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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : rapport 356
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rapport 356
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FUGITIVUS Felix
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Inscrit le : Sam 26 Aoû 2006
Posté le : Lun 26 Jan 2009    

Rapport FUGITIVUS , consulat 356 :


En cause de la situation en Etrurie, le consul Aquae est parti sur place avec la légion Junon Victrix. Cette année encore, Rome n’a eu qu’un seul consul en ses murs, ce qui reste dommageable pour le développement d’un certain nombre de dossiers en cours.

La situation en Etrurie : Les mauvaises nouvelles que nous avons reçu de la légion Junon I du légat Colombus, qui fut prise dans une embuscade dans la ville du Renégat Aperlautenus nous ont décidé à envoyer une seconde légion, commandée par le légat Vanstenus. L’annonce de la prise de Voltera par les rénégats déclencha, dès la fin du printemps, le départ d’une autre légion commandée par le consul Aquae ; il prit la direction des opérations.
A la fin de l’été, la situation avait évolué ainsi : le Légat Colombus avait réussi à entraîné une partie de l’armée « rebelle » hors des murs de Voltera. Son deuxième combat contre le traître Aperlautenus fût des plus âpres. Il réussit à défaire la plus grande partie de l’armée adverse, et à tuer celui que l’on nommait le « Rei ». Cependant il perdit la vie lors de cette dernière action et la majeure partie de sa légion.
Le légat Vanstenus parti pour le secourir arriva trop tard. Mais il vengea nos hommes et le légat Colombus en réduisant à néant ceux qui osèrent défier Rome. Des 8000 hommes qui composaient leur troupe, seulement 1500 survécurent, pour être réduit en esclavage.
Toutefois, à l’hiver 356 la situation n’avait guère évolué à Voltera, assiégée par le consul Aquae.

Ce dernier est proposé au poste de gouverneur pour l’Etrurie. Dans le même temps, il sera reconduit légat pour l’année 357, en attente des résultats de son élection. Je remercie le Consul Aquae pour sa détermination à mener à bien le siège de Voltera. Je ne doute pas que les premiers temps de l’année 357 nous apportent de bonnes nouvelles quand à la résolution de ce conflit.

Par contre, la manière dont Rome gèrera la fin de cette révolte comptera pour beaucoup dans notre future relation avec nos provinces.

En politique intérieure, j’ai toujours fait en sorte de respecter la primauté du sénat qui, selon la coutume « décide de la politique intérieure et extérieure de la Cité ». En effet, la Curie doit rester un lieu de débat et de prise de décisions, qui, comme elles impliquent Rome dans son avenir, doivent être décidées par l’ensemble des sénateurs ; car c’est la volonté générale qui prime. Il incombe donc à chacun de faire valoir son opinion afin que d’échanges contradictoires naisse une ligne directrice. Les consuls ont à charge de mener à bien la politique décidée d’ensemble.

Concernant les débats, la relation de Rome avec ses provinces fut abordée à de nombreuses reprises. Cette question est primordiale d’autant plus à une époque ou Rome à accrue son territoire au Sud. Lors d’un débat initié par le sénateur Aemilius, il apparut que les textes concernant l’intégration de nos provinces n’étaient pas complet, concernant pourtant des territoires reconnu de longue date comme de droit Romain et appartenant à l’ager Romanus.
De nombreux sénateurs ont fait apparaître le besoin de « romaniser » nos provinces, en ce sens que en dehors des élites provinciales, la « Romanisation » ne s’étendait pas toujours en dehors des centres urbanisés. De nombreuses questions sont posées. Pour sa part, le consulaire Decinus préconise la création de poste de gouverneurs, lesquels pourraient gérer l’Etrurie et nos territoires du Sud. D’autres solutions apparaissent dans un plus grand investissement des sénateurs à l’égards des provinces. Un savant mélange doit pouvoir s’opérer entre ces réponses, étant acquis qu’il est mieux que plusieurs personnes s’occupent d’un même problème, afin d’apporter des solutions multiples.

Les navarques de Rome ont également fait valoir l’intérêt que nous aurions à construire une politique plus ambitieuse pour la Marine de la République. De fait, le récent conflit en Royaume Anare, et les relations nouvelles que nous envisageons avec la Grèce, donnent l’image d’une Rome qui devra plus souvent agir à l’extérieur de ses frontières. Cette piste est à développer pour que dans le futur nous ne soyons pas confronté à une impréparation de notre marine de guerre lors de conflit où elle pourrait intervenir.




pour ce qui concerne la politique extérieure de Rome, plusieurs axes furent suivis.

