| Rapport du front Vénète |
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BADINUS AGRICOLA Lucius
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Inscrit le : Jeu 12 Avr 2012
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 Posté le : Dim 21 Sep 2014 |
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| Citer : Eté 390 | Consul Badinus,
J'ai pris contact avec le roi Cleos. Ce dernier va nous soutenir en demandant aux Helvètes d'arrêter les assauts contre la Venetie. L'idée étant de veiller à ce que les amis de mes amis soit également mes amis. Cette vérité ne semble pas appliquée ici car les Helvètes n'hésitent pas à piller les Vénètes.
Le roi Cleos demande également que l'ambassadeur Petronius Anarius soit envoyé. Il semblerait que la nomination de l'ambassadeur ne soit pas encore effective. J'espère que rien de négatif ne se passe quand à sa nomination. Sa position est importante pour la suite du conflit.
Je suis enfin à la frontière. Verona est actuellement assiégé. Nous estimons la force Cenomans à 30.000 hommes et la force rebelle à 18.000 hommes. Parmi les ces derniers, nous retrouvons des résistant boiens et partisans Venètesde Brennus. La force rebelle et Cenoman ne sont pas alliés mais semble s'éviter ppour mieux abattre les Venètes.
La situation politique est tendue. Une partie des Vénètes veulent défier le roi et hésite à rejoindre les rebelles. Les rumeurs sur la survie de Brennus ne font que qu'attiser ce sentiment. Le problème vient principale du Druide Divac qui s'oppose avec ferveur à la romanisation de leur religion.
Je vais bientôt entrer en territoire Venètes. Je te tiens au courant de la suite des opérations.
Je compte sur toi pour m'informer sur la situation de l'ambassadeur et pour étudier la possibilité de lever de nouvelles légions. Avec plus de forces, nous pourrions régler rapidement le conflit.
Que Mars te garde,
Consul Flaminius |
| Citer : Eté 390 | Consul Badinus,
Je suis attristé d'apprendre que tu n'as pas reçu mon dernier courrier. Je te remets une copie de ce courrier. Il est important de jouer sur nos alliés Helvètes afin d'apporter une stabilité sur la région. Je les ai contacté mais je n'ai reçu aucune nouvelle d'eux. Peux-tu les recontacter ainsi que le roi Cleos qui attendait impatiemment l'ambassadeur Petronius.
Pour ce qui est des nouvelles, le conflit avance doucement. J'ai récemment mis en déroute un premier contingent Cenoman près de Verona. Mon objectif étant de libérer la ville et ainsi briser l'offensive Cenoman. J'ai d'ailleurs officiellement demandé au chef de guerre Cenoman d'arrêter le conflit s'il ne veut pas perdre sa nation. En effet, ce dernier jette toutes ses forces dans la bataille si bien que dès que nous aurons brisé son armée, ses terres seront facilement accessible pour Rome.
Il serait intéressant de discuter de la situation au sénat. Car si le général s'entête, il faudrait alors profiter de la situation et conquérir une fois pour toutes les terres Cenomans. Tout va se jouer dans les prochains jours. Soit la diplomatie suffira contre les Cenomans, soit je livrai bataille à Verona pour mettre en déroute les Cenomans. Après cela, il restera les forces rebelles, boiennes et helvètes à mettre en déroute. J'espère que la diplomatie a pu déjà régler la problématique Helvètes.
Consul Flaminius |
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Lucius Badinus Gallicus 46 ans - membre de la force modérée
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BADINUS AGRICOLA Lucius
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Posté le : Mar 30 Sep 2014 |
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| Citer : Rapport du Consul Flaminius | Consul Badinus,
La guerre entre les Venètes et les Cenomans est terminé. Un traité de paix a été signé entre les deux nations grâce à l'intervention romaine. Les frontières redeviennent comme avant la guerre c-à-d à la limite de Verona. Une colonie romaine sera construite à la frontière pour veiller au respect du traité de paix et pour faire du commerce. Le roi Cenoman accepte de faire une ambassade romaine et de commencer des pourparlers d'amitié avec Rome.
Rome est actuellement respecté par le peuple Cenoman. Nous avons su respecter notre traité de paix avec la Venetie, nous avons prouvé la force de nos légions sur le champs de bataille et nous avons pu montrer que notre peuple pouvait apporter la prospérité.
