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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Des batiments de la République
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Des batiments de la République
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DETRITUS CAMPANUS Julius
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Inscrit le : Jeu 11 Sep 2014
Posté le : Jeu 02 Avr 2015    

Se crispe soudainement

Et bien sénateur Carmanovius, si tu n'y vois pas d'inconvénient je préfèrerais laisser la question Napolitaine de coté aujourd'hui.

Il est évident que les synergies entre Naples et Capoue sont nombreuses, mais le sujet est très particulier du fait des cultures radicalement différentes de ces deux villes pourtant si proche. J’œuvre à Naples pour obtenir la meilleure solution possible, mais cela prend du temps ...

Semble se détendre

Le constat que nous pouvons établir suite à vos remarques respectives, c'est que la géographie actuelle de nos provinces, résulte de l'enchainement d'évènements historiques, survenus lors des siècles précédents.

Réfléchit un instant

Nous devons rechercher un équilibre c'est un fait. Peut être un fonctionnaire pourrait il nous éclairer sur les derniers chiffres du recensement, les villes les plus importantes et la géographie des régions évoquées ?

Nous pourrions alors collégialement découper une nouvelle carte.

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Naples 390 à 393 Cérès 392 à ? 394 395 - 396 397 - 401 - 402 398 - 399 - 400 - 403 - 404 - 405

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DETRITUS CAMPANUS Julius
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Posté le : Ven 03 Avr 2015    

Ça discute ferme dans l'entourage de Detritus, un sénateur lui tend un papyrus, tandis que Julius enchaine.

Cela pourrait donner la proposition de regroupement suivante :

I) Latium, 81000 citoyens, ager globalement composé de Collines
II) Populonia/Vetulonia/Volterra, 58000 citoyens, ager globalement composé de Collines
III) Cosa/Saturniae/Tarquini, 57250 citoyens, ager globalement composé de Collines
IV) Campanie/Naples, 56030 citoyens, ager globalement composé de Plaines
V) Calabre, 48000 citoyens, ager globalement composé de Collines
VI) Sabine/Spoletium/Perouse, 41050 citoyens, ager globalement composé de Collines
VII) Marses/Vosques/Samnium, 34200 citoyens, ager globalement composé Montagnes
VIII) Aesium, 18750 citoyens, ager globalement composé de Collines
IX) Ombrie/Arezzo, 13600 citoyens, ager globalement composé de Montagnes
X) Bruttium, 13500 citoyens, ager globalement composé de Montagnes
XI) Apulie/Bovianum, 10500 citoyens, ager globalement composé de Plaines

Attention le nombre de citoyens est soumis à validation du Censeur, les chiffres sont peut être un peu vieux je l'avoue. Cette répartition porterait à 11 le nombre de provinces Républicaines.

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CARMANOVIUS Juliannus
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Nb de messages : 989
Inscrit le : Mar 16 Jui 2009
Posté le : Sam 04 Avr 2015    

Si je ne vois pas d'inconvénient à te laisser meilleur arbitre des choses de Campanie, tu m'accorderas une certaine connaissance des provinces centrales de la République, Sénateur Detritus.

Et de ce fait, ta Province N°VI ne me convainc guère. Tu mélanges des Sabins, plus anciens alliés des Romains, avec les descendants d'Ombriens de Spoletium, leurs pires ennemis, et tu y ajoute les Étrusques de Pérouse.

Je sais que toutes les élites de ces provinces sont désormais des citoyens romains à part entière, mais ce mélange pour le moins audacieux de cultures, étiré sur des centaines de lieues de basses montagne, me paraît incohérent.

Pérouse serait bien mieux dans ta province N°III, avec les autres citées Etrusques, de même qu'Arezzo devrait rejoindre la province N°II.
Cela laisserait l'Ombrie autonome, mais c'est un territoire allié, pas une province.
Quant à la Sabine et à Spoletium, elles pourraient prendre en charge l'Aesium, territoire immense mais fort peu peuplé en citoyens, et qui contrairement à l'Ombrie à Bovanium n'a aucune autonomie de culture qui excuserait son isolement.

