Le Sénat de ROME jpem - Sujet : [Capitole] Villa Graduata AETIA

Date du jeu : été 417

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[Capitole] Villa Graduata AETIA
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Caius AETIUS Mamercus Autorisation : Membre Nb de messages : 1221 Inscrit le : Mar 29 Déc 2009	Posté le : Sam 25 Jui 2011
	La journée est finie. Apollon avec son char est en train de quitter le ciel de Rome pour d’autres cieux. Le sénateur est chez lui, dans sa ville sur le Capitole. De la fenêtre de son bureau, il regarde une partie de la ville, son regard témoignait d’une certaine anxiété... Il pense aux valeureux qui combattent pour la République et aux valeureux était déjà tombés pour elle. Une petite pensée traversa son esprit. Elle concernait le Consulaire BUSTOS et le Navarque CARNEUS qu’ils considéraient, il y a quelques mois, comme ses ennemis. Une autre pensée à l’Édile Légat SAXA. Lui allait s’illustré au front, tandis que lui était bien au chaud dans sa villa, loin des cadavres et du sang. Soudain, sa femme frappe à la porte du bureau… - Entré ! - Le repas sera prêt dans quelques minutes… Veux-tu qu’un de nos esclaves te l’apporte ici ? - Non… je mangerais avec vous. Celia regardait l’état du bureau. Il y avait plein de tablettes un peu partout. Lorsqu’elle s’approchait, elle pouvait lire le titre de chacune de tablette : « Loi sur la reconnaissance du Code civile », « Loi sur l’ordre du jour ». Elle remarqua aussi une missive qui avait le seau du Censeur VANSTENUS. - Toutes ses tablettes, c’est pour… ? - Mon travail d’archiviste de la République… - Oula… j’imagine que ça doit être un long travail… - Oui… Caius continuait de regarder la ville. Puis, il baissa les yeux en direction de son jardin. Il vit ses deux petites filles, Adria et Orlenia. Elle jouait avec l’une de leurs esclaves. Adria était monté sur l’esclave comme si elle était à cheval. Elle lui ordonnait de galoper, tirant parfois fortement sur les longs cheveux de l’animal. Orlenia restait un peu derrière versant des larmes. - Moi aussi… Adria, je veux aussi faire du dada ! - J’ai pas encore fini. Attends encore un peu. Orlenia continuait d’attendre son tour, l’air triste. Puis, elle vit un autre esclave qui était arrivé dans le jardin au mauvais moment. Elle alla vers le malheureux d’un pas décidé. - Toi, tu seras mon cheval ! A quatre pattes ! L’esclave soupira et s’exécuta de peur de recevoir des coups de fouets pour n’avoir pas suivi les ordres de la jeune maîtresse de 5 ans… Les deux filles commencèrent alors une course avec leurs deux « chevaux ». Celia s’approcha de son mari et de la fenêtre par la même occasion. Elle glissa ses bras sous les bras de son mari pour l’enlacé, posant sa tête sur le haut du dos de Caius. Elle avait fermé ses yeux pour mieux sentir la puissance de son homme. Caius recommença à regarder la Cité et le couple resta ainsi quelques instants. Puis, Celia brisa le silence. - A quoi penses-tu ? - A la guerre… aux devoirs de pater familias… aux devoirs de romain… aux devoirs de sénateur… - Cesses de te tourmenter pour rien… Les Dieux sont avec nous… La République vaincra l’Hégémonie helléno-macédonienne. J’en suis sure. - Celia, t’es une femme intelligente… mais ne cherche pas à t’immiscer dans des affaires d’hommes… Celia se détacha de son mari et alla à côté de lui. Son regard triste était dirigé vers le jardin. Caius regardait toujours à l’horizon. Quelques minutes passèrent ainsi, alors que Teuta vient frapper à la porte. Sans entrer, elle annonça au couple que le repas était prêt et qu’il attendait l’accord du maître pour mettre la table. - Nous descendons… - Adria… Orlenia… le repas est prêt. Allez laver vos mains… Les deux jeunes filles descendirent de leur cheval et commencèrent à courir en direction de la cuisine. Les deux esclaves se levant lentement… L’un se tenant le bas du dos tandis que l’autre se frottant les chevaux… Celia s’était tourné en direction de la sortie, Caius était immobile un instant. Il regardait les trois mâts dont un seul avait encore un aigle qui flottait, le sien. Caius se retourna et descendit avec sa femme dans la salle à manger… ---------------------- Caius AETIUS Mamercus des AETII-Janus. Le Légaliste, the One ! Praetor : 376-379 Aedilis : 369-370 Quaestor : 366-367 ---------------------- Senator ab : 365 Historicus Reipublicae : 365-367-369 Scriniarii Reipublicae : 373-374-375