L’action en Grèce de l’ambassadeur Justus fut positive. Je le remercie pour sa compétence, et pour son envoie régulier de rapports. En cours donc des discussions au sujet d’un traité d’aide et d’assistance entre Rome et la « Nouvelle alliance hellène » comprenant Athènes, Argos, Corinthe, Delphes, Thèbes, Sparte, le royaume d’Epire ainsi que les membres de la confédération ionienne. Ce traité interviendrait en plus des traités diplomatiques et commerciaux que nous avons avec certains de ces états.
Il apparaît certain que la menace d’une intervention Perse motive la « Nouvelle alliance Hellène » dans sa recherche d’un partenariat avec Rome et que l’acceptation de ce traité demandera à ce que nous prenions nos responsabilités en cas de conflit avec la Perse. Cependant, c’est selon moi un acte à ne pas manquer si nous voulons développer l’influence de Rome à l’extérieur de nos frontières.
A notre l’invitation à participer aux Jeux d’Olympie à l’été 357.


Un autre axe qui me tient à cœur est celui de nos relations avec les peuples de Gaule Cisalpine, et notamment Boiens, Lingons et Anares. Car je crois fortement que le devenir de Rome se jouera également vers le Nord où nous devons non seulement protéger nos frontières, mais également développer nos relations diplomatiques et commerciales. Le récent conflit chez les Anares et le danger qu’il y aurait eu qu’un Monarque hostile à Rome règne sur ce pays (impliquant des troubles jusque chez les Lingons) montre que nous devons accroître notre influence en Gaule.
Afin d’entretenir les meilleures relations avec nos voisins, je préconise d’envoyer pour l’année 357une délégation vers le royaume Anare afin de proposer un traité diplomatique, commercial et militaire. Nous devrons également renouer le contact avec les Boeins et le Roi Cauderix, en renouvelant le traité qui lie nos nations.
En projet avec les Anares, la construction d’une route qui selon un ancien projet de Rome pourrait relier la République à Massalia.

Concernant le Samnium, la situation n’a guère évoluée. Le sénateur Gaius à envoyé un rapport qui fait état de la difficulté pour le chef de la confédération Samnite d’interdire les raids à l’encontre des citoyens romains. Un rapport de nos préfets indique cependant que les raids sont rares pour ces dernières années, et qu’ils n’impliquent aucun mort. Pour l’année 357 il faudra que nos légions sécurisent la frontière avec le Samnium afin d’apporter le soutien de Rome à ses citoyens.

Les dernières nouvelles qui nous sont parvenues de Rhégium font état d’une situation difficile avec l’Archonte Antarès. Des marins de Rome auraient commis un meurtre à Rhégium. L’Archonte Antarès aurait expulsé nos ressortissants. Fut décidé l’envoi du navarque adjoint Carneus, afin de faire les lumière sur cette affaire. Afin d’envoyer un signe de notre étonnement à l’Archonte Antarès sur ces manières peu diplomatique, j’ai demandé à nos navires de quitter le port de Rhégium.


SPQR,

Consul Fugitivus Felix.

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81 ans. - Flamine de Mercure de 346 à 368. Pontifex Maximus de 369 a 376.
5 fois consul. Légat durant la campagne contre Tarente (340-345), campagne chez les Anares; Imperator.
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ORLENUS Arturus
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Autorisation : Membre
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Inscrit le : Sam 14 Juil 2007
Posté le : Jeu 02 Avr 2009    

/UN fonctionnaire un peu honteux d avoir egaré le rapport si longtemps arrive et l'affiche/


Rapport de fin de charge 356 :

En cette année 356, c’est en tant que consul que je suis parti combattre les rebelles.
Ne voulant pas risquer la vie de mes hommes inutilement, j’ai décidé d’établir le siège de Voltera, haut lieu des rebelles.
Un siège ne se gagne pas en deux jours.
Le temps passant, j’ai eu la désagréable surprise de ne pas avoir été contacté par les nouveaux consuls.
Pendant plusieurs mois, j’ai envoyé pléthore de missives vers Rome, sans retour.
J’ai appris par un sénateur que mon idée de devenir gouverneur d’Etrurie avait été soumise au vote.
Je ne le savais même pas.
J’avais annoncé un plan pour sécuriser les provinces du Nord.
Sur ce rapport, aucun retour du consul Fugitivus.
J’ai aussi appris par un de vous, que ma candidature avait essuyé un sanglant revers.
J’accepte sans comprendre ce vote de mes pairs.
L’avenir de nos provinces du Nord était et est en jeu.
Au moment du vote, seul cette question aurait du vous traverser l’esprit.
Pour ma part c’est une marche en arrière.
Allez expliquer aux locaux que le Sénat de Rome a décidé de retirer l’homme qui est parti nettoyer la province des rebelles, l’homme qui a commencé la reconstruction de la province, sans raison politique.
Le Sénat en a décidé ainsi, je me range à son avis.
Quoi qu’il en soit, le printemps est arrivé et sans ordre du Sénat et de nos consuls, j’ai décidé de forcer le siège car j’agissais sans statut légal.
Cette situation m’a profondément mis mal à l’aise.
Une fois la ville prise et l’ordre rétabli j’ai décidé de rentré à Rome avec mes hommes.
J’ai appris à Castrum Novum que j’avais été nommé légat, un peu tard surtout que je suis revenu en plein été.
Mais ce sont les aléas de la vie, qu’il en soit ainsi.
Je profite de l’occasion pour prévenir nos questeurs que je tiens à rendre à la République la terre des traîtres d’Etrurie, pour augmenter l’Ager Publicus.