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Questeur 373
Édile 378, 390, 391
Préteur 393
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Volaginius Domitianus Decimus



Autorisation : Membre
Nb de messages : 195
Inscrit le : Mer 11 Mar 2015
Posté le : Sam 04 Avr 2015    

Une meilleure répartition des richesse serait une bonne idée car le Sénat a le droit de siéger dans des bâtiments avec un minimum de proprété. De même nos temples où qu'il soit sont des lieux de prières de nos dieux. S'il voit un temple mal entretenu, sale, leur colère serait terrible.
En résumé, je vote pour la destruction des bâtiments trop coûteux et inutile

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Sénateur populares









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DETRITUS CAMPANUS Julius
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Nb de messages : 1346
Inscrit le : Jeu 11 Sep 2014
Posté le : Sam 04 Avr 2015    

S'incline en direction du sénateur Carmanovius

Excuse ma proposition sénateur, elle n'avait pas pour but d'heurter les Sabins en qui j'ai le plus profond respect. J'ai proposé une base de travail, construite sur des notions géographiques avant tout.

J'en veux pour preuve que j'ai moi même mentionné le rapprochement de Naples et de Capoue, alors même que ce dernier est impossible à l'heure actuelle.

Ce que j'aimerai c'est débattre avec cette assemblée et ce qui ressort de tout cela dans un premier temps, c'est que l'ancienne Etrurie pourrait éventuelle être regroupée en deux ou trois provinces ...

Se tourne vers l'assemblée


D'autres avis ?

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SEVERUS LONGUS Clodius
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Inscrit le : Mar 05 Fév 2013
Posté le : Dim 05 Avr 2015    

Il ne faudrait non plus déléguer n'importe quoi à la gestion des Sénats provinciaux, je pense que les bâtiments d'intérêts stratégiques doivent rester sous la haute main de la Res publica- les routes, les arsenaux, les greniers d'Etat et les aqueducs- il ne faudrait pas que des négligences locales mettent en péril ce genre de structures.

Après, il est vrai que je n'ai jamais promis l'intérêt pour Rome d'assurer l'entretien de temples et de théâtres en Calabre ou en Campanie, ce genre de dépenses doit être à la charge des évergètes locaux.

Au-delà de ça, il nous faudra aussi réfléchir à l'amélioration de notre système fiscal- vu que les revenus réels du Tributum sont toujours inférieurs de 20 à 30% à ces revenus estimés faute de contrôles ou de moyens de perceptions.

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Fils du Consulaire SEVERUS Licius.

mail:severuslicius@yahoo.fr
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ILIUS Gaius
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Inscrit le : Ven 09 Jan 2015
Posté le : Lun 06 Avr 2015    

Le questeur Iulius écoute attentivement mais reste silencieux.

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DETRITUS CAMPANUS Julius
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Nb de messages : 1346
Inscrit le : Jeu 11 Sep 2014
Posté le : Mer 08 Avr 2015    

Se gratte la tête

Bien pour faire suite aux propos du sénateur Carmanovius, je propose de commencer par traiter le cas de l'ancienne Etrurie, soit 8 provinces qui possèdent une culture commune et sont latines depuis suffisamment longtemps maintenant pour permettre de repenser leur organisation.

Je propose trois provinces

I) Arezzo/Populonia/Voltera qui regrouperait 49000 citoyens
II) Perouse/Saturniae qui regrouperait 51000 citoyens
III) Cosa/Tarquini/Vetulonia qui regrouperait 44000 citoyens

Trois cités devront être identifiées pour accueillir les trois sénat provinciaux.

Marque une pause

Parallèlement à ça et pour continuer sur le débat originel, je propose que les bâtiments destinés aux vigiles et ceux destinés à accueillir les sénats provinciaux soient regroupés pour permettre une proximité entre les édiles provinciaux et leurs vigiles, mais également pour assurer en premier lieu la sécurité des élites locales en cas de mouvements populaires. Cela permettra également une meilleure protection des archives en cas d’incendie, puisque les vigiles pourront rapidement intervenir.
Ces bâtiments seront :

0 - 30000 citoyens : Villa Capoua
30001 - 50000 citoyens : Villa Tarquini
Plus de 50000 citoyens : Villa Urbis

Nul bâtiment administratif ne pourra être plus luxueux que le sénat de Rome (villa Magna)

Un temple sera destiné à Jupiter au sein de la province et un autre à un dieu du Panthéon Romain choisi par les élites locales selon la spécificité de la province. Ces deux temples seront à la charge de la République.

Les murailles, ports, routes et aqueducs nécessaires étant considérés comme des bâtiments stratégiques seront à la charge de la République.

L'édilité sera chargé de déterminer le nombre de greniers nécessaires par province pour assurer les besoins stratégiques de la République. Si nécéssaire ces derniers seront restaurés ou reconstruits pour garantir leur bon état et leur bon nombres. Ils seront à la charge de la République. Il seront regroupés dans les archives pour plus de lisibilité (HJ : Ensemble de 10 Greniers sur le bureau)

Un marché par province sera construit pour garantir la prospérité des échanges commerciaux locaux. Il sera à la charge de la République.

