| Ambassades, missions, rapports ... 355 |
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Décinus Mairus
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 Posté le : Mar 16 Sep 2008 |
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Voici la situation sur les ambassades, missions diverses et leurs reconductions :
- Epire : sénateur Simonus Jeromus est reconduit des ses fonctions
- Carthage : nomination en attente
- Egypte : sénateur Brutus reconduit dans ses fonctions
- Samnites : nomination en attente
- Lingons et Anares : sénateur Flavius reconduit dans ses fonctions
- Boiens : pas d'ambassadeur officiel
- Grèce : missions officielle mené par le sénateur Justus
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Ambassadeur de Rome en Egypte 362...
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Consul 351 - 353 - 354 - 355 - 357 - 358
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Décinus Mairus
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Posté le : Mar 16 Sep 2008 |
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Par décision consulaire, dans le cadre du conflit en territoire Anare, il est décidé de reconduire le consulaire Fugitivus, Primus Legatus et le consulaire Publicola comme légat.
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Décinus Mairus
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Posté le : Sam 20 Sep 2008 |
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Rapport sur les circonstances de l’incendie qui ont couté la vie à notre ambassadeur Ovatorius à Carthage :
Les faits :
Un terrible incendie a ravagé l'ambassade romaine de Carthage. L'ambassadeur Ovatorius après avoir vaillamment sauvé sa famille des flammes a péri, englouti dans l'incendie.
Résultats de l’enquete :
Les autorités carthaginoises ont menées l’enquête sur cet incendie. Un citoyen romain a par ailleurs participé une partie de cette enquête. Les conclusions excluent la thèse criminelle. Il semblerait que le feu ait pris depuis la cuisine où un esclave a probablement accidentellement déclenché l'incendie. Le feu a ensuite été terrible, la sécheresse du climat et la présence d'un petit vent ont fait le reste. Toutes les personnes qui n'ont pas su sortir dans les premières minutes du sinistre y ont laissé leur vie. L'ambassadeur a bravé à plusieurs reprises les flammes pour sortir sa famille du brasier et a finalement succombé alors qu'il ne restait plus personne.
Les autorités carthaginoises ont présentées des condoléances officielles à la République Romaine. Elles s'engagent par ailleurs à reconstruire elle même l'ambassade romaine à Carthage.
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Décinus Mairus
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Posté le : Dim 21 Sep 2008 |
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Situation militaire
Voici notre situation militaire cette année
- 1 légion dans le sud
- 1 légion dans le nord
- 1 légion à Rome
- 2 légions en terres anares
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Décinus Mairus
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Posté le : Dim 21 Sep 2008 |
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Nominations de nouveaux Préfets :
Nombre de préfets arrivant au terme du mandat légal possible, le consulat a procédé à de nouvelles nominations. Voici les provinces ayant dès à présent un nouveau préfet :
- Voltera
- Populonia
- Vetulonia
- Cosa
- Tarquini
- Saturniae
- Spoletium
- Sabine
- Vosques
- Aesium
- Marses
- campanie
- Arezzo
- Perouse
Les autres nominations interviendront sous peu !
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Décinus Mairus
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Posté le : Dim 21 Sep 2008 |
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Rapport de situation provinciale :
Voici un résumé de la situation dans certaines de nos provinces.
Ce résumé fait référence autant à la situation actuelle qu'aux différentes actions s'étant passé durant les dernières années de chaque mandat préfectoral.
Aesium : le préfet est plutôt satisfait pour sa province, avec l'anéantissement presque total des pirates Illyriens et le commerce venant de l'autre côté de l'Adriatique sa province respire. La nouvelle "colonie" de Castrum Novum, près de la frontière samnite, contribue même à la sécurité au sud, qui était jusqu'à maintenant un des pricipaux problèmes.
Marses : la situation n'est pas reluisante. La province n'a toujours pas pansé les blessures affligées par Tradamos et le peuple se sent à l'abandon. Nombreux sont ceux qui citent en exemple le temps qu'il a fallut à Rome pour régler ce problème de brigandage. Outre cela, la province espérait voir plusieurs infrastructures s'ériger mais rien. Bref la confiance de la population est haut plus bas.
Campanie : le fait le plus marquant a été l'intervention de nombreux sénateurs en Campanie dans le cadre d'arrestation pas toujours très claire. Ces arrestations ayant été faites sans collaboration avec les autorités préfectorales. Le préfet a du, tant bien que mal, justifier tel arrestation ou la présence de telle légion sans toujours savoir au juste ce qui se passait.