Ton plan de retourner les Insubres contre les Cenomans est donc trop tard. Nous sommes dorénavant en paix et les Cenomans risquent de devenir des alliés. Je pense donc que nous devons entrer en guerre contre les insubres pour défendre notre allié. C'est dans l'honneur que nos alliés et amis reconnaîtront la force de Rome.
Je vais tourner mon armée contre les rebelles boiens. Ces derniers ont décidés d'avancer sur la capitale et il semblerait que cette force devient de plus en forte avec le temps. L'armée boienne n'a donc pas été vaincue et a su se regrouper attirant de plus en plus de partisan Venète.
Je pense que mes forces sont en sous nombre mais c'était également le cas contre les Cenomans et nous avons réussi à apporter la paix. J'ai confiance en Mars qui guide mes pas.
Consul Flaminius
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Lucius Badinus Gallicus 46 ans - membre de la force modérée
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BADINUS AGRICOLA Lucius
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Posté le : Sam 04 Oct 2014 |
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| Citer : Rapport du Consul Flaminius | Consul Badinus,
Les forces de Verona ont renforcé mon armée. J'ai donc prêt de 8000 guerriers Venètes qui m'accompagne et les légions romaines ont essuyés très peu perte. Mon avancée sur l'ennemi a forcé l'ennemi à se retrancher dans les collines seuganééenne.
De nombreuses escarmouches ont eu lieues et ont été remportées par nos légions. Malheureusement, l'ennemi s'est retranché dans les collines et toute attaque risque de se faire à notre désavantage.
Je pense sincèrement que le conflit se termine. Le reste des forces rebelles est encore sérieuse mais je pense que le Roi Venète, débarassé de la pression Cenoman pourra remettre une armée digne de contrer les rebelles.
J'ai l'intention de revenir pour le début de l'hiver et ainsi libérer les légions. Il est possible qu'il en faudra encore une ou deux l'année prochaine pour soutenir le roi; à voir selon l'évolution du conflit. J'ai déjà indiqué aux Venètes que les légions ici présentes rentreront à Rome comme le veut notre tradition. Si nous devons encore l'aider, il faudra absolument lever de nouvelles légions fin de l'hiver et les envoyer en Venetie.
J'ai indiqué au roi Cenoman que j'irai lui rendre visite dès que le conflit sera terminé. Je compte donc bien terminer ce que j'ai commencé ici.
Sinon, il me manque les informations de ce qui se passe chez les anares ? Peux-tu me dire si tu as bien reçu mon dernier courrier ? Je crains que Rome ne déclenche une guerre avec les Cenomans et ainsi runier la situation en venetie.
Que les dieux te gardent,
Consul Flaminius
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Lucius Badinus Gallicus 46 ans - membre de la force modérée
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BADINUS AGRICOLA Lucius
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Posté le : Jeu 20 Nov 2014 |
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| Citer : Rapport du consulaire Flaminius, automne 391 | Salve Consuls Badinus Agricola et Cornelius Scipio,
La situation s'est enlisée ! Les rebelles se retranche dans un oppidum contrôlé par les rebelles situé juste au nord des collines Bericanes, à la confluence de deux fleuves torrentiels. Cette position stratégique menace directement Verona et Patavium. Elle est malheureusement très bien défendue. Nous harcelons sans cesse cette oppidum et nous comptons bientôt donner l'assaut final.
Cet assaut est risqué mais nous pouvons plus nous permettre d'attendre. Les renforts du roi Luerons et du grand druide Divac arrivent. Je ne connais pas encore leur nombre. Un jour, on me fait savoir qu'ils sont 10.000 et l'autre jour 20.000; voir 30000. Il semblerait que cette armée est composée de mercenaires auquel le Roi Luernos aurait promis la lune. Je pense donc qu'il est possible de les briser à condition de gagner les premières batailles.
J'ai donc l'intention de couper l'herbe sous leur pied avec le peu de troupes à ma disposition. Je pense que la victoire est possible mais je ne peux plus compter sur l'effet de surprise et encore moins sur la supériorité numérique.
