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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Invitations pour la nation Boyenne
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Invitations pour la nation Boyenne
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DRISSUS Marcus
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Posté le : Lun 11 Déc 2006    

Et bien, nous pourrions commencer par offrir aux boyens un présent de bienvenue. C'est toujours très bien vu et très bien accueillit et cela témoigne du respect que la république témoigne à l'égard de ce grand chef qui est tout de même notre hôte pour quelques temps.

Je pense de plus que le sénat n'est pas vraiment propice aux négociations avec une nation étrangère. Nous devons présenter un seul visage et une détermination à toute épreuve lors des tractations diplomatiques et ce n'est pas le but de la curie.

Non, cette assemblée a pour but de débattre, échanger des idées et s'entendre sur une politique à tenir... Je ne pense pas que ce serait très intelligent d'étaler toutes nos divisions au grand jour devant Caudérix, et ce quel que soit notre respect mutuel. Ce qui est dit en ces lieux doit rester en ces lieux.

Aussi, je pense que nous devrions nous contenter d'une rencontre formelle dans ce sénat avec échange de présent par exemple.

Rappelez-vous que Caudérix est un roi, et un roi fier. Il attend un respect de son rang et nous ne devrions pas nous mettre à l'apostropher pour lui poser des questions comme nous avons l'habitude de le faire entre nous. Non, je pense que les véritables négociations devront être réalisées en tête entre les Consuls qui doivent appliquer la politique décidée par le sénat.

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COLDEEUS VALENS Lucius
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Posté le : Lun 11 Déc 2006    

Acquièse aux propos du Sénateur Drissus

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AELIUS PROBUS Marcus
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Posté le : Lun 11 Déc 2006    

Je suis d'accord avec toi, sénateur Drissus...

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SEPTIMUS Marcus
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Posté le : Lun 11 Déc 2006    

Le senateur Drissus a tout a fait raison, je souscrit tout a fait a son idée.

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POUSSINUS Actarus
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Posté le : Lun 11 Déc 2006    

Mon père a connu ce roi Cauderix lors de la campagne d'illyrie et il m'a parfois raconter quelques épisodes...

Et en effet Cauderix est bel et bien un roi fier...Très fier!

Et j'espère que nos consuls seront à la hauteur, chose que je doute point, et qu'ils sauront ne pas se faire marcher dessus comme certains consuls de ces dernières années ont pu se les laisser marcher par Carthage et Hamilcar...

Que nos deux nations traitent en égal et pourquoi pas que Rome arrive meme a avoir un avantage...Car raz le bol de ses traités ou Rome ne tire rien d'avantageux!Nombreux sont ces marchands ou pecheurs qui clament que Rome est incapable de se positionner lors de traité avec des nations étrangères...et je les comprends...

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DRISSUS Marcus
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Posté le : Mer 13 Déc 2006    

J'ai retrouvé un ancien de mes rapports sur les boyens que j'avais rédigé du temps où j'étais ambassadeur à Bonnonia. Si une partie de celui-ci n'est plus d'actualité (hj: en italique) je pense que le reste contient des informations qu'il est toujours bon de connaitre.







Lettre aux Consuls de Rome et au Sénat,
Ambassadeur en pays Boyen Marcus Drissus
Salve,

Voici maintenant un peu plus d'un an que je suis en poste à Bonnonia et que j'ai pu m'habituer tant aux mœurs locales qu'au fortes personnalités des dirigeants Boyens. Caudérix est toujours le chef incontesté du peuple boyen. Le traité de non-agression qui nous lie aux boyens n'a jamais été aussi fort et je peux dire que cette paix prolongera aussi longtemps que Caudérix, qui vient d'achever son 42ème printemps, restera au pouvoir; tout du moins dans l'état actuel des choses.