AQUILIUS SCAEVA Lucius Autorisation : Membre Nb de messages : 715 Inscrit le : Lun 21 Mar 2011	Posté le : Jeu 14 Juil 2011
	Le Questeur Aquilius se présente devant la maison du sénateur Caius Aetius, il explique à la personne qui lui ouvre qu'il voudrait s'entretenir avec le maître de maison au sujet d'un problème de codex. [HJ: Je t'ai envoyé un mail mais j'ai eu un message d'erreur en retour] ---------------------- Age: 35 ans Localisation: Rome Membre du conseil Tarquiniote Administrateur des travaux: 373-377-378 Questeur: 374-375-376 gens.aquilii@gmail.com


Caius AETIUS Mamercus Autorisation : Membre Nb de messages : 1221 Inscrit le : Mar 29 Déc 2009	Posté le : Jeu 14 Juil 2011
	Il est reçu avec les honneurs dû à son rang. ---------------------- Caius AETIUS Mamercus des AETII-Janus. Le Légaliste, the One ! Praetor : 376-379 Aedilis : 369-370 Quaestor : 366-367 ---------------------- Senator ab : 365 Historicus Reipublicae : 365-367-369 Scriniarii Reipublicae : 373-374-375


Caius AETIUS Mamercus Autorisation : Membre Nb de messages : 1221 Inscrit le : Mar 29 Déc 2009	Posté le : Ven 05 Aoû 2011
	La demeure des AETII-Janus est calme. Caius, éventé par un esclave grec, est en train de lire une tablette. Sa femme est en train de choisir les bijoux qu’elle mettra le lendemain. Teuta la femme de l’ancien intendant arrive avec Adria et Orlenia. Les filles vont saluer leur père puis courent en direction de Celia. Orlenia, la plus jeune, dit à sa mère : - Mère, Larth a un petit frère. - Oui, il est né il y a quelques jours... Celia tourne sa tête en direction de son époux. Mais il n’avait aucune réaction. Puis, elle dit à ces filles. - C’est bien. Nous irons leur rendre visite dans quelques jours… - Pourquoi pas demain, mère ? - Demain ! Demain ! Les deux filles commencèrent alors à crier « Demain ! ». Le visage de Celia s’attristait… Elle avait entendu que certains hommes avaient répudié leur femme parce quelle ne donnait pas d’enfant… Elle craignait que Caius pensait faire de même… Soudain, un assourdissant cri ramena le silence dans la maison. Même l’esclave avait cessé d’éventer de peur de se faire fouetter à cause du bruit du grand éventail. - Silence ! Adria ! Orlenia ! Dans vos appartements ! Maintenant ! Les filles s’en vont en courant. Elles s’enfermeront durant toute la journée. Orlenia n’osera même pas aller dans la chambre de sa grande sœur. Caius regarde alors Teuta. - Je vais dans la cuisine… Il faut que je fasse la liste pour les courses. - Oui… Tu ferais bien de faire ton travail… Teuta quitta la pièce en vitesse… Ce n’est que lorsqu’elle était loin de son maître à l’humeur fragile, elle chuchotera à une esclave : « Quel rabat-joie ! Et encore, il n’est pas encore très vieux… » Caius se tourne vers son esclave et lui fout une baffe violente du revers de la main. L’esclave lâcha l’éventail. Il faillit faire tomber un vase. Heureusement pour lui, il le rattrapa avant qu’il tombe. Il le remet et s’enfuit. Celia a la tête baissé et les poings fermés sur les genoux. Elle n’ose pas ouvrir la bouche. Caius tue le silence : - Demain… Demain… Faut-il forcement qu’elles le crient ! Petites filles de Censeur ! Filles de sénateur optimate ! Je veux qu’elles incarnent la vertu ! Non ! Je l’exige… La tristesse remonte son corps comme la lave remonte la cheminée d’un volcan… Mais parce qu’elle est douce et pure, sa larme, au contraire de la lave, ne détruit rien. Au contraire, elle glisse sur la joue comme une caresse… Une caresse dont elle aurait aimé qu’elle vienne de son mari… Celia décidat d’éloigner Caius du sujet fragile… - Caius… tu es fâché à cause des terres illyriennes… - Des terres illyriennes ! Oui, la perte des terres de mon père et la perte des terres que j’ai reçus de ton père pour notre mariage m’énerve ! Ce … Il ne mérite plus son titre de Consulaire, pas même que sa charge de Flamine de Mars… Il a donné nos terres ! Juste pour faire m’énerver et énerver POUSSINUS ! Il a obligé la République à choisir le sud grec et déloyale plutôt que les loyaux guerriers d’Illyrie ! Un client de DOBRASUS ! Le Flamine de Junon ! Celia sentit qu’elle n’arriverait pas à éviter le sujet… - Caius… nous sommes sur le Capitole… Mesure tes paro… - Silence ! Tais-toi ! Pourquoi tu ne me donnes pas de fils ? Pourquoi ? Celia avait toujours la tête baissée. Sa larme était tombée sur le dos de son poing. Elle avait glissé sur la main. Mais avant de glisser sur sa robe, elle s’est évaporée. Comme si elle partait en direction de Junon pour l’appeler à l’aide… Celia resta silencieuse quelques secondes. Caius tourna le dos à sa femme et mit sa main sur son visage… Puis finalement, il quitta l’atrium et même la demeure seul… Personne ne sait même pas où il est allé. Il reviendra tardivement durant la nuit. Sa femme alla dans sa chambre silencieusement et lorsqu’elle ferma la porte, elle libera sa tristesse… ---------------------- Caius AETIUS Mamercus des AETII-Janus. Le Légaliste, the One ! Praetor : 376-379 Aedilis : 369-370 Quaestor : 366-367 ---------------------- Senator ab : 365 Historicus Reipublicae : 365-367-369 Scriniarii Reipublicae : 373-374-375


