièrement du faite que le remplacement des fonctionnaires ne se fait que doucement et qu’ainsi la masse salarial de la République reste supportable.
Les dépenses militaires sont restées identiques aux années précédentes. La maladie du Nervaque Forestus ayant provoqué un renouvellement automatique du budget de la flotte.
Les dépenses religieuses ont été plus troubles et plus difficile, n’ont pas d’une mauvaise volonté des partis en présence, bien au contraire mais du fait de l’absence du prélèvement de l’as de Dieux de l’année précédente. De plus il est apparu un manquement dans les comptes de la République et du Pontificat entrainant un doute sur le versement du budget religieux pour les années 365 à 368. Dans le doute d’un défaut de versement il a été accordé une compensation pour le manque présumé de 3 440 000 as en plus des 660 000 as de l’année 369. Il est donc officiellement considéré la République comme à jours de tous versements à titre religieux.
Pour ce qui est de l’aide à la plèbe, il est important de souligner le travail remarquable des tribuns de cette année. Aussi l’aide à la plèbe c’est réduit au minimum. Il n’a été demandé que 1 500 000 as à cette fin. Considérant d’ailleurs le niveau exceptionnellement bas de celle ci. Il a été convenu que l’argent non dépensé cette année à cause de l’urgence serait à la disposition des Tribuns de la Plèbe de l’année prochaine (2 000 000 as en sus).
Avec l’aide du Tribunat a été initié cette année l’as des veuves, que la loi prévoyait déjà pourtant depuis un certain temps. Il à donc été mis en place un bureau afin que les veuves puisse faire valoir leur droits. Celles ci, visiblement heureuse de l’application de la loi se sont ruées en nombre au bureau, là encore la dévotion dont le Tribun Carneus à fait preuve pour gérer l’afflux est à souligner. Il a été décidé qu’un versement de 1 as par jour leur serait consentit permettant de vivre décemment et d’encourager même leur consommation. Ce qui revient à une aide de 292 000 as.
Enfin l’édilité a fait état d’une demande égale à celle des années précédentes (demande de 20 000 000 d’as). De plus il a été requis une somme de 580 000 as pour terminer le temple de Mars au Samnium. Et enfin les édiles ont demandé 97 697 as sur le revenu des concessions afin de pourvoir à l’approvisionnement en blé. Toute ces demandes ayant en commun d’avoir été réaliser dans la plus grande entente entre les services de la Questure et de l’Edilité et je tiens à les en remercier.

En conclusion de cette année, il est important de noté que la questure à fait tout se qui lui semblais nécessaire pour permettre la relance de l’activité économique au sein de la République. Des dépenses importantes on été réalisé dans se sens. Malgré cela la Questure est heureuse de pouvoir présenté un excédant de 15 000 000 d’as. Enfin, je tiens à remercier tous les interlocuteurs que j’ai eu à rencontrer cette année pour leur gentillesse, leur patience, et leur sagesse.

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Sénateur depuis 367
Questeur 369-370-371

MARTIUS NEMESIA Publius
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Autorisation : Membre
Nb de messages : 235
Inscrit le : Lun 31 Mai 2010

Posté le : Ven 29 Oct 2010

Citer : Rapport du Questeur ARIUS SAXA - 369

Avant toute chose, il est à regretter la relative passivité du Sénat sur les questions agricoles et fiscales qui lui ont été soumises. La nécessaire relance économique sera de fait passée par les sodalités. Le procurateur a, durant l'année, fait part de l'inquiétude des sodalités concernant la spéculation sur les prix, voire le manque pur et simple de denrées alimentaires. Il faudra craindre des mouvements de révolte motivés par la plus légitime des causes : la faim. Ce n'est rien de moins que la paix civile qui pourrait être menacée.
J'ose espérer que les magistrats et le Sénat de l'année 370 sauront y faire face au mieux.

Ager
La distribution d'ager s'est déroulée de manière satisfaisante. Les demandes patriciennes et plébéiennes ont été à peu près équivalentes.

Concessions
L'édilité a demandé 3 500 000 ares de concessions pour l'année 369. Seuls 1 300 000 ares ont été distribués, faute de concessionnaires !
- Severus Licius : 300 000 ares.
- Aetius Flavius Martialis : 400 000 ares.
- Vanstenus Julius : 500 000 ares.
- Septimus Flavius : 100 000 ares.

Une enquête d'information a été lancée concernant les concessionnaires de l'année 368. Cette enquête a révélé une grande différence dans les sommes reversées à la questure, différence qui peut s'expliquer par la disparité des terres allouées en concessions. Il pourrait être envisagé une modification de la loi appelant à une meilleure lisibilité des concessions.
En outre, une irrégularité involontaire a été constatée, celle-ci ayant permis de clarifier la compréhension de la loi : l'intégralité des sommes perçues lors de la vente du produit de la récolte doit selon la loi être reversé à la questure.

Le dossier concernant la Ligue latine a été transmis à la préture. La Ligue latine devra répondre du retard accusé par le paiement dû concernant les concessions de l'année 367.

Tributum sénatorial
Le prélèvement du tributum a révélé quelques retards du registre des sénateurs, certains sénateurs décédés apparaissant toujours dans les listes. Les noms de ces sénateurs ont été retirés de la liste qui suit :

AQUILIUS CAELIUS Vinicius
ARRIUS MEMOR Appius
BELLANIUS Alexander
COLOMBUS Asimovius
COSCONIUS TIBURTIUS Lucius
GAIUS Antonius
JUVENTIUS MAXIMUS Marcus
MARCELLUS Marcus claudius
RUFIUS CALATINUS Publius
SALLUSTIUS QUARTO Decimus
SALVIUS MUSA Mamercus
SCIPII BELLUM Sextus
SEMPERCLARUS Petrus
SILIUS RIPANUS Marcus
VIRGINIUS CALLIDUS Aulus

En outre, les citoyens FANDEROMUS Caius auctoritas, GOFFINUS Karlus, JULIUS FRONTINUS Sextus, JUNIUS QUARTO Tiberius, SEXTIUS CICERO Caius, qui n'ont pas payé le tributum durant deux années consécutives, devront être rayés de l'album sénatorial ainsi que l'exige la loi.

Négociations sociales
Les négociations sociales, tant avec les maîtres des sodalités qu'avec les tribuns, se sont déroulées dans les meilleures conditions. Cette année a vu mise en place pour la première fois la distribution de l'as des veuves, ainsi qu'une aide financière non négligeable à certaines sodalités à des fins de relance économique.

Collégialité
La collégialité fut exemplaire avec le questeur Martius Nemesia, qui s'est révélé un excellent magistrat. Sa volonté, son efficacité auront compensé l'absence presque totale du troisième questeur, Iulius Proculus, que je n'ai rencontré qu'une seule fois durant toute l'année, et qui n'a me semble-t-il rien réalisé de notable. Je laisse le soin au Censeur de juger des mesures à prendre.

Malgré ce point noir, je suis pleinement satisfait de la tenue de la questure pour l'année 369."

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Sénateur depuis 367
Questeur 369-370-371

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