Il y a quelques mois, nous avons inauguré à Bonnonia un monument censé rendre hommages à tous ceux qui ont oeuvré pour la paix entre la république et le peuple boyens. Y sont cités, l'ensemble des Consuls de Rome signataire des différents traités, les ambassadeurs romains en territoire boyens jusqu'à ce jour ainsi que Caudérix et son fils Brennus. Le Roi Boyen a voulu, par ce geste témoigner son amitié à l'égard du peuple romain et sa volonté que la bonne entente entre nos deux peuples se prolonge. Il m'a fait part de son admiration pour le courage romain à Massalia, m'indiquant que par ce geste à l'égard d'un de ses alliés Rome a su retrouver « la voie de l'honneur ».Brennus m'a par ailleurs indiqué qu'il ne voulait pas voir les frontière de la république au Nord bouger, reconnaissant cependant que la république avait les mains libres au sud. Je suis donc optimiste quant à l'évolution de nos relations les boyens.
J'ai pris contact avec la communauté romaine présente à Bonnonia. Elle se compose exclusivement de marchand, une dizaine tout au plus. Selon eux, le commerce y est florissant et rentable, comme j'ai pu d'ailleurs le constater durant le trajet. En effet, la route reliant la capitale boyenne à l'Aesium est assez fréquentée et bien entretenue ce qui laisse penser que Bonnonia est devenue un débouché attractif pour notre commerce. Les marchands romains restent cependant accaparés par leur affaires et peu enclin à parler de ces dernières. Cela ne ma pas empêché d'organiser régulièrement des petites fêtes pour réunir la communauté romaine et la souder davantage en pays étranger. A noté tout de même, la présence d'un petit quartier latin dans la cité de Bonnonia où l'un des marchands tient un auberge que j'ai eu l'occasion de visiter à de nombreuses reprises. Ce quartier est un lieu agréable et dont la présence est toléré par les boyens.

D'après les dires de Cauderix, la situation du pays boyens n'a jamais été aussi radieuse. Et pour reprendre les termes de Caudérix « pour la subsistance, nos terres sont giboyeuses et très riches. Nous n'avons donc guère de soucis à ce sujet, ». Caudérix doit cependant périodiquement affronter les raids de tribus germaniques situé plus au Nord. Il conserve cependant de bonnes relation avec l'ensemble de ses cousins gaulois de cisalpine. Sa capitale, Bonnonia est occupé par quelques milliers d'habitants, et repose sur une architecture mêlant le style gaulois au style grecque. Elle est par ailleurs ceinturé par de solide rempart capable de résister à un long état de siège.

J'ai pu, durant les nombreuses audiences que m'a accordé Caudérix me rendre compte que trois personnages dominaient la vie politique Boyenne: Caudérix lui même, Brennus son fils héritier et Diviac, le grand druide.

Pour ce qui est de Diviac, je ne peux malheureusement vous apporter que quelques informations que j'ai pu obtenir ici et là. Diviac est le druide de la cité et le principale conseiller du Roi après Brennus. Il dispose d'une considérable aura auprès de la population locale qui n'ose pas le critiquer. Je peux dire, par ailleurs qu'il est très méfiant, voire hostile à l'égard des romains. Il ne ma adresser qu'une seule fois la parole et uniquement pour dire que mes paroles n'étaient que du miel destiné à tromper Caudérix. Il base son pouvoir sur la ferveur religieuse de la communauté boyenne. J'évite cependant soigneusement d'avoir à le croiser tant il affiche clairement son dégoût à notre égard. Il reste cependant un élément non négligeable car la société boyenne confère au druide une position similaire, voire supérieur au Roi.
Caudérix, reste le chef incontesté des boyens. Lors de mes nombreuses conversations avec la population locale, les boyens ne se sont pas montré avares en détails. Caudérix est véritablement adulé par son peuple. Chaque boyen voit en lui l'image d'un père. Il est le symbole du respect des traditions ancestrale boyenne tant pour les jeunes enfants que pour les personnes âgées. Il est respecté pour ses qualités guerrières, son âme de chef et ses qualités humaines. Quelque fois, il y a des petites contestations à la politique de Cauderix, mais les raids germains maintiennent la cohésion du peuple boyen derrière son chef. Dès mon arrivé, il s'est empressé de m'accueillir, de confirmer le pacte de non-agression et de m'inviter à me reposer. C'est une personne que j'admire et je respecte. Son attitude à l'égard des romains est des plus amicales, si bien qu'il a accueillit le projet de monument Rome/Boyen avec enthousiasme. Il est aussi ferme dans sa manière de traiter les affaires politiques (j'aurai l'occasion d'en reparler plus loin). Nous pouvons même dire que Caudérix dispose des mêmes qualités qu'un bon romain.