Arezzo : sans être encore en rébellion ouverte la circonscription d'Arezzo se soucie de façon générale comme d'un guigne de l'autorité préfectorale, la faute à une corruption et une inefficacité qui se poursuit.
Les provinces étrusques : les diverses provinces étrusques subissent les mêmes problèmes, je ne ferais donc pas de différence entre elles dans ce rapports. Elles s'inquiètent du vent de mécontentement qui souffle chez elles. Les rumeurs de conspiration chez elle venue de Rome leur fait craindre le pire dans les prochains mois et renforce leur conviction comme quoi il va se passer des choses graves et pas très joli.
Spoletium : la loyauté des administrés pour Rome diminue ... ce n'est pas qu'ils prendraient les armes contre la capitale, mais une bonne partie de la province a encore de fortes sensibilités Ombriennes. Les montagnards des Apennins sont notamment indécrotablement Ombriens, au point qu'ils préfèreraient abandonner la citoyenneté latine pour réintégrer l'Ombrie.
Cette province manque de moyen. Le peuple devient de plus en plus indépendantiste. Ce sentiment naissant vient de l'impression que Rome ne s'intéresse point à eux. Rome n'a jamais vraiment investi dans cette région. Il manque des infrastructures civiles et religieuses. La population n'a jamais ressenti la victoire du sud. Elle ne se sent pas plus riche et n'a pas eu d'aide pour les efforts consentit pendant cette période.
Calabre : La situation est assez trouble dans cette région. Ceux qu'ont appèle les Ombres ont été aperçues à de nombreuses reprises toutefois sans commetre d'exactions. Par ailleurs, une rumeur comme quoi le fils d'Hoplites ne serait pas mort court toujours.
Bruttium : le sentiment à l'égard de Rome est toujours aussi difficile à percevoir car il est partagé entre de l'indifférence et de la fascination. Croto est quant à elle toujours aussi agité.
Conclusions :
Comme vous pouvez le lire, la situation dans nos provinces n'est pas des plus réjouissante !
Les investissements de Rome en Aesium sont une vraie réussite et seront un atout consiédrable pour l'avenir notamment dans de futurs actions en direction de l'Illyrie et des nations frontalières.
L'abandon de citoyenneté de certains habitants frontaliers de l'Ombrie a été confirmé par d'autres biais. Un rapport fera état de cette situation un peu plus tard
Au vue de ses premiers rapports, je préconise la nomination urgente d'un gouverneur au nord afin de représendre la situation en main et soutenir nos préfets à restaurer leur autorité. Nous ne sommes pas à l'aube d'une rebellion mais c'est ce qu'on pourrait appeler les premières étincelles avant un grand feu !
Le sud nécessite aussi la présence d'un gouverneur compétent afin de prendre les mesures pour ancrer les provinces du sud dans la culture romaine. Une vraie politique de romanisation est plus que nécessaire dans ces provinces !
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Décinus Mairus
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Posté le : Mer 24 Sep 2008 |
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Voici un rapport en provenance des missions consulaires actuellement en mission hors de nos frontières, que j'avais envoyé fin 353 :
La Pannonie à l'Est de l'Illyrie :
Le voyage aller s'est relativement bien déroulé jusqu'en Illyrie. Les 3 chevaliers ont traversés la province sans problème, et se sont enfoncés à l'intérieur des terres, vers la Pannonie ou vivent les Daces.
Ces derniers forment un peuple proche des Thraces qui occupent la rive occidentale de la mer noire. D'après les Equites, si Thraces et Daces n'étaient pas aussi divisés, ils pourraient aisément gouverner le monde, tant ils paraissent nombreux et forts.
Les Daces font partis selon eux des plus braves des peuples, et s'apellent entre eux les Loups, ce qui leur fait un point commune avec les Romains. Et en effet les Grecs usent souvent de mercenaires Daces dans leurs campagnes.
Néanmoins ils n'ont pas spécialement besoin des Grecs pour s'aguerrir et s'enrichir.
Il apparait comme certains qu'ils de plusieurs mines d'or et d'argent dans ses montagnes, plus au nord encore que la Pannonie.