Les provinces pourront demander un vote du sénat pour ajouter à la charge de la République un bâtiment spécifique complémentaires à la liste ci dessus.

Tous les autres bâtiments existant seront cédés à des évergètes locaux ou détruits si il ne trouvent pas d'évergètes.

Balaye le sénat des yeux

Nous traiterons la question du Latium dans un second temps, ces mesures ne concerne que les provinces. Des avis ?

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ILIUS Gaius
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Posté le : Mer 08 Avr 2015    

Cela fait beaucoup de bâtiments à la charge de la république.
Ne devions nous baisser ce chiffre?


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DETRITUS CAMPANUS Julius
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Posté le : Mer 08 Avr 2015    

Vers le sénateur Ilius

En regroupant nos provinces, nous baissons de fait le nombre de bâtiments à la charge de la République.

Par ailleurs l'idée n'est pas de faire "payer" à nos provinces le manque de fonds de Rome et j'ai bien en tête qu'une bonne part des as économisés dans ce processus soient utilisés pour investir en faveur de la République et non pour financer des guerres lointaines.

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LAFCADIUS Mamercus
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Posté le : Jeu 09 Avr 2015    

S'éclaircit la gorge

Ainsi, pour réduire l'engagement financier de la république, il faudrait réduire le nombre de provinces en regroupant les plus petites ou les moins peuplées d'entre elles.

Excusez-moi, patres, mais je trouve cette idée regrettable. Certes elle a d'évidents mérites, le premier étant de réduire automatiquement le nombre de bâtiments liés au nombre de provinces. Si l'on décide de l'entretien d'un temple de Jupiter par province, réduire le nombre de province réduit le nombre de temples. Évidemment. C'est si simple.

Mais pour le reste, c'est-à-dire les bâtiments dits stratégiques, routes, aqueducs, fortifications, une redéfinition des provinces n'y changera rien : les besoins en eau ne dépendent pas des lignes tracées sur une carte ; le caractère stratégique d'une place tient également plus à la géographie qu'au nom de la province qui se trouve l'englober.

Alors y a-t-il un autre intérêt à regrouper les provinces ? Un intérêt administratif peut-être. Mais les municipes sont-ils régis par une administration centralisée à Rome ? N'est-ce pas plutôt la tâche des sénats locaux ? Quel sera le gain pour eux d'un tel chamboulement administratif ? À ce stade des discussions je n'en vois pas.

Au contraire, on vient de l'entendre, par les remarques du préteur Carmanovius, du sénateur Petronius, du sénateur Audifredi, une province est plus qu'un trait d'encre sur du papyrus ; c'est l'héritage du passé. J'ai peur que le sénat ouvre une boite de Pandore pour atteindre un objectif qui se satisferait de voies plus modestes.


Ambassadeur Detritus, pourquoi associer nécessairement provinces et bâtiments publics ? Ton objectif, que je vois largement partagé, serait atteint sans heurt si au lieu de voir regroupées les provinces elles-mêmes, c'était certaines de leurs fonctions qui l'étaient. Certaines villes plus importantes abriteraient un temple de Jupiter pour la dévotion des habitants de plusieurs provinces. Et de même pour d'autres fonctions qui méritent d'être regroupées. Regrouper les forces de sécurité me semble moins naturel mais de toute façon cela s'envisage de façon plus sereine dès lors que l'existence et l'histoire même d'une province ne sont pas menacées par cette perspective.

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DETRITUS CAMPANUS Julius
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Posté le : Jeu 09 Avr 2015    

Vers le sénateur Lafcadius

Tu ne m'as pas vraiment compris sénateur ...

Hésite une seconde

... excuse moi je n'ai pas encore souvenir de ton nom.

Le projet n'est pas de réduire les coûts par la réduction du nombre de province, car comme je le disais, l'objectif final est de réinvestir les as gagnés dans cette opération au profit de nos provinces.

De même j’entends et j'approuve qu'un regroupement ne peut être jugé à la légère, j'en veux pour preuve la Campanie et Naples, que je connais très bien et dont les cultures sont si différentes, qu'il est impensable d'envisager un regroupement des deux cités pourtant si proche l'une de l'autre.

L'histoire est un point de départ, mais le temps s'écoule et les vérités changent. L'immobilisme dont nous faisons preuve sur le sujet des provinces est criant de la faiblesse que nous avons à nous adapter.