Il y a enfin Brennus... Brennus... Le célèbre Brennus... Je ne vous cache pas que cette personne sur le long terme m'inquiète sincèrement. Là encore, la population locale avec laquelle j'ai pu sympathiser ne s'est pas montré avare en détails.

Brennus est une véritable légende à Bononia y compris chez les romains qui y vivent. Tous on apprécié sa période de régence pendant la guerre en Illyrie, il n'était qu'un jeune adolescent mais il a victorieusement repoussé les assauts de l'ambassadeur romain qui cherchait à lui faire signer à tout prix des accords.

Les boyens se souviennent en riant de la tête dépité de Laneo quand il sortait du palais .

Brennus impressionne aussi par sa vision du monde , ses connaissances, sa culture. Il parle latin, grec et le punique. Enfin pour tous il sera le rapport idéal contre des velléités romaines au Nord tant il connaît bien Rome, son sénat et son armée. On dit avec respect qu'il a été instruit des problèmes politiques par le consul Ectitus Stylo, qu'il a accompagné aux armées. Il aurait aussi été instruit des affaires diplomatiques lors d'entretiens avec le consul Valerius Quintus. Les marchands romains l'apprécient beaucoup et reconnaissent un grand souverain en devenir.

Tout cela me semblait bien beau si seulement quelques détails ne sont pas venu salir ce beau tableau dressé par la population. Le fait que Brennus sache parler le punique a éveillé ma curiosité. J'ai donc mené ma petite enquête et me suis rendu compte que régulièrement un marchand punique passe à Bonnonia ( à un rythme très limité il faut l'admettre mais tout de même). Je crois que les marchands en question passent deux ou trois fois par ans... à un rythme peu alarmant. Contrairement donc à son père, Brennus d'une vision plus large de la politique et il se montrera certainement beaucoup plus exigeant que son père une fois au pouvoir.

Brennus a beaucoup, beaucoup d'ambition. Un malentendu intéressant lors de notre toute première rencontre m'en a montré l'étendu. Pensant que Rome reconnaissait aux Boyen la légitimité du pouvoir sur l'ensemble de la Cisalpine, il s'est réjoui, déclarant que cela ouvrait pour son pays de nouvelles perspectives très intéressantes. J'ai évidemment rapidement mis fin au malentendu. La vaisselle en or que je lui est offert pour l'occasion a contribué à faire oublier ce malentendu.

Brennus est donc un personnage complexe, mais qui reste obéissant envers son père. Il respect ces choix et obéit à ses ordres. Le règne de Caudérix permet de calmer les ardeurs de son fils héritier... mais une fois que la légende vivante « Brennus » arrivera au pouvoir, nul doute que la situation commencera à changer. Il est déjà intéressant de remarquer que Caudérix a chargé Brennus de s'occuper des relations avec Rome.

J'en arrive enfin à la dernière partie de mon récit, qui est certainement la plus importante. (et qui n'est plus vraiment d'actualité...)
J'ai réussit à évoquer avec Caudérix le pacte secret qui avait été signé. Il m'a indiqué qu'il était prêt à fournir des cavaliers pour assister l'armée romaine comme il en était le cas en Illyrie et ce sans rien en retour... et curieusement le sénat avait refusé.

