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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : La dictature de Lucius Arius
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La dictature de Lucius Arius
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Appius MARIUS Postumus
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Inscrit le : Mar 15 Nov 2011
Posté le : Mer 20 Nov 2013    

J'arrange Rome quand je peux, ne confond pas tout...

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: 379. : 380. : 381. : 382. : 385, 386, 387, ....
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MJ Bacchus
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Inscrit le : Dim 26 Fév 2012
Posté le : Ven 22 Nov 2013    


Sénateur Fabius, sénateur impérialiste.


Nommons le Consulaire Arius Dictateur et qu'il élimine les Boiens !

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In vino Veritas !
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COMNIUS QUINTUS Julius
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Posté le : Ven 22 Nov 2013    

Applaudit le sénateur Fabius

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Ambassadeur chez les lingons 367-368
Questeur 373, 374
Edile 376, 377, 378
Flamine de Junon 375
Surnommé l'Etrusque
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SERGIUS AHENOBARBUS Cnaeus
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Inscrit le : Ven 16 Sep 2011
Posté le : Sam 23 Nov 2013    

Une dictature pour Lucius Arius, c'est comme donner une lance à un bucheron. La lance est une arme bien pratique, mais pas pour abattre un arbre.

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CNAEVS•SERGIVS•PROCVLI•FILIVS•VOPISCI•NEPSOS•AHENOBARBVS•LACERATIONIS
Rang et tendance : Sénateur patricien et isolationniste
Première page de la domus : En cliquant sur la domus, pour savoir tout sur les membres, sur la richesse familiale, qui est encore à marier ou mort.
Naissance : 346
Cursus Honorum : Quaestor : 377 - 378 Aedilis : 379 - 382 Praetor : 383 - 384 Consul : 386 Censeur : 394 - 395
Cursus Officium : Rerum gestarum scriptor : 378 - 379 Legatus : 385 (Aesium, Bovianum, Apulie) 393 (Pays des Taurins) Flamen: 385 à 393 (Vesta) Magister Equitum : 387 Pro Consul : 388 - 389
Liens divers : Pour en savoir plus sur les Sergii Ahenobarbi, suffit de cliquer dessus. Ou encore sur l'arbre généalogique (dernière mise à jour : 396) de la gens Sergia. Ou bien sur la composition du sénat (dernière mise à jour : 390). Ma carte perso montrant l'étendue de la république romaine (dernière mise à jour : 393), et des territoires connus (Ma carte montrant l'Urbs et ses quartiers).
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PETRONIUS SABINUS Publius
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Posté le : Sam 23 Nov 2013    

le Sénat t'a bien élu au Consulat, consulaire Sergius, ce fut comme donner un cheval de course a un aveugle, chose qu'il s'est heureusement retenu de renouveller;

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Delégué auprès des Anares en 352, Envoyé consulaire chez les Lingons en 353,354,355
En campagne chez les Anares 354,355, Envoyé consulaire dans le Nord (Insubres et Helvetes)356
Lingons 357 à 360, Anares 361, 363, 364, 378, 365, 366, 368, 374, 375, Etrurie 371, 379 - 384 ,Mercure 369 - 386, 386 -
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GAIUS Julius
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Posté le : Dim 24 Nov 2013    

Je viens de recevoir cette lettre du pro-consul Arius.


Citer
Consul Gaïus,

J'ai appris, par des amis de Rome, que le Sénat est une fois encore accaparé par certains débats sans fin. Ma personne et mon élection au rang de dictateur est un de ces débats. Ne souhaitant pas que mon nom soit à nouveau associé, même de si loin, à l'incapacité du Sénat à s'exprimer et à décider, j'apporte par cette lettre quelques éléments qui clarifiront les termes du débat. Je te demande de les partager avec le Sénat.
Le censeur Marius - cela ne me surprend pas - fait obstruction au vote d'un Senatus Consulte dictatorial, comme il a l'habitude de faire lorsqu'il ne partage pas la position qui souhaite s'exprimer mais qu'il craint que cette position reçoive un vote majoritaire. Usant de sa langue comme un serpent userait du verbe s'il pouvait parler, le censeur tord les textes et les faits, affirmant qu'un dictateur doit être accompagné d'un légat dictatorial de rang prétorien absolument. Aussi, je veux lui rappeler que la loi pose une préférence, mais non une obligation, pour que le légat dictatorial soit de rang prétorien. Le censeur souhaite également me faire retirer la pro-magistrature qui est le dernier insigne de mon commandement, alors qu'il ne dispose pas de ce pouvoir, et notons qu'il est bien plus prompt à nuire et à s'ingérer dans la ligne de commandement militaire qu'à assumer ses responsabilités de magistrat, et respectant les droits du Sénat.
Je ne doute pas qu'il s'abritera, une fois encore, derrière une soi-disant capacité à interpréter la loi, et trouvera d'une pirouette sémantique un moyen pour faire dire à la loi le contraire de ce qu'elle pose explicitement. Ce ne sera pas la première fois. Le censeur Marius a derrière lui une longue histoire de blocages, de manipulations et de mensonges. Il a l'habitude de se jouer des droits des sénateurs, il est devenu excellent dans l'art de ne pas agir ou de faire durer, ou d'agir imparfaitement, ou de retourner sa toge. Le censeur Marius est aujourd'hui le plus gros handicap de la République et tant qu'il aura libre accès au Sénat, nous ne pourrons sortir de la crise.

Aussi, si le censeur Marius fait à nouveau obstruction à la légitime expression du Sénat de Rome, les sénateurs auront le devoir de reprendre en main le pouvoir que certains ont eu la faiblesse de confier à ce censeur suffecte. Et que la République se souvienne qu'il vaut parfois mieux pas de magistrat plutôt qu'un magistrat qui agit à l'encontre de l'intérêt commun.

D'autres affirment que la dictature n'était rendue nécessaire principalement et uniquement pour contrebalancer l'opposition frontale entre moi-même et le consul Sergius, et pour désigner un seul et unique commandant militaire. Le consul Sergius n'ayant pas vu renouvelée la confiance du Sénat, la nomination d'un dictateur, pour ces sénateurs, ne se justifierait plus.
Ceux-là n'ont qu'une vision bien courte des faits et n'ont pas bien compris les enjeux de la campagne militaire que Rome mène en terre lingonne. Qu'ils sachent que si je peux vaincre les armées de l'ennemi avec un mandat de proconsul, il ne me suffira certainement pas à mettre fin à la guerre, tant cela suppose des négociations et des échanges d'une réelle finesse entre les positions des Lingons, de Boïens et des Vénètes, et bien sûr de la République. Et plus encore, dans la mesure où cette campagne conditionne la quasi totalité de notre politique en Gaule cisalpine, dépassant la seule agression des Boïens contre les Lingons et notre intervention, et que des réajustements politiques seront nécessaires dès la fin de ce conflit.
Enfin, un général ne peut mener à bien ses armées s'il ne peut s'appuyer sur un territoire disposant de capacités de mobilisation. En temps normal, la République disposerait de suffisamment de magistrats, et le Sénat serait suffisamment réactif, pour qu'un simple message de ma part débloque la levée de centuries venant combler les besoins du front. Mais la République manque de près de la moitié de ses magistrats et doit composer avec l'un d'eux, le censeur Marius, qui représente davantage un poids mort, un parasite, qu'un acteur efficace de la politique et de la volonté du Sénat et du peuple romain.
De fait, je n'ai reçu aucune réponse de Rome concernant mes demandes de renouvellement de troupes. Plus rapide que le Sénat de Rome, le Grand Conseil d'Ingovium serait déjà en train de mettre sur pied un contingent d'alliés ombriens pour remplacer celui que commande le légat Aetius Martialis, d'après ce que celui-ci me rapporte...

Dès lors que le Sénat a fait le choix de porter ses efforts et son attention vers la Gaule cisalpine, afin de raffermir son influence à travers plusieurs années d'une politique à la fois militaire, diplomatique et commerciale, nécessitant un engagement et des pouvoirs propres, et dans un contexte où les magistrats ordinaires se font rares, la nomination d'un dictateur me semble particulièrement pertinente.
Ce choix a été fait l'an dernier lorsque le censeur Marius, dans un suprême effort pour brouiller les cartes et perturber la voix du Sénat, lui a demandé de voter en faveur d'une position politique incarnée par le consul Sergius, qui voulait concentrer les efforts sur une campagne à travers l'Illyrie jusqu'en Epire, ou d'une position que j'ai défendue, consistant à réorienter nos efforts sur la Gaule cisalpine. Aussi inconventionnel que fut ce vote, il a exprimé un choix politique concret. Si le Sénat souhaite revenir sur cette politique et ne considérer la campagne en terre lingonne que comme la simple réponse de la République a un allié en détresse, alors qu'il me nomme proconsul.