Les Daces sont divisés en plusieurs tribus ou clans, un peu comme les Gaulois, mais de plus petite tailles.. Ces clans sont liés par des alliances qui varient assez vite, et il arrive qu'ils se fassent la guerre. A la guerre, ils n'ont que très peu de cavalerie, mais sont de redoutables combattants à pieds. C'est un Roi qui fait aussi office de Druide qui commande à ses aristocrate, des cavaliers, et aux fantassins, des paysans soldats très robustes.
Ils disposent de leur propre langage, très difficile à apprendre, mais on trouve dans la plupart des clans quelques hommes parlant un sabir grec assez intelligible. Les Daces commercent beaucoup avec les grecs situés au Sud de leurs terres.
Ils utilisent d'ailleurs très souvent la monnaie des Grecs pour leurs affaires, si bien qu'il serait possible de commercer avec eux si des produits Romains les intéressaient, ou que des produits Daces nous intéressaient. Mais cela n'est pas le cas, leur commerce avec la Grèce est bien plus facile et pourvoit à tous leurs besoins, quand à leurs produits ils n'ont rien d'extraordinaire. A part l'achat de récoltes en cas de famine en Illyrie, le commerce parait très compromis.
Ils pourraient en effet approvisionner quelques provinces, car leurs terres sont assez riches et assez bien mises en valeurs, pour des terres barbares.
Quant à leur religion, elle a l'air assez complexe, mais on ne peut y être initié qu'à travers des mystères, et ils ne sont accessibles qu'aux Daces. Vue de l'exterieur, les Roi-Druides officient, et la doctrine de leur foi est l'existence de deux mondes, le présent et un autre ou leur âme ira après leur mort, un monde ou certain Zalmoxis les attends. Cette religion interdit aux Daces de boire du vin, et aux prêtres de manger de la viande.
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Décinus Mairus
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Posté le : Mer 01 Oct 2008 |
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Rencontre avec une délégation istrienne :
Une délégation venue d’Istrie (province voisine au nord de l’Illyrie) composé d’une douzaine de notables, envoyés par le Conseil de Senia, se sont présentés afin d’aborder un contentieux avec Rome.
Objet du contentieux : les marchands romains et épiriotes considèrent que l’Istrie appartient à Rome alors que Rome n’a aucune maîtrise sur l’Istrie.
Les istriens se sont montrés très énervé face à cette situation qui asservit leurs terres à la République romaine dans l’esprit de leurs voisins alors qu’il n’en ai rien.
Après recherche, ce contentieux provient du traité avec l’Epire qui intègre maladroitement l’Istrie à la République Romaine. Du coup, les marchands romains et épiriotes commercent avec les istriens comme s’ils avaient à faire à des romains. Le commerce étant plus avantageux au niveau des taxes.
Les istriens sont repartis très énervés. Une délégation diplomatique d’envoyés consulaires a donc été envoyé sur place afin d’établir les prémices d’échanges diplomatiques jusqu’à la nomination d’un ambassadeur romain qui sera chargé d’établir un traité avec l’Istrie afin de normaliser nos relations avec cette province.
Notre ambassadeur en Epire a également été averti de cette situation afin que la correction soit faites dans le prochain traité qui sera signé entre l’Epire et Rome.
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Décinus Mairus
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Posté le : Mer 01 Oct 2008 |
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Rencontre avec une délégation ombrienne :
Voilà plusieurs années qu’une rencontre entre Rome et l’Ombrie aurait du se tenir. Après recherche, il s’avère que la rencontre entre les consuls Fugitivus et Septimus et l’Ombrie n’a pu se faire.
Ce retard donc a été rattrapé cette année par l’intermédiaire du sénateur Drissus qui a organisé une rencontre entre le Consul Décinus et Herrenius d’Ombrie.
Voici une synthèse des propos d’Herrenius concernant l’Ombrie et sa situation :
Notre province, en tant qu'alliée, a conservé ses institutions. Nous nous organisons en villages, dirigés par des chefs. Les grandes décisions sont prises par un conseil élu régulièrement dont je fais partie et qui siège à Igovium. Les villages en répondent à leurs chefs pour tout ce qui les concerne, quand un conflit ou une décision importante implique plusieurs chefs ou l'Ombrie dans son ensemble c'est notre conseil qui doit s'exprimer. Comme tu peux le constater ce système n'a pas de roi ni d'équivalent de vos consuls, nos décisions sont laissées à la majorité du conseil, y compris en cas de nécessité le choix d'un chef de guerre pour mener une armée.
