En tant que patricien, la tache que la plèbe me confier était marquée d'un symbole d'unité, en ses temps de division et de lutte des classes.
Cette année fut laborieuse, elle commençât par une discutions avec mon collègue sur le montant de l'aide a la plèbe, nous sommes tombés d'accord sur le chiffre de 8.000.000as, puis nous somme allez a la questure, de la est partie un long débat avec le questeur Lafrenius ,qui se plainiez que la somme était trop importante, une fois la somme distribuer a moi et a mon collègue, celui-ci partit pour le Nord sans même me prévenir, bien qu'il agit pour le bien de la république, il aurait dut me prévenir de son départ.
Ensuite fut venu le temps ou nos légions revernirent victorieuse du Nord , le sénat qui m'attribua la préparation de L'Ovatio, mais mon collègue avait déjà commencé les préparatif, j'arrêtât mes démarche, puis lorsque mon collègue partit pour le Nord sans me prévenir ,je dut recommencer a organiser les préparatifs, je m'attela a la tache comme le voulais la lois.
De plus, l'affaire Decimus divise notre république, j'ai demande en tant que tribun à voir le prisonnier pour m'assurer de son état et en savoir un peu plus sur sa version des fais, mais en vint. De plus le Pro-préteur Labienus ma nommé jurés dans le procès.
J'ai proposé deux Plébiscite dont, je n'ai toujours pas les résultats, un pourtant sur l'urbanisation de Rome et l'autre sur les sodalités.
Je déplore, le manque d'implications de mon collégue
CAIUS JULII Socrate, Tribun de la Plèbe 355
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