J'ajoute à cette lettre mon rapport de fin de mandat.

ARIUS



Estimant personnellement qu'un pro-consul peut recevoir toute l'autorité nécessaire pour lever des troupes et négocier diplomatiquement, je ne vois toujours pas l'utilité d'une dictature. Très sincèrement, je ne vois pas ce qu'apporterait en plus un tel mandat. Mais si il est voté dans les règles, je n'ai aucune raison de m'y opposé autrement que personnellement.

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LAFRENIUS CLARUS Lucius
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Posté le : Dim 24 Nov 2013    

Les personnes qui sont pour le nommé dictateur et moi, avons une solution rapide au problème que rencontre le pro-consul.

En face de nous se dresse des sénateur qui n'ont d'autres projet que celui de crier au scandale à chaque fois qu'il est proposé quelque chose.

N'en avez vous pas assez de tourner à l'infini sur les même sujet.

Se que tu dit est bien, consul Gaius.
Tu n'est pas pour une dictature mais tu n'est pas buté sur ton idée.

De toute manière nous verrons après le vote.

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Questeur 388, 389 Edile 390, 391 Préteur 392 . Légat 401, 402, (légion Bruttia, Bruttium) Gouverneur 405 (provinces du nord et vénétie)
Consul 406


laf.clarus@gmail.com
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Appius MARIUS Postumus
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Posté le : Dim 24 Nov 2013    

Le Censeur écoute la lecture et se montre passablement énervé ... Il griffonne sur une tablette et ouvre son codex de poche en prenant des annotations.

Bien, vu le portrait qui est dressé de ma personne, je ne vais pas m'appesantir sur le fait que l'ancien Consul Saxa me hait. Alors pour remettre les choses à leurs places, je prends acte de ces arguments et je vais me référer à la Loi et à la Coutume.

Primo, le Consulaire Saxa est, jusqu'à nouvel ordre, un général en campagne. Je n'ai pas le souvenir lors de ma précédente Censure de récriminations de la part du Consul Gaius alors que je lançais son élection à un premier Proconsulat avec un Imperium étendu à l'est pour qu'il dispose des pouvoirs lui permettant de conduire la guerre. Il n'y en a pas eu non plus, lorsque l'année d'après, le Consul Vanstenus étant en Istrie, les zones d'influences des Proconsuls étaient rééquilibrées.

Il ne serait venu à personne l'idée de donner un ou des Dictatures, ou de faire d'anciens Consuls des légats alors que la situation était désespérante.

Aujourd'hui, je regarde les faits, je regarde notre situation présente et passée et je vois que nous sommes loin des conditions d'une dictature. Je cite le préambule de la Loi :


Citer
Préambule : Lorsqu’un péril particulièrement grave se fait sentir, ou qu’une tâche requiert des compétences extra-ordinaires, le Sénat peut décider de la désignation d’un dictateur pour une durée déterminée.



Le péril particulièrement grave étant écarté par les préparations de paix avec l'Epire et vu que la guerre au nord n'a pas encore démontré qu'il fallait, je cite : ``des compétences extra-ordinaires''... je m'interroge sur l'opportunité d'une Dictature. Je ne suis pas le seul d'ailleurs, les Sénateurs Gaius, Severus, Sergius et Flavinius s'interrogent également.

Pour ce qui est du légat sénatorial, j'ai bien fait de rappeler la Loi car personne ne se donna la peine de le faire. Alors, oui, le rang Prétorien n'est pas une absolue nécessité mais la Loi l'encourage vigoureusement. Parmi ceux qui se sont empressés de voter ``Pour'', personne n'a fait la démonstration que le choix du sénateur Lafrienus était un dernier recours d'une absolue nécessité.

