| Croto est prise ! |
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FLAMINIUS Gaius
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 Posté le : Sam 07 Oct 2006 |
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Sénateur,
j'ai l'honneur de vous informer que Croto a été conquis. Le navarque Plinius est arrivé à Croto et a mis en place un plan d'attaque efficace. Dès son arrivée, il nous a apporté la victoire après le siège d'une année du consul Dobrasus.
Je pense que Rome a un nouveau stratège. D'abord ses combats navales victorieux et maintenant il se révèle efficace sur terre. Mais assez d'éloges et voici la lettre de notre navarque.
Plinius Victor Lucius, navarcus classis romanae
Flaminio consuli Populo Senatuique Romanorum
Consul Flaminius,
Sénateurs,
Croto n'est plus.
En ce jour, tandis que le soleil se lève sur ses ruines fumantes, les aigles romains savourent une nouvelle victoire. Par l'action conjuguée de la flotte et des légions du consul Dobrasus, le grec maudit a, une fois de plus, mordu la poussière.
Voilà en quelques mots comment se sont passées les choses:
Arrivant devant Croto assiégée depuis de longues semaines, je déploie aussitôt la flotte, n'offrant au regard de l'ennemi qu'un horizon rempli de voiles. Deux longues heures durant je laisse les assiégés mesurer à sa juste valeur la puissance romaine espérant obtenir d'eux une réddition qui aurait éviter que coule inutilement un sang déjà trop versé. Je donne à la flotte auxiliaire punique de couvrir l'arrière du dispositif d'une éventuelle attaque par la pleine mer.
Devant cette démonstration de force, les assiégés prennent contact avec le consul Dobrasus pour négocier leur réddition. Cependant, l'orgueil grec leur voile encore la raison et, inconscients du nouveau péril auquel ils sont exposés, ils refusent de se soumettre à l'évidence et osent présenter encore au consul Dobrasus des conditions que celui-ci ne saurait accepter. Ils ont dès lors signé leur arrêt de mort: ainis c'est par la force que Croto sera enlevée.
Il convient à présent d'en finir avec cette résistance qui n'a que trop duré. Je propose un plan au consul Dobrasus. Il est convaincu. Nous le mettons en oeuvre.
Deux jours avant la nuit prévue pour l'attaque, car c'est sous le regard protecteur de Sémélé que nous agirons, la flotte fait mine d'appareiller. Sous mes conseils, on fait courir le bruit d'un revers romain devant Tarente. Il faut endormir la vigilance de l'ennemi. Le consul Dobrasus, pour accréditer cette rumeur fait plier son camp.
L'ennemi se réjouit: les malheureux, ils ne savent pas que leur sort est déjà scellé et qu'ils rient sur leur propre mort.
Le jour de l'action arrive, ou devrais-je plutôt dire la nuit. Nous sommes à la nouvelle lune, c'était hier. Apollon Phoebus a depuis longtemps remisé ses chevaux et laissé son char flamboyant dans son écurie céleste.
20 hommes, nus, enduits de noirs dans l'encre noire du ciel et de la mer réunis en une même masse sombre, s'avancent dans l'eau. 0 leur taille, un poignard, leur seule arme.
Qui sont ces vingt hommes ? Ce sont les dignes héritiers des dix hommes qui jadis scéllèrent sous mes ordres le destin de l'Illyrie, ce corp d'élite, pointe des rostres de nos navires, que j'ai créé pour l'honneur et la gloire de Rome.
Ils glissent, silencieux dans les courants de l'onde noire. A leurs côtés, cinq valeureux compagnons formés par le consul Dobrasus.
Dans la cité qui dort de sa dernière nuit, ils prennent pied, puis, d'un pas sûr et rapide, ils gagnent la porte sud. Des buissons où ils sont tapis, les hommes de la légions voient disparaitre un à un les gardes que l'ennemi avait disposé là pour parer à une attaque extérieure. C'était sans compter sur les fils de la Louve qui, plantant leurs crocs, sont alors les instruments des Parques lesquelles, depuis longtemps, avaient décidé pour ses pauvres hères qu'ils avaient assez vécu.
La porte sud n'a désormais plus de défenseurs, elle n'est cependant pas ouvertes. Les lourdes portes d'airain sont condamnée par un amas d'objet hétéroclites qui rendent impossible leur moindre mouvement. Ce n'est pas cela qui va arrêter mes hommes. Ils trouvent bientôt une poterne et ouvre la cité à ses envahisseurs.
Cependant, il faut couvrir le bruit de cette invasion.
Conformément à mes ordres, ce sera la mission des légionnaires marins et du reste des troupes du consul Dobrasus.
Tandis que s'infiltraient, ombres dans la nuits, les hommes du commando, les légionnaires mains, qui ont mis à profit la dizaine de jours de préparation pour noircir leurs vaisseaux, battent les flots de leurs rames, comme ils l'ont appris et si souvent répétés, en cadence, et dans le plus grand silence. Ils s'approchent des quais ennemis, débarquent et commece le massacre.
L'alerte est donnée, l'ennemi comprend enfin, mais trop tard, qu'il est perdu. Le bélier raisonne sur la porte nord. Avec vaillance, les hommes du consul Dobrasus, au moment même où les légionnaires marins prenaient le pied dans le port, on lancé l'assaut sur la porte qui depuis de longues semaines continue de leur résister. Désemparer, les grecs se jettent à corps perdus sur ce qu'ils croient être le seul front: ils ignorent qu'ils sont déjà pris en tenaille.
Quand ils réalisent que nous sommes déjà dans la place, c'est la débandade: on se réfugie dans un dernier bastion. Deux cents hommes, deux cents braves ont décidé de mourir les armes à la main.
Ils refusent de se rendre. L'assaut est donné: il dure toute la deuxième moitié de la nuit.
Lorsque l'aube pointe enfin ses premiers rayons, les quatre derniers officiers sont maîtrisés. La flotