Date du jeu : été 417
Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Rapport sur la Campagne d'Illyrie
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Rapport sur la Campagne d'Illyrie
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COLDEEUS VALENS Lucius
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Posté le : Lun 16 Oct 2006    

Se levant se son siège

Sénateurs, je vais vous communiquer un rapport sur la Campagne d'Illyrie, et vu que les archives ont brûlées, je vais revenir sur toute la campagne, de ses prémices, à aujourd'hui, où la Campagne, je tiens à le préciser pour que cela soit claire, n'est pas terminée.

Le Légat Poussinus Actarus, ainsi que le Consulaire Ruffinus Caius sont sur place avec l'unique armée romano-illyrienne sur place. Je n'avais donc plus d'armée, ni d'ennemis, j'ai eu l'aval du Consul Flaminius pour rentrer.

Rapide signe de tête vers la chaise curule soutenant le Consul, prend quelques tablettes dans ces mains, de nombreuses notes y sont inscrites

Il va mettre difficile de rien omettre, ou de détailler suffisament tous les points à mettre en avant pour que le rapport soit complet.

Bien.

Reprenant son souffe, marchant de long en large entre les deux rangs de Sénateurs, de la porte de la Curie jusqu'aux chaises des Consulaires et du Consul Flaminius, reposant ces tablettes

Sénateurs, en 338 ou 339, la date importe peu, le Sénateur Flamininus a rapporté à Rome un traité qu'il avait négocié avec le Dirigeant Théon d'Epire. L'objectif était, me semble t-il, le même qu'aujourd'hui, sauf que nous avions plus d'avantages, et que ce retournement de l'Epire vers Rome et contre la Grèce allait encourager la guerre civile grecque qui n'eut pas lieu. Mais une erreur s'était glissée dans le texte, nous reconnaission la partie située à l'Est de l'Adriatique à l'Epire, en oubliant de mentionner que l'Illyrie et ce qui se situait au Nord nous appartenait. Théon en était parfaitement d'accord, mais nous devions repasser par lui pour officialiser ce changement et voter ce texte. Ce fut le Gouverneur Coldeeus qui aurait due négocier avec l'Epire fin 339, pour que l'alliance soit votée, mais la guerre contre Tarente fut officiellement déclarée aux rostres, et l'Epire a pris cela, à l'époque, comme une traîtrise, ils avaient précisé qu'il ne pouvait s'allier à nous alors que nous nous attaquions à un allié de l'Epire, et que celui-ci n'avait pas encore signé avec Rome le traité d'alliance, et donc commençée la guerre civile. L'Epire s'est donc retournée contre nous, ils auraient été sinon les responsables de la défaite grecque, et ne pouvait se le permettre comme nous l'imaginons sans problème. Il fut alors impossible de reprendre les négociations, l'Epire ne pouvait pas se permettre de se retourner alors que Tarente et la Grèce remportaient quelques maigres succès au Sud.

Levant la tête vers les Sénateurs

Je rappelle cela pour expliquer l'attaque Epirote. Depuis, les Grecs ont marqué un net recul au sud, et l'Epire a quand à lui décider d'attaquer et d'avancer, pour se démarquer.

Reprenant à nouveaux ces tablettes

Voici vraiment le rapport :

Au printemps 341, le Légat Ostia arrive en Illyrie, et ni le Sénateur Poussinus, ni moi-même sommes Légat, il décide alors de partir au Nord chercher des mercenaires, il était le seul à avoir des responsabilités, et nous ne pouvions l'en empêcher. Qui plus est, nous ne pouvions nous douter qu'il agirait aussi mal.

Depuis une année, le Gouverneur Coldeeus et son adjoint le Sénateur Poussinus Actarus et ses frères, puis moi-même, tentons de réunir une armée sur place. Avec l'aide des délégués des villes qui avaient promis d'accélérer les choses au Gouverneur, nous avons réunis 5000 combatants volontaires. Ils se sont équipés avec ce qu'ils pouvaient. Ils n'ont pas hésité une seule seconde à obéir au nouveau Légat Poussinus pour défendre l'Illyrie. Ils ont combattu pour Rome, pour la République, pas un seul moment ils ont douté que Rome vaincrait.

A l'été 341, on apprend que 20 000 Epirotes marchent sur l'Illyrie à une vitesse incroyable. Le Légat Poussinus, tout juste nommé, décides donc, en tant que Légat de Rome, de se porter, avec ses 5000 volontaires illyriens, au devant de leurs attaques, mais on apprend aussi que 15 000 mercenaires Daces, payés par les Epirotes, font chemin sur l'Illyrie par l'Est.