Notre vie est simple, l'Ombrie est une terre belle mais ingrate et nos ressources sont juste suffisantes. Un peu de céréales, pas mal d'élevage. Nous achetons ce qui nous manque le plus, vin et huile, avec notre artisanat ou notre bétail. Ce sont à peu près tous les échanges que nous avons avec Rome.
Dans le domaine religieux nous avons nos propres dieux, assez proches des vôtres. Mais certains n'ont pas leur pendant chez nous et nous avons en quelque sorte adopté quelques compléments, ainsi nous adorons Cérès, la protectrice des cultures, qui était inconnue sur nos terres d'éleveurs.
Pour la politique comme tu l'as dit les liens avec Rome sont solides mais distendus, nous sommes alliés et nous répondrons aux demandes de Rome mais nous sommes fondamentalement un peuple de montagnards, nous nous satisfaisons de notre solitude.
Concernant la question principale qu’est l’accès à la citoyenneté, voici la position de l’Ombrie :
Nous souhaitons rester Ombriens et refuserions la citoyenneté si le Sénat nous la proposait. Nous sommes un peuple fier et indépendant, vous nous jaugez peut-être à l'aune de nos cousins du Spoletium mais c'est une erreur, il y a longtemps que nous avons pris des chemins différents. Nous sommes des gens de collines et de montagnes, tu sais comment ils sont : attachés à leur liberté et à leur mode de vie.
Non, nous sommes amis et fiers de l'être, mais nous ne désirons pas être citoyens.
Une longue discussion et de multiples propositions ont été faites de part et d’autres.
Nous avons tout de même trouvé un accord sur 3 points afin d’initier un processus qui rapprochera un peu encore nos deux territoires.
1 / La citoyenneté :
Actuellement, la citoyenneté, de part le traité qui nous lie, n’est accordé qu’à un groupe minoritaire de citoyens Ombriens. L’idée est d’assouplir l’accès à la citoyenneté et de l’ouvrir au plus grand nombre. Les candidats à la citoyenneté romaine devront être volontaire mais l’accès à la citoyenneté romaine se fera toujours sous le contrôle du Censeur bien entendu !
2 / Une Maison religieuse :
Rome construira une maison religieuse à Igovium (capitale de l’Ombrie) qui sera le siège d’une délégation religieuse d’une quinzaine de personnes. L’idée est que chaque culte de Rome ait un représentant au sein de cette maison religieuse.
Cette maison sera un lieu d’échanges théologiques entre les prêtres romains et ombriens afin de trouver des corrélations entre nos cultes et d’apporter, comme cela a été fait avec Cérès, des compléments de divinités aux ombriens.
3 / Une Maison Culturelle :
Rome construira à Igovium, une Maison culturelle qui sera le siège d’une délégation romaine qui sera constitué en coopération avec les sodalités afin que les divers corps de métiers soient représentés (architecture, artistes, lettrés, marchands …).
Cette délégation pourra ainsi initié des échanges avec les ombriens et ainsi démystifier Rome aux yeux des ombriens et créer de nouveaux liens.
Cet accord sera soumis au sénat de Rome et au Conseil d’Igovium avant de rentrer en vigueur.
Rome devra apporter plus de précision quant à la composition des délégations et à la taille des demeures. Sur ce dernier point, des maisons Graduata ou Tarquini ont été évoqué.
Cet accord ne donnera pas lieu à un nouveau traité mais simplement à un accord verbale entre amis. Cet accord passera tout de même devant le Sénat par SC
Un sénateur romain sera aussi nommé afin d’accompagner la délégation ombrienne. Il représentera le sénat afin d’apporter des précisions lors des discussions sur cet accord. Cela permettra aussi d’en apprendre plus sur la situation en Ombrie.
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Décinus Mairus
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Posté le : Mar 07 Oct 2008 |
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Rapport du sénateur Justus actuellement en Grèce : Delpes en été 355
Notre délégation est arrivée dans le port de Delphes au milieu du printemps. Après avoir débarqué nous avons été accueillie par l’ambassadeur Ricola, fort heureux de voir que les négociations commencés à Rome, avait enfin porté ses fruits. Le lendemain, nous avons été reçus par les dirigeants de la cité, où différents sujets ont été abordés ; j’y reviendrai plus loin dans ce même rapport. A l’extérieur des palais officiels, des renseignements ont été également pris, des contacts noués entre les marchands grecs et romains. Permettez-moi, de vous présenter en condensé la cité de l’oracle d’Apollon
Politique :
Delphes est un système de type aristocratique, où le pouvoir est concentré entre les mains d’un dirigeant l’Archonte. L’archonte n’est toutefois pas un tyran, ses avis sont tempérés, par le conseil de l’élite de Delphes, par le respect des règles religieuses, comme c’est le cas dans notre république.