Aujourd'hui, il accepte de nouveau de nous aider. Il est prêt à mettre à notre disposition la célèbre cavalerie boyenne et participer à nos cotés contre Tarente. Mais il demande en contrepartie une rétribution. Caudérix m'a proposé en premier lieu que l'on accorde aux boyens le droit de piler tarente... Cela était bien évidemment impossible puisque l'on compte beaucoup sur le butin pour combler le déficit provoqué par le conflit. J'ai donc proposé un pourcentage sur le butin totale de la campagne comme il en a été le cas en Illyrie.
Caudérix en revanche s'est montré ferme: soit les boyens participent au conflit dès le déclenchement des hostilités et récupèrent une part de butin, soit ils ne participent pas du tout au conflit. Mais dans les deux cas, il refuse que brusquement, durant les hostilités, Rome accourt chez lui pour demander sa cavalerie en renfort. N'y voyez pas les limites de notre amitié, mais seulement la volonté de Caudérix de préserver et défendre les intérêts de son peuple.
Je m'en remet donc à vos instructions avant d'aller plus loin. Caudérix est un homme sage, et un de nos plus fidèle allié avec Massalia. Il nous propose son aide, ce pourrait être un atout non négligeable pour le conflit. Nous devrons tôt ou tard composer avec l'ambitieux Brennus... mais pour l'instant, je ne vois pas pourquoi refuser l'aide d'un allié. Enfin bref, je m'en remet à la décision du sénat étant donné que de là où je suis, je ne dispose peut être pas de l'ensemble des éléments dont dispose pour l'ensemble sénat.

J'aimerai que les Consuls consultent le sénat pour savoir si oui ou non nous devons accepter l'aide boyenne pour le conflit avec Tarente. J'aimerai qu'on me communique le pourcentage du butin que la république serait prêt à accorder aux boyens s'ils venaient à participer à nos cotés. Je me chargerai ensuite de la rédaction du nouveau traité et de sa négociation avec Caudérix.

J'espère que j'ai pu quelque peu vous éclaircir la situation en pays Boyen. Je continue mes investigations (notamment avec le reste de la famille régnante, à savoir les autres enfants de Caudérix). J'espère pouvoir obtenir vos réponses rapidement.


Marcus Drissus, Ambassadeur de Rome.

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AELIUS PROBUS Marcus
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Posté le : Mer 13 Déc 2006    

Ton rapport est très instructif, sénateur Drissus, et tu as une plume sûre. Cependant la lecture de ces lignes et l'évocation de Massilia me rappelle douloureusement combien Rome est prompte à oublier ses alliés. Espérons que celà ne sera pas la même chose avec les boyens, le jour où les puniques viendront s'installer à l'entrée de leurs cités...

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L.Faustus Flamininus
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Autant d'amitié est touchante , les braves barbares boyens sont vraiments un peuple plein de force et de sagesse , nous devons à tout prix conserver leur aimitié , la délégation qui est à Rome en est la preuve...

Je profite de cette occasion pour proposer quelque chose , nous pourrions , comme cela se fait dans les milieux nobles , barbares et civilisé , que nous échangions quelques jeunes patriciens volontaires bien évidemment contre de jeunes aristocrates boyens , qui seraient pendant plusieurs années , au sevice de Rome pour les jeunes boyens et au service du roi Caudérix en ce qui concerne nos jeunes patriciens . Ainsi les romains profiteraient des connaissances du Nord et des peuples barbares , tout en servant comem garde d'honneur au souverain , en contrepartie les jeunes boyens pourraient former un corps de cavalerie d'élite au service de Rome ...

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FLAMINIUS Gaius
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Posté le : Dim 17 Déc 2006    

Patres,
Les discussions vont bon train avec le roi Cauderix. Il serait même prêt à considérer une alliance défensive, en incluant Massilia. Le choix est une fois de plus donné à Rome. Faire celà, va nous opposer diplomatiquement à Carthage, surtout sur le dossier Massiliote. Cependant le roi est réticent, en fait il n'a pas confiance en notre parole. Ce qui est normal après tout ce que l'on a fait. Néanmoins, il est à deux doigts d'être d'accord. Pour celà il faut un signe du sénat. Mais avant ce signe, il faut une décision et VITE.