Je veux dire par là, qu'il y a des Prétoriens présents à Rome et qu'à ce titre, ils ont la préséance sur le Sénateur Lafrienus. Il y a comme prétorien possible, les Sénateurs Montagus et Sergius.

J'en arrive au fond. Les pouvoirs étendues accordés au Sénateur Saxa au niveau militaire ou diplomatique sont un risque de diminuer les pouvoirs du Consul présent à Rome. Celui-ci devra pour toutes les négociations avec l'est ou toute décision militaire en référer au Dictateur, c'est une des implications logiques du SC proposé.

Pour toutes ces raisons et comme :

- Il est possible, de part la Loi via un Proconsulat, d'accorder au Sénateur Saxa un Imperium en accord avec sa tâche, ses missions et la dignité de son rang.

- Pour ne pas diminuer l'Auctoritas de la charge de Dictateur.

- Pour que nos institutions suivent un cours normal.

En outre, je rappelle aux Sénateurs qui souhaitent absolument faire voter un tel SC qu'ils ont l'autorisation de lancer des votes mais qu'ils doivent s'assurer de la conformité du SC qu'ils proposent avec les Lois.

Dans le cas présent le légat sénatorial est choisit parmi les simples sénateurs alors qu'il y a des prétoriens présents à Rome. De ce fait, et comme un nombre important de conditions de fonds ne sont pas réunies, y voyant une atteinte grave à nos Lois. Je suis contraint, de part les pouvoirs et la mission qui m'a été confiée d'invalider le SC proposé au vote du Sénat. La dictature est une magistrature exceptionnelle et ne doit pas être dévoyée.

Censor Dixit

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SERGIUS AHENOBARBUS Cnaeus
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/Vers le pontifex maximus.

Donc, sous prétexte que le sénat se trompe, il faut se tromper a nouveau. Etrange comme raisonnement. Surtout que tu t'es opposée à ma candidature pour un deuxième consulat. Si tu respectais ta logique, tu aurai donc souhaité que je sois consul cette année.

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Cursus Officium : Rerum gestarum scriptor : 378 - 379 Legatus : 385 (Aesium, Bovianum, Apulie) 393 (Pays des Taurins) Flamen: 385 à 393 (Vesta) Magister Equitum : 387 Pro Consul : 388 - 389
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MJ Bacchus
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Sénateur Lucius Macedo, Chevalier de la faction modérée.
Tribun de la plèbe 377- 378- 379- 383 - 384 -385
Préteur suffect 387


Je peux être ce légat sénatorial. Un magistrat peut l'être.

Ou on peut nommer le sénateur Montagus.


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MJ Bacchus
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Sénateur Aulus Droneos Ahenobarbus, Chevalier de la faction populares.
Tribun de la plèbe 373 - 377- 384- 385 - 386


Et moi aussi. J'ai été 5x tribun. Je suis donc un prétorien.


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MJ Bacchus
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Albus Sirius Montagus, Chevalier de la faction modérée.


Moi, je peux l'être en effet...
Mais je ne m'en sens pas la force d'aller jusqu'en pays gaulois pour voir les agissements du dictateur Arius. Le consulaire Arius est un homme responsable qui fera très bien ce qu'il doit faire.

Je ne postule donc pas le poste.


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FLAVINIUS CELER Lucius
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Posté le : Dim 24 Nov 2013    

écoute le censeur et approuve de la tête

surtout que la durée du mandat n'est pas définie ceci en contradiction avec la Lex Harpax sur la dictature qui la limite à un an, renouvelable...

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Cedant arma togae &quot
"les armes cèdent devant la toge"
Cicéron
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SERGIUS AHENOBARBUS Cnaeus
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Posté le : Lun 25 Nov 2013    

/Se levant, tout sourire.

Je suis disponible, de part mon statut de consulaire, pour être le legat faisant le lien entre notre auguste assemblée et mon grand ami, Lucius Arius.

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LAFRENIUS CLARUS Lucius
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Posté le : Lun 25 Nov 2013    

Sourit devant tant d'abnégation à vouloir être légat.
Et dit, d'un ton amusé, à un voisin progressiste.

Et dire que la plupart hurlaient au scandale devant la proposition de dictature.
Apparemment je vais finalement, bel et bien, être mis à l'écart de quelque chose de fabuleux qu'est la charge de légat dictatorial.

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