Le dirigeant de la cité, s’appelle Flipperos. C’est un homme calme, qui maîtrise l’art oratoire, un individu, un brin conservateur, soucieux de l’intérêt de Delphes.
Relations Extérieures :
avec les cités grecques :
Delphes comme vous le savez fait partie de l’alliance hellène, qui regroupent également Athènes, Corinthe, et Thèbes. Il s’agit, d’une alliance défensive, sans aucune visée expansionniste. Elle s’est constituée à la suite de l’effondrement de l’Hégémonie, pour garantir l’indépendance et les intérêts communs de chacune des cités.
Ses relations avec Sparte, Argos et l’Epire semblent amicales, bien qu’il n’y ait pas d’alliance revendiqué avec ces nations.
La diplomatie avec la Macédoine et la Thessalonie, fidèle à l’ancien Hégémon est plus problématique. Un complot à l’encontre de la personne de l’archonte a été déjoué il y a quelques temps. Bien sûr, les autorités delphiques n’ont pas pu réunir de preuve contre le roi Philippe.
Je tiens ici à souligner, l’agressivité récurrente du roi de Thessalonie, qui est un danger permanent dans la région, y compris une partie du territoire romain : L’Illyrie
Avec Carthage et Egypte :
Les relations avec ces nations sont essentiellement commerciales. Pas de conflits récents à signaler, en un mot des relations neutres et stables.
Avec la Perse :
Le Perse… voila un sujet délicat. Des rumeurs, fortes inquiétantes circulent. Une grande armée serait levée à l’est. On ne connaît pas la cible de ce rassemblement, mais les diplomates les plus expérimentés, n’hésite pas longtemps pour dire qu’il s’agit de l’Egypte ou de la Grèce.
Entre Delphes et Rome :
Delphes est surement, la cité hellène la plus proche des intérêts romains. L’amitié qu’il nous porte est sincère, malgré un souci d’indépendance compréhensible.
Dans le cadre, d’un rapprochement avec Rome, ils souhaitent entamés des discussions pour une alliance défensive. Ils m’ont donc invité à une réunion, à la fin de l’automne, où des propositions seront faites à Rome, par les membres de l’alliance défensive hellènes. Auparavant, je me serai rendu, à Athènes, Corinthe, et Thèbes dans le cadre de ma mission économique. Il s’agit simplement de discussions, qui seront soumis au sénat, et qui débattra du bien-fondé de leurs propositions.
Maintenant en tant que représentant de Rome, et défendant ses intérêts je tiens à exprimer mon opinion. Cette alliance est bénéfique, dans le sens où elle garantit de tenir l’influence de l’hégémon à bonne distance et dans une moindre mesure l’empire perse, du fait de la division de ses forces sur son immense territoire. De plus passer d’un conflit majeur sur notre territoire à détenir une influence décisive auprès des cités grecques, il s’agira d’un grand pas que notre nation aura franchie
Economie
L’économie de Delphes est liée essentiellement au commerce et à l’artisanat peu de terres arables, la majorité du blé est importé. Des contacts ont été pris avec les intendants chargés de sa gestion, mais ils sont malheureusement déjà bien pourvus par les commerçants grecs, puniques et égyptiens.
J’ai pu constater, que notre retard face aux autres nations en matière de relations commerciales et de voies navigables était immense. Mais j’ai bon espoir à mon retour d’avoir un peu changé la donne en la matière.
A l’attention de la questure : les produits détaxés pour l’année 356 devront concernés si possible des produits agricoles pour Rome, et des produits artisanaux pour Delphes. J’en formule le souhait, après avoir pris connaissance, des besoins de notre nation et de Delphes. Cela permettra de rendre notre commerce avec cette cité plus compétitif.
Delphes ne possède pas de sodalités, ou équivalents, ce sont des regroupements aléatoires et spontanés de marchands pour défendre leur intérêts communs, donc je n’ai pas trouvé d’interlocuteur de ce côté-là.
Culture et religion :
La culture de Delphes est issue du même creuset, que celle des autres cités du monde hellènes basé sur l’esthétisme.