Caius AETIUS Mamercus Autorisation : Membre Nb de messages : 1221 Inscrit le : Mar 29 Déc 2009	Posté le : Dim 04 Sep 2011
	Le sénateur a ouvert les portes de sa domus pour les habitants de Rome qui souhaitent avoir ces conseils juridiques. ---------------------- Caius AETIUS Mamercus des AETII-Janus. Le Légaliste, the One ! Praetor : 376-379 Aedilis : 369-370 Quaestor : 366-367 ---------------------- Senator ab : 365 Historicus Reipublicae : 365-367-369 Scriniarii Reipublicae : 373-374-375


Caius AETIUS Mamercus Autorisation : Membre Nb de messages : 1221 Inscrit le : Mar 29 Déc 2009	Posté le : Lun 14 Nov 2011
	Le Prétorien vient de recevoir un messager. Celui-ci vient donner une mauvaise nouvelle. L'ancien ami de Caius serait décédé en Illyrie. Il serait mort à la suite de blessures graves provenant d'une bataille dans une partie reculé de l'Illyrie. Le guerrier avait combattu bravement. Les illyriens de la région lui aurait même donné un surnom d'un guerrier légendaire. Le Prétorien porte quelques jours le deuil avant de revenir dans la vie active de la Cité. Durant ce deuil, le Prétorien s'est néanmoins trouvé un nouvel intendant. C'est le messager, un certain Rugovus. ---------------------- Caius AETIUS Mamercus des AETII-Janus. Le Légaliste, the One ! Praetor : 376-379 Aedilis : 369-370 Quaestor : 366-367 ---------------------- Senator ab : 365 Historicus Reipublicae : 365-367-369 Scriniarii Reipublicae : 373-374-375


Caius AETIUS Mamercus Autorisation : Membre Nb de messages : 1221 Inscrit le : Mar 29 Déc 2009	Posté le : Sam 09 Jui 2012
	Le Préteur continue d'être mal au point. Le Prêtre d'Esculape fait de son mieux mais le mal persiste. On dit que la maîtresse des lieux auraient fait envoyé des lettres dans le nord... ---------------------- Caius AETIUS Mamercus des AETII-Janus. Le Légaliste, the One ! Praetor : 376-379 Aedilis : 369-370 Quaestor : 366-367 ---------------------- Senator ab : 365 Historicus Reipublicae : 365-367-369 Scriniarii Reipublicae : 373-374-375


Caius AETIUS Mamercus Autorisation : Membre Nb de messages : 1221 Inscrit le : Mar 29 Déc 2009	Posté le : Dim 10 Jui 2012
	La veille, on aurait entendu dans le quartier le cri puissant d'un bœuf agonisant. Le lendemain, les esclaves rapportent aux voisins, qui s'interrogent sur l'état de santé du Préteur, que la maîtresse Celia semble soulagée. Aucun d'entre eux n'a encore vu leur maître. ---------------------- Caius AETIUS Mamercus des AETII-Janus. Le Légaliste, the One ! Praetor : 376-379 Aedilis : 369-370 Quaestor : 366-367 ---------------------- Senator ab : 365 Historicus Reipublicae : 365-367-369 Scriniarii Reipublicae : 373-374-375


MJ Apollon Autorisation : Administrateur Nb de messages : 1592 Inscrit le : Lun 11 Jui 2018	Posté le : Mar 07 Aoû 2018
	Eté 406 Des mendiants s'assemblent, nombreux. Ils demandent d'une voix suppliante mais parfois avec des accents menaçants un peu de nourriture en cet été de famine. ---------------------- Ardet nec consumitur (Il brûle mais ne se consume pas)

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