Le roi viendra bientôt vous rencontrer. C'est cette rencontre qui jugera des prochains évènements des 10 prochaines années. Je vous demanderai donc de réagir tous et de considérer cette question comme la plus imporante à long terme.

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COLDEEUS VALENS Lucius
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Posté le : Dim 17 Déc 2006    

J'y suis favorable, unissons-nous avec les peuples gaulois pour la défense de la Gaule Cisalpine et transalpine. Ce geste aura surement des répercussions sur les autres peuples gaulois, notemment les Lingons et Ligures, et peut-être cela nous permettra de créer un immense réseau défensif au Nord, nous protégeant des Germains, et permettant à nos Citoyens du Nord de la République de ne pas voir le sol romain foulé par des hordes ennemies.

Malheureusement, cela mettra peut-être un terme à la possible annexion (pacifique) de Massilia, dont nous saurions une nouvelle fois obligé de défendre sans jamais rien avoir en retour, et peut nous mener à faire des guerres lointaines, sur les territoires gaulois, si une menace germaine se précise.

Quant à l'opposition face à Carthage, cette dernière a indiqué qu'elle nous laissait Massilia, un traité défensif ne remet rien en cause.

L'alliance défensive s'étendrait-elle à l'Illyrie ?

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AELIUS PROBUS Marcus
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Posté le : Dim 17 Déc 2006    

Je suis d'accord pour cette alliance, moi aussi. Je me prononcerai en faveur de ton projet, consul.

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POUSSINUS Actarus
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Posté le : Dim 17 Déc 2006    

Donc si je compend bien, le roi Cauderix est pret a signer un traité defensif entre Rome,massalia et le peuple boien?

Se qui veut dire que si une des trois est attaquées, les deux autres se doivent d'intervenir militairement ou diplomatiquement?

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AGRIPPA Lucilius
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Et en quoi ce traité amènera Massilia sous notre giron ?

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Car l'éclat des richesses et de la beauté est chose fragile et périssable ; la vertu, elle, assure la gloire et l'immortalité.

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FLAMINIUS Gaius
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Posté le : Dim 17 Déc 2006    

Ce n'est pas mon projet. Je dois avouer ne pas savoir que choisir. Car c'est un choix. Travailler dans ce sens fera que Massilia restera à jamais indépendante. Que si Massilia cherche à ennuyer Carthage et que Carthage riposte, que nous devrions intervenir. En gros celà peut briser notre relation avec Carthage. En tout cas, celà la diminuera.

Il faut comprendre que nous ne pouvons courtiser Massilia et Carthage en même temps. Et que les boyens sont pro-massiliote. Rome a le choix de choisir ou de ne pas chosir.

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POUSSINUS Actarus
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Posté le : Dim 17 Déc 2006    

En effet nous sommes dans une situation délicate consul.

Si l'on signe ce traité défensif entre massalia,les boiens et Rome,on risque d'etre encore plus au milieu du conflit Carthage-Massalia.
Une fois signé, on s'expose à un forcing possible des massaliotes au blocus carthaginois,se qui déclencherai une riposte de leur part, et une interventiton obligée de Rome...bref un conflit ouvert avec Carthage...Chose que personne ne souhaite vu la puissance de nos alliés.

Si l'on signe pas ce traité on risque une fois de plus de contrarier nos "alliés" boiens et de tendre encore plus nos relations avec les tribus gauloises du nord.Mais on resterai encore dans le bon oeil du grand Hamilcar et du temps pour convaincre Massalia de réfléchir sur son sort.

Pour ma part, je suis de l'avis de signer ce traité,renforçant ainsi nos positions depuis notre intervention a Massalia,et dans un second temps de demander, une fois de plus, a Carthage, avec force et volonté, de lever ce blocus car Rome ne cedera pas.

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