La cité est un important centre religieux comme tout le monde le sait, il s’agit de la cité de l’oracle d’Apollon. Elle a un grand impact sur la vie de Delphes, cela va sans dire.
Le temple d’Apollon financé par des fonds romains est toujours en bon état est fort fréquenté. Une boutique de souvenirs, y a même été adjointe.
Le panthéon de Delphes est le même que celui de l’ancienne hégémonie grecque et globalement celui de tout le monde hellènes.
Au moment, où j’écris, ma délégation et moi organisons une cérémonie en l’honneur d’Apollon et de l’amitié entre Rome et Delphes, sur mes fonds personnels.
L’affaire des Généraux
Je me permets d’en parler dans mon rapport, parce que leurs noms est revenus sur tous les sujets de la politique de Delphes et de ses relations avec Rome.
Les anciens généraux DOBRASUS s et GAIUS (appelée respectivement dobrasos et Gaios le puissant) sont aujourd’hui respectés plus que jamais dans la cité.
Ils sont citoyens delphiques et ont occupé de haut poste dans la politique et peut être même l’armée de cette nation
Le général GAIUS devenu Gaios le puissant, a déjoué le complot contre l’archonte. Ils sont donc aussi influent à Rome qu’à Delphes, voila ce que j’ai pu constater. Pour le reste, le pontife, vous aura surement donné de plus amples précisions sur le sujet.
Conclusions
Je vous remercie d’avoir pris la peine de lire ce si long rapport patres. Je conclurai en évoquant le fait que nos politiques précédentes étaient tournées, vers la division des cités grecques, afin de s’assurer de ne plus connaître les heures noires d’une invasion de notre territoire par des armées panhélleniques. A mon avis, je pense que cette politique extérieure, après études, constats et analyses, est inadapté à la réalité actuelle.
En effet les cités sont jalouses de leur indépendance, ont leur propres organes de décisions et ont le souci d’assurer leur prospérité, contrairement aux nations de Thessalonie et de Macédoine, expansionnistes qui rêvent de recréer un empire perdu. Il faut ainsi être un acteur d’influence dans la région, à la fois pour étendre notre commerce, mais aussi pour prévenir aux dangers de demain qui s’imposeront à Rome et que nous devrons surmonter. A mon sens l’influence de la diplomatie romaine en Grèce est une des clés de notre sécurité présente et future. Notre délégation quittera la ville de Delphes, en direction de Thèbes, après les festivités organisées par nos soins en l’honneur d’Apollon et de l’amitié entre Rome et Delphes.
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Décinus Mairus
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Posté le : Mer 08 Oct 2008 |
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Résultats des votes des lois
Les lois suivantes ont toutes été votés par le Sénat, acceptés par les comices et validés par les augures !
Toutefois, concernant les lois 3,4,5 et 7, les augures étaient partagés mais ont finalement accepté la teneur des comices.
L'archiviste doit désormais mettre à jour le codex avec ces nouvelles lois et celles de l'année dernière !
1- réforme électorale
2- amendement sur les SC
3- amendements lois judiciaires et tenue des procès
4- ambassade permanente
5- amendement sur la censure
6- traité avec Carthage
7- administration de l'Etat
http://www.romejpem.wdmedia-hebergement.net/fsb/sujet.php?sujet=10402
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AQUAE FLAVIAE Viriato
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Posté le : Mar 16 Déc 2008 |
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Rapport AQUAE de fin de charge 355 :
Cette deuxième année de consulat a été marquée par le voyage hors de Rome du consul DECINUS et de l’absence de prêteurs à la tête de notre justice.
Cette situation exceptionnelle a été pour moi l’occasion de travailler de manière encore plus accrue au dessein de notre République.
En politique intérieur, je me suis efforcé de ne négliger aucun dossier vital pour Rome.
Durant toute l'année de ce mandat, j’ai essayé de mettre le Sénat au cœur de toutes les grandes décisions.
Dans le domaine législatif, ma position a été on ne peut plus claire : na pas alourdir notre Codex tant que le Sénat ne prenne pas ses responsabilités, en engageant une réflexion profonde sur son avenir.
Tous le monde est d’accord pour signaler la lourdeur de celui-ci mais personne est prêt à relever ce défi : reformer le codex.
Pour ma part, je souhaite une réforme en profondeur de notre Codex.