Le Légat Poussinus me laisse 3000 volontaires illyriens sous équipés et mal armés pour ralentir la progression de 20 000 Epirotes, tandis qu'il prend 2 000 hommes pour aller à l'encontre des Daces.

A l'automne 341, je découvre l'armée Epirote et sa flotte. Quelques milliers de cavaliers, et le reste se divisait en autant d'archers que de phallanges. Je ne pouvais ni les attaquer ni tenir des villes côtières à cause de 80 navires chargés d'archers qui couvrent l'armée Epirote. Je ne peux approcher de leur armée dans un premier temps, leur armée reste protégée par leur flotte, et je ne pouvais même pas approcher de leur armée, sachant que je serais pilloné sans pitier par la flotte. Je n'ai pu défendre le port d'Epidaurum, qui n'était pas fortifié, et à cause de leur flotte qui m'interdit de m'approcher de la mer. Il fut aussi difficile de chiffrer exactement leur nombre. Les Epirotes avançaient par armées successives, et il était impossible de savoir combien d'hommes il y avait après ce que l'on pouvait dénombrer. Leurs armées prenaient toute la largeur des plaines. Nous sommes sûrs qu'il y avait 17 000 hommes, surement 5 000 autres derrière, mais il se pouvait qu'il y en ait d'autres qui suivent. Ne pouvant donc les retarder dans leur progression au début, quand il longeait la côte, j'ai attendu qu'ils rentrent dans les terres et, à chaque col j'ai placé des escarmouches, mais ils existaient d'autres voies, et contrairement à eux, je ne pouvais diviser mes hommes en plusieurs groupes, et ne pouvais donc rester à un col défendre, de peur de me faire prendre à revers. Et ayant la seule armée qui défendait au Sud, je ne pouvais perdre le moindre d'hommes ! Je n'ignorais pas que Narona était défendable. Mes hommes étaient sous-équipés, et on avait pas encore d'arcs, qui auraient très utiles dans les embuscades, donc j'ai commencé à reculer pour arriver à Narona qu'à l'hiver, c'était mon objectif de départ, ralentir leur rapide progression pour atteindre Narona qu'à l'hiver. L'objectif fut atteint. Après avoir atteint Epidaurum en une saison, ils mirent plus d'une saison à arriver à Narona.

Quant à lui, le Légat Poussinus arrive avec ces 2000 volontaires illyriens au devant des Daces à la frontière. Ils sont 12 à 15 000 en face, et peuvent le déborder par une multitude de cols. Le Légat essayer de gagner du temps par une négociation, mais les Daces ne sont pas dupes, et le Légat, sachant très bien qu'avec 2000 volontaires sous-équipés il ne pourra faire face à une invasion de 15 000 mercenaires Daces le débordant, propose de les payer pour qu'ils se retirent. Nous sommes à la fin de l'automne, les Daces sont aux cols, les plaines d'Illyrie s'ouvrent devant eux, et seulement 2000 hommes leur font faces. Ils n'ont qu'à déferler pour s'emparer de l'Illyrie, et m'attaquer dans le dos. Mais ce sont des mercenaires, et l'or les intéresse plus que tout. Le Légat négocie 2 millions pour que les Daces se retirent, ce qu'ils acceptent, le Légat envoie une missive à Rome pour prévenir le Consul mais n'a pas le temps de demander l'avis du Sénat. Les Daces voulaient une réponse avant l'hiver, et nous étions à la toute fin de l'automne. Nous savons que cette démarche était illégale en soit. Le Légat Poussinus m'a demandé mon avis, et j'étais favorable. Nous ne voyions pas d'autres solutions en si peu de temps. Les Daces voulaient l'argent immédiatement, car ils savaient que pendant l'hiver, ils seraient bloqués. Ils étaient d'ailleurs déjà en territoire illyrien, prêts à attaquer. Le Légat Poussinus a donc emprunté au Citoyen Relentius, une connaissance d'Actarus, cette somme, et les Daces se sont retirés immédiatement d'Illyrie pour retourner dans leurs contrées, l'hiver a ensuite bloqué les cols et stabilisé ce front pour l'hiver.

A l'hiver 341, statu quo. Le Légat Poussinus me demande d'ouvrir des négociations avec les Epirotes, ce que je fais. Je reçois aussi 1000 arcs du Consul Flaminius, ces armes étaient utiles. Je sais que ces arcs avaient été envoyé très tôt par le Consul, mais plusieurs tempêtes maritimes ont retardés l'arrivée des arcs.