A l'heure où vous recevrez ce courrier, j'aurai donné l'assaut sur l'oppidum. Je prie pour que Mars nous offre une victoire éclatante !
Général Flaminius
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Lucius Badinus Gallicus 46 ans - membre de la force modérée
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BADINUS AGRICOLA Lucius
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Posté le : Lun 24 Nov 2014 |
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| Citer : Rapport du consulaire Flaminius, automne 391 | Salve consuls,
Voici le rapport de ma dernière bataille.
Nous avons commencé par lancer une série de raid de nuit a travers les marais et les rivières pour maintenir la pression sur l'oppidum. Malgré les pertes, le harcèlement a porté ses fruits épuisant les défenses.
Pour l'assaut final, les hommes se sont dotés de ballots de pailles et de "matelas" de joncs tressés permettant d'avancer dans les marais et de franchir les zones humides plus facilement. Des petites barques et radeaux ont été également construites pour faire passer les Légions à travers les rivières.
Cette approche a limité nos possibilités de siège et nous avons dû faire avec les moyens du bord; des troncs taillés en guide d'échelles, des haches à bec recourbé, des pics de fer, des paniers d'osiers qui permettent de dresser des protections légères, des bêches et tout ce qui peut permettre de passer ou de faire écrouler un segment de la fortification en bois.
Luxovius, le proche de Luernios qui dirige la garnison, a démontré toutes ses qualités de stratègé en organisant les défenses : tranchées et parois lever à la hâte, démontage des toits de chaumes, assécher par l'été, pour éviter les incendies…
La première charge fût douloureuse et nous avons perdu un grand nombre d'hommes. Mais une fois au pied des fortification, la logistique romaine ont permis de progresser et ce même si les rebelles ont défendus chaque pouce des remparts.
Les rebelles ont fini par être repoussé des remparts mais nous avons directement subit une nouvelle charge des rebelles. Cette dernière charge fut menée par la noblesse rebelle et avec une rage rarement vue. Ces hommes étaient prêt à tout pour nous détruire.
Nous avons dès lors temporisé et nous nous sommes retirés pour que les renforts puissent venir achever le travail. Luxovius a décidé de tenter le tout pour le tout et a fait charger sa cavalerie afin de stopper les renforts débarquant du fleuve.
Le courage de mes hommes et de ceux de Meriadix ont permis de tenir un bout du rempart pendant que les renforts éradiquaient la cavalerie rebelle. Une fois, les renforts arrivés aux remparts, la suite ne fut que logique... L’assaut s'est conclut par une victoire. Les pertes s'élèvent à deux milles romains et trois milles Vénètes tandis que 7500 rebelles furent tué.
Les rebelles ont préféré se sacrifier en essayant d'emporter le plus de romains que de se rendre. Cette attitude est inquiétante et est probablement dû à notre attitude lors du conflit contre Brennus. Ils ont encore à l'esprit les attaques de nos légions et le manque de pitié que nous avons fait preuve. Dans l'esprit des rebelles une capture égale la mort. Cette attitude est également dans l'esprit de mes alliés qui se pose des questions sur nos réelles intentions.
Mais heureusement, mon comportement change petit à petit cet esprit. Il commence à comprendre qu'un général romain n'est pas l'autre. Il y a encore beaucoup de méfiance envers notre nation et seule une attitude honorable ne pourra que redorer notre république.
En tout cas, si les rebelles sont près a combattre jusqu'aux dernières extrémités, il faut espérer que cela ne soit pas le cas des mercenaires car sinon la campagne sera très coûteuse en hommes.
Je mets dorénavant le cap sur Trisbriga avec le reste de mes hommes. Nous sommes en infériorité numérique mais je continue à mettre la pression sur l'ennemi. J'ai découvert que Luernos était manipulé par Divac.
Il est quasi un prisonnier chez lui. Les mercenaires répondent aux ordres de Divac qui a promis le pillage des terres Venètes. Les hommes de Luernos commencent à se réveiller mais c'est déjà trop tard. Les contestataires ont constitués les premières lignes que nous avons combattu.
Que les dieux nous gardent !
Général Lucius Flaminius Africanus |
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Lucius Badinus Gallicus 46 ans - membre de la force modérée
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