A ce rapport je joins deux missives que j’ai envoyées au Sénat alors que je combattais en Etrurie

« Confrère.

Colombus est mort pour Rome.
Avec courage ses hommes ont luttés jusqu’au bout.
Une dernière offrande a été faite par le légat défunt : la mort du Rei de foutre.

C’est un grand jour pour notre République.
Colombus est un exemple de citoyenneté et de dévotion.

Aujourd’hui il nous faut préparer l’après « Rei ».
La situation reste difficile et c’est pour cela que je préfère prendre les devants et agir des à présent.

Pour cela j’ai besoin de la confiance de mon confrère et du Sénat de Rome.

Je propose la création d’une nouvelle cité dans la province de Voltera pour honorer le dévouement du courageux COLOMBUS.
Je propose de lui donner le nom de COLOMBA.
J’attends de Rome un retour sur cette proposition, proposition qui n’est pas unique.

3 de nos provinces ont été frappées de plein fouet par la révolte du REI
Cette zone de notre République a déjà été la proie à la rébellion.
Après ce premier avertissement, rien n’a été fait.
Il est de notre responsabilité de mettre fin à cette situation, dangereuse pour notre Respublica.
Un malade mentale frappé de mégalomanie et c’est 3 de nos provinces qui basculent dans la pénombre.

Imaginez les conséquences désastreuses dans l’hypothèse ou au Nord comme au Sud de Rome, 2 hommes décident de se soulever contre la République.

Imaginez le message que nous avons fait passé aux hommes désireux de mettre à bas notre Sénat si nous ne faisons toujours rien ici.

Imaginez sénateurs, imagine consul.

L’instabilité permanente n’a rien de bon pour Rome.
En ce moment, 3 de nos provinces sont dans le désarroi.
La peur règne ici.
Les hommes partent.
Les travaux des champs sont délaissés.
Les structures locales ne sont plus.
L’impôt voit son chiffre baissé et sa récolte rendue impossible.

Résultat : les caisses de Rome en pâtissent.

En ce moment 3 de nos provinces sont plongées dans les ténèbres de la violence.
Rome a déboursé des sommes faramineuses pour levé des légions et rétablir l’espérance d’un jour meilleur.
Rome va débourser de belles sommes pour reconstruire ces provinces dévastées.

Résultat : les caisses de Rome en pâtissent.


Il est temps d’arrêter le gaspillage en stabilisant la zone de façon durable.

Il est temps d’offrir à nos provinces la paix.

Il est temps de prendre nos responsabilités !

Il est temps d’agir !


Je te propose de mettre en place un plan d’urgence d’après REI.
Je propose de mettre en place un encadrement particulier pour les provinces sinistrées.
Un plan quinquennal d’action.

J’explique mon plan.

Je propose la création d’un poste de gouverneur exceptionnel ayant compétence sur les provinces d’Arezzo, de Populonia et de Voltera.

Avec l’aide des préfets, ce dernier remettra sur la bonne via nos provinces.

Ce dernier devra œuvrer avec les élites locales pour restaurer la paix civile.

La restauration de la sécurité par la mise en place de milice efficace au service des populations.

Ayant déjà commencé ce travail, je soumets au Sénat ma candidature.

Je demande au Sénat d’agir pour le bien de nos provinces et de ne pas se perdre dans de longues joutes orales qui nous ferons perdre un temps plus que précieux.

Je demande au Sénat d’agir pour les peuples de nos provinces qui font peine à voir.

Agissons contre l’infamie !

Agissons contre le désordre !

Agissons pour Rome !

Agissons pour nos provinces !

Agissons !!!

AQUAE FLAVIAE Viriato, légat de Junon Victrix, flamine de Junon, consul de Rome."





« Patres.

L’heure est au bilan en ce qui concerne l’Etrurie.

Le REI n’est plus.

Grâce au courage de JUNON I et de son légat, le sénateur défunt COLOMBUS, ce traître ne souille plus la surface des vivants.

J’insiste sur le courage du légat COLOMBUS dans le succès de cette campagne.

Que Rome honore cet homme.

Que la plèbe soit informée de son action valeureuse en Etrurie.

Toutefois, je tiens à alerter le Sénat sur une missive du légat COLOMBUS, en ce qui me concerne, la dernière reçue.