C’est dans ce sens que j’ai initié une première réflexion sur la possibilité de créer des lois organiques, réparties dans de grande thématique vitale au bon fonctionnement de notre République.
Je poursuivrai cet effort dans les prochaines années en commençant par constituer dans un futur proche, un groupe de travail constitué de toutes les courants de pensée de notre Curie.
Néanmoins, dans un esprit d’écoute et de bien collectif, face à la volonté du Sénat, j’ai mis au vote la Lex Plinia sur la salubrité publique.
Dans le domaine militaire, l’Etrurie reste au cœur de mes préoccupations. Sans compter la mobilisation habituelle de nos légions, la situation étrusque s’est détériorée à une vitesse vertigineuse ce qui m’a poussé à intervenir avant la fin de l’année. Pour répondre à une situation des plus urgentes, j’ai levé une légion et nommé le sénateur COLOMBUS à la tête de celle-ci. L’ordre de mission est de rétablir l’ordre de la province.
Les rapports des services consulaires en provenance d’Etrurie sont de mauvais augures. Si la situation suit la tendance de l’automne 355, il est fort probable que Rome soit obligé de revoir à la hausse ses effectifs sur place.
Dans le domaine diplomatique, la situation n’est pas bonne. Depuis des années Rome pèche par le manque de cohérence en matière de politique étrangère. A chaque consul sa vision des choses. Malheureusement cette situation n’a rien de bon pour nous. A l’étranger Rome parait instable et indigne de confiance. Cet état de fait complique énormément nos négociations avec les forces étrangères.
C’est dans cet optique que j’ai appuyé le voyage du sénateur JUSTUS en Grèce. Son but est de mettre à plat nos stratégies dans cette zone, zone si importante pour la pérennité de notre République. A noter le travail remarquable du sénateur JUSTUS en matière de diplomatie.
A côté de cela, j’ai envoyé le sénateur GAIUS chez les Samnites afin de redéfinir notre position vis-à-vis de ce voisin si « instable ». L’objectif de ce voyage est de jeter les bases d’une coopération resserrée entre nos deux états.
Afin de stabiliser la situation au Nord de notre péninsule, j’ai dépêché sur place le sénateur Petronius Sabinus Publius afin de favoriser de nouvelles alliances avec de nouveaux partenaires jusque la délaissé. A l’heure actuelle je n’ai encore aucun retour de notre envoyé sur place.
Aesium : un sénateur a été dépêché sur place par le consul FUGITIVUS. Malgré mon opposition, c’est le sénateur SEVERUS qui a été choisi pour cette mission. En deux consulats je n’ai pas eu une seule nouvelle de cet envoyé, aucun rapport, aucune missive, aucun retour.
Je tiens à faire un petit aparté sur cette situation pour le Sénat et ses membres les plus jeunes.
Je regrette que ce dernier ne sache pas faire la part des choses entre la République et sa personne. Cette rancœur à mon encontre date depuis notre édilité commune. Lors de cette mandature, le sénateur SEVERUS a voulu aider un de ses amis en le tuant. Ayant déjoué ses plans, et après avoir été condamné pour cela, le sénateur SEVERUS a décidé de me faire payer son action passée. J’ai essayé de renouer le lien, en vain. Je regrette cette haine à mon encontre même si un dicton de Marses résume parfaitement cette situation : « même avec la plus grande volonté du monde il est impossible de faire parler un âne ». Aparté terminé.
Concernant l’Aesium, le consulat n’a eu aucune nouvelle, malgré le retour à Rome de son envoyé.
Ombrie : un rapprochement a été effectué par le consul DECINUS. Un plan d’action et de coopération a été mis sur pied par le consul DECINUS. Par faute de temps je n’ai pas pu développer ce dernier. C’est une faute de ma part et je ne cherche aucune excuse. J’invite mes successeur a palier à cette défaillance mienne au plus vite.
Carthage : le consul DECINUS veille.
Egypte : aucune nouvelle. Une missive consulaire a été
Perse : situation délicate qui mérite une attention toute particulière de notre part dans un futur TRES proche.
Illyrie : nomination d’un nouveau préfet.
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viriatooo@yahoo.fr
Officier de l’Ordre de Cincinnatus
 PONTIFE depuis 363
Censeur 358-362
Consul 354-355-356
Préteur 349-350
Édile 347
Questeur 345-346
Flamine de Junon 347-362
Général victorieux en Etrurie 356
Surnommé AQUAE le Rouge par ses hommes |
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