Prenons le cas de l'ancienne Étrurie, nous l'avons morcelée, découpée, fractionnée pour la punir, la mater, la réduire. Aujourd'hui les citoyens de ces provinces sont des latins emprunt des valeurs de notre République et servant sans sourciller les dieux et Rome. Il n'est pas incohérent d'envisager un regroupement.

Pause

Après tout une province n'est qu'un trait sur une carte, les habitants de Cumes n'ont pas vu leur vie changer parce que Capoue s'est imposée sur Naples ... mais nous ici à Rome, dans l'usage que nous faisons de as issus du tributum, dans les libertés que nous laissons localement, dans les décisions stratégiques que nous prenons, nous faisons de ses traits un enjeux majeur auquel il convient de penser fortement. En multipliant les élites locales, nous dispersons les efforts, nous retardons les décisions et nous alourdissons les réflexions.

N'envisageons pas cette restructuration comme une énième économie budgétaire, mais bien comme un enjeux stratégique pour fluidifier nos relations avec les provinces et trouver la juste autonomie entre Rome et le lointain pécheur d'Aesium.

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CARMANOVIUS Juliannus
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Posté le : Jeu 09 Avr 2015    

Un Sénat provincial à Narnia, pour cet exemple...

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PETRONIUS SABINUS Publius
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Posté le : Jeu 09 Avr 2015    


Petronius Pugnator Felix


Citer : DETRITUS CAMPANUS Julius
un enjeux stratégique pour fluidifier nos relations avec les provinces et trouver la juste autonomie entre Rome et le lointain pécheur d'Aesium.



Non décidément, je ne vois pas, Sénateur Détritus, un enjeux stratégique a bousculer les Sénats provinciaux existant et les frontières administratives de nos provinces.

Fluidifier les relations avec nos provinces ? Il faut honnêtement dire que le Sénat et les magistrats n'en n'ont des relations qu'en cas de soucis dans les provinces ou quand le Tributum n'arrive plus ou qu'une levéee de Légions se fait mal.

Je ne dis pas qu'a titre individuel nous, Sénateur, n'en avons pas, mais ce n'est pas le Sénat et les Magistrats qui ont des relations régulières dans les provinces, d'ailleurs ils n'en demandent pas tant que leurs ordres sont respectés.

N'est ce donc pas cela l'autonomie juste : gérer la vie quotidienne de sa province en respectant ses devoirs envers Rome et ne requérir son aide ou recevoir ses contrôles que dans cela se justifier

Et je ne comprends pas en quoi un redécoupage des provinces peut servir l'intérêt stratégique de Rome. Laissons les provinces telles quelles sont et épargnons nous un débat long et guère utile.

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Delégué auprès des Anares en 352, Envoyé consulaire chez les Lingons en 353,354,355
En campagne chez les Anares 354,355, Envoyé consulaire dans le Nord (Insubres et Helvetes)356
Lingons 357 à 360, Anares 361, 363, 364, 378, 365, 366, 368, 374, 375, Etrurie 371, 379 - 384 ,Mercure 369 - 386, 386 -
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DETRITUS CAMPANUS Julius
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Posté le : Ven 10 Avr 2015    

Vers le jeune Petronius

Un débat long et inutile ? Mais c'est en pensant cela de chaque réforme que la République n'avance pas sénateur ...

Tu le dis toi même, nos relations avec les provinces sont absentes et souvent la cause de sentiments nationalistes locaux exacerbés. Les provinces aiment leur autonomie c'est un fait et je ne crois pas que la vocation de Rome soit de suivre en détail ce qui se passe à des semaines de cheval de notre cité, pour autant cela n'exclue pas que nous avons des intérêts à contrôler d'une certaine manière ce qui se trame au delà des plaines du Latium.

Certains ont fait référence ici à des soulèvements, des cultures etc ... ce qui fait la force de notre République, c'est notre capacité à diffuser notre manière de vivre, de penser, c'est ce qui soude notre peuple en une grande et puissante nation.

Une restructuration autour de provinces plus larges n’empêche en rien l'autonomie locale. Capoue dirige la Campanie et pour autant les cités de Cumes, Pompéi, Cales ou encore Calatia mènent leur propres actions ... devraient elles se doter d'un sénat provincial ?

Réduisons nos interlocuteurs et laissons libre ces nouvelles grandes provinces de se structurer comme elles l'entendent, autour des villes qu'elles jugent majeures.

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