Je demande à mes hommes de creuser des fossés, de placer des pieux devant les murs de la ville pour décourager un assault grec et dans l'idée de diviser leurs phallanges et leurs cavaleries s'ils attaquent, mais ils ont aussi nombre d'archers. La ville de Narona est un goulet, on ne peut y arriver que par le Nord ou par le Sud, et on est obligé de passer par là si on veut attaquer l'Illyrie par voie de terre.

Mais les Epirotes commencent, en partie, à se diriger vers leur flotte, surement pour débarquer dans la grande plaine d'Illyrie, dans mon dos, où j'aurais été dans l'incapacité de les attaquer.

Le Navarque adjoint n'avait que 40 navires Illyriens à opposer à plus de 80 navires, des trirèmes et des birèmes. Le Légat Poussinus est allé trouvé Naxos, et l'a convaincu de se battre aux côtés du Navarque adjoint. Les pirates Illyriens ont battus les grecs à plusieurs reprises, connaissant parfaitement les îles illyriennes et pouvant tendre des embuscades redoutables. Le Navarque adjoint monta lui aussi une opération, de nuit, avec les pirates, au port d'Epidaurum devenu grec. Ce fut un franc succès, de nombreux navires grecs coulé, six perdus par notre Navarque adjoint je crois. Cela a permit aux grecs d'abandonner l'option maritime ! Mais le Navarque adjoint sera plus à même de détailler son action !

Se tournant vers ce dernier, le saluant rapidement

Le Sénateur Poussinus et moi-même sommes nommés Légats pour 342 en Illyrie par le Consul Flaminius, ce qui nous permet de commander des Légions romaines. Je suis à Narona avec 3000 volontaires et le Sénateur Poussinus à Delminium, à l'Est, avec 2000 hommes. Il reçoit la Légion Neptune I, et on se la partage. 2000 Vélites et 500 Légionnaires Lourds à Narona, pour défendre la ville, et 1000 Légionnaires Lourds, 1000 Vélites et 500 Cavaliers avec le Légat Poussinus à Delminium.

Les Grecs utilisent des chemins dont j'ignorais l'existence pour tenter de prendre le route au Nord de Narona donnant sur l'Illyrie, et ainsi m'encercler, je les repousse avec l'arrivée de la demi-Légion. J'ai enfin la réponse des Epirotes à notre demande de négociations, un Cessez-le-feu est décidé. Nous souhaitions au départ négocier que pour gagner du temps, et voir si nous pouvions obtenir quelque chose. Mais les négociations, notemment pour le Cessez-le-feu tourne bien, mais nous ne savons pas encore où ils veulent en venir, alors pour gagner du temps, on propose une négociation avec le Sénat. Espadon, dirigeant de l'armée Epirote, au nom de Théon accepte, et demande à négocier directement avec le Consul Flaminius cette paix, que nous sommes en train d'obtenir. Nous avons facilement obtenu cette négociation, espérons qu'il n'y ait point de piège. Je profitais du Cessez-le-feu pour demander à ma demi-Légion de renforcer les dispositifs de défense, en creusent des fossés successifs devant les murs, et en y mettant des pieux, de manière à rendre un assault suicidaire. L'idée était de faire de Narona un camp romain. Nous avions déjà commencé ces dispositifs défensifs pendant l'hiver, mais les romains étaient plus efficaces dans cette tâche. Nous pouvions tenir un siège 3 saisons, après avoir fait vidé tous les greniers de la région et envoyé au Nord les bouches inutiles. Les illyriens originaire de Narona se tenait prêt à reprendre les sentiers autour de Narona si le Cessez-le-feu se terminait. Finalement, la paix a été négociée.

Les volontaires illyriens étaient fiers de combattre des Grecs comme nos Légions dans le Sud de l'Italie, fiers de combattre pour la République de Rome, ils n'ont jamais hésités, ils n'ont jamais rien demandé en retour. Ils se sont battus en étant sous-équipés, sans réserves de nourriture, sans armes valables, mais sans jamais faillir !

Du côté Est, de nouveaux Daces payés par les Epirotes arrivent de nouveau à la frontière, jusqu'à 10 000 à priori. Ils ont soifs de butins et de pillage. Le Consulaire Ruffinus nous a rejoint, et de plein gré, va tenté de négocier avec les Daces. Ceux-ci sont en partie les mêmes que l'année précédente, mais un chef Dace a gardé pour lui et ses troupes les deux millions, et est parti loin de l'Illyrie comme prévu, laissant ainsi les autres chefs Daces sans le moindre butin, et ils reviennent donc sur l'Illyrie. Nous voulions les convaincre qu'ils auraient plus à gagner à attaquer ce chef que l'Illyrie, où trouver 2 millions seraient difficiles. Aujourd'hui, le Légat Poussinus possède une Légion entière, Neptune I, et 3000 Illyriens. J'ai laissé 2000 Illyriens à Narona, le dispositif de défense est toujours en place, et les sentiers sont à nous. Les Epirotes se sont retirés, et à deux lieues au Sud de Narona, c'est la nouvelle frontière Epirote.