Le Roi FRADETIX aurait été un allié fidèle du REI.

Pour ma part, je rejoins l’avis du sénateur COLOMBUS car l’armée du REI était principalement composée de gaulois venu du pays Lingons.

Que les consuls de Rome et son Sénat nous éclairent rapidement sur la position du Roi FRADETIX pendant cette révolte.


Le REI n’est plus mais son esprit subsiste !
Les principaux soutiens du REI lui survivent.
Les élites locales et moi-même essayons de dénouer ce sac de nœuds.

J’informerai le Sénat le cas échéant.

Le délaissement de Rome pour ses provinces favorise la montée en puissance des rébellions.

Pour ma part je tiens à manifester officiellement mon étonnement face au peu d’intérêt manifesté par les représentants de notre République en ce qui concerne l’après REI.

J’espère que cela est réfléchi.

L’histoire est un perpétuel recommencement.

Combien de révolte en Etrurie par le passé?

Quelles en étaient les causes ?

Quelle était la cause de cette révolte organisée par ce REI ?

Je laisse le Sénat réfléchir à cela.

Pour ma part je regrette cette situation.

La province d’Arezzo est pacifiée !
Déstabilisée par le REI, aujourd’hui cette zone est a nouveau sous contrôle.
Je tiens à relever le comportement exemplaire du préfet d’Arezzo pendant cette campagne.

Je tiens à manifester ma gratitude au légat VANSTENUS pour sa dévotion totale lors de ces événements.

Executant des taches parfois ingrates mais on ne peut plus utile dans ce genre de situation, le légat VANSTENUS a toujours agit pour le bien de la République, délaissant totalement tout intérêt personnel.

Que le Sénat de Rome en soit informé.

Que la plèbe sache qui est le sénateur VANSTENUS.



Voltera est prise !

C’est dans un esprit de sauvegarde de la ville et des populations locales que j’ai refusé de donner l’assaut rapidement.

Essayant de faire entendre raison à l’armée du REI réfugié dans la ville, j’ai décidé de mettre en place le siège de la ville.

Ce dernier a été long mais le résultat est la, Voltera est libérée de l’infamie rebelle.

Les rebelles avaient dans l’esprit de mettre à mal nos forces et de détruire tout ce qui était de loin ou de près, rattaché à Rome.



J’ai commencé le siège accompagné de la légion du légat VANSTENUS, puis seul avec JUNON VICTRIX afin de terminer accompagné d’une deuxième légion envoyée par Rome.

Le printemps et l’enlisement de la situation m’a poussé à agir avec le retour du beau temps.

Une tempête soudaine et dévastatrice a donné le feu vert pour commencer l’attaque finale.

Voltera est composé de 3 portes, Nord, Sud, Est.

La muraille Ouest a souffert de la tempête et j’ai décider de faire pilonner cette zone afin d’affaiblir cette partie de la muraille.

J’ai lancé mes légions sur la façade Ouest de la cité et sur la porte Sud en fin de matinée.

Prenant l’occupant par surprise, mes hommes ont rapidement progressé à l’interieur de la ville malgré une résistance féroce des rebelles.

Gagnant domus par domus, ruelle par ruelle, la ville est tombée en début de soirée grâce aux courages des légions romaines.

Parlons chiffres :

1360 morts et environ mille blessés pour la République.

8000 morts chez les rebelles pour un millier de prisonnier.


Ce que nous avons découvert dans la ville dépasse l’entendement.
Au quatre coin de la cité nous avons découvert des charniers.
Tous les pro-Rome ont été exterminés par les hommes du REI.
L’interrogatoire de certains prisonniers le confirme.
D’après nos estimations plusieurs milliers de morts, entre 3000 et 5000 personnes innocentes massacrées.
Une vision d’horreur, un avertissement à la République.


Désormais l’heure est à la reconstruction.

La ville est totalement dévastée.

Les rebelles et le siège en sont la cause mais pas seulement.

Une terrible tempête a totalement dévasté la ville.

Après son passage une vision apocalyptique : une ville sans une habitation correcte.



J’ai fait chiffré les dégâts accompagné du préfet de Voltera, pour ce qui concerne uniquement la ville de Voltera.

Tempête : 391 663 as

Siège : 910 000as

Total :1 301 663as.



Je demande aux consuls de tout faire pour débloquer cette somme au plus vite pour le bien de la province et de sa capitale.

Le préfet est prêt a reconstruire Voltera dès demain.


Ma mission à Voltera est désormais terminée.

C’est avec le sentiment du devoir accompli que je rentre à Rome.


AFV »

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Officier de l’Ordre de Cincinnatus

Censeur 363-364-365-366-367- 368-371-372
Consul 358-359-360-362-369-370
Preteur 353-376
Edile 352-373
Questeur 351
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