S'arrêtant de marcher, retournant vers son siège.

J'ai rencontré le Sénateur Varus qui devait négocié avec les Epirotes il y a tout juste une demi-saison. N'ayant pas été prévenu de son arrivée, il s'est fait attaquée par des archers. J'ai fait sortir des héraults rappelés le Cessez-le-feu, mais quelques compagnons du Sénateur sont morts. Finalement, les grecs se sont faits rappelés à l'ordre. Le Sénateur Varus allait donc bien aux dernières nouvelles !

Reprenant une dernière fois son souffle

Sénateurs, j'en ai fini, je suis à votre disposition

S'approchant de sa place, mais restant debout, à embraser la salle du regard

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Ancien joueur de Coldeeus Nicolaeus et Coldeeus Valens Lucius
2 fois Consul, 2 fois ProConsul, 3 fois Préteur, 4 fois Edile, 4 fois Questeur, ancien archiviste et historien, Légat et Gouverneur en Illyrie, et cela doit être tout ! ^^
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L.Faustus Flamininus
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Posté le : Lun 16 Oct 2006    

Légat Coldéus , sache que vous avez bien réagit , vous êtes un exemple pour la Curie avec le légat Poussinus ...

Nous devons aussi penser à louer ces Illyriens et honorer leur sacrifice pour Rome ...

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Epoux de Luna Pirus

Ambassadeur en Grèce 338-340

Premier Légat du Sud 345-346...
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Epargner ceux qui se soumettent et dompter les superbes.
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COLDEEUS VALENS Lucius
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Posté le : Ven 20 Oct 2006    

Pour continuer sur la situation en Illyrie, la République romaine perd, par le traité de paix avec l'Epire, la ville d'Epidaurum, son port, et sa région, et quelques îles qui étaient le terrain de jeu des pirates, et qui leurs avaient permis d'infliger de sévères pertes navales. C'est surement la raison pour laquelle l'Epire a négociée ces îles.

L'Illyrie romaine s'aggrandissait petit à petit et chaque année, des villes indépendantes rejoignaient la République, comme Epidaurum et Senia, en 340, avant la guerre. Les villes plus au Sud allaient aussi à terme rejoindre la République.

Mais je ne critique pas le traité de paix, j'en donne juste les conséquences pour que chacun sache ce que nous a coûté cette guerre et cette paix, mais la majeure partie de l'Illyrie a été sauvée. C'est ce qui compte, et des massacres ont été évitées !

A ce que je sais, les habitants d'Epidaurum ont donné du fil à retordre aux Epirotes, voulant rester intégrés à la République romaine, mais aucune contestation des villes illyriennes de la province romaine n'est à noter, contre le traité j'entends.

L'Illyrie reste une province importante dans la République, après que les Grecs aient eu un pied en Italie sur le terrain de Rome, nous possédons une province qui nous permet d'atteindre leur territoire, dommage que nous n'ayons pu en profiter dès 339 et le traité avec l'Epire, et les villes grecques prêts à se retourner contre l'Hegemon. Mais cette province est à un emplacement stratégique important à l'avenir, car la Grèce reste sous la "menace" constante de l'Illyrie, et si le Sud redevient romain, nous avons un net avantage sur eux, ayant un pied en Grèce ! Sachons profiter de cette avantage désormais, nous avons déjà raté une fois le coche !

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Atreus Leto
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Inscrit le : Lun 21 Aoû 2006
Posté le : Dim 22 Oct 2006    

tu as parfaitement raison senateur, il faudra que les consuls pensent a s'occuper du sud de l'Illyrie a l'avenir, ou tout du moins, ne pas l'oublier.

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préteur flingueur.
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GAIUS Lucius
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Nb de messages : 1236
Inscrit le : Dim 20 Aoû 2006
Posté le : Dim 22 Oct 2006    

Gaius fait un signe de tête affirmatif.

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Sénateur depuis 330
Questeur 338
Edile 342
Préteur 343
Général vainqueur des troupes crotoniennes en 340

Qui pisse contre le vent se lave les dents.
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AELIUS PROBUS Marcus
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Inscrit le : Dim 22 Oct 2006
Posté le : Sam 28 Oct 2006    

Le jeune Probus garde un silence attentif durant tout le récit du sénateur Coldeeus. Il est visiblement impressionné par ce qu'il entend.

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Sénateur depuis 342.
Historien de la République en 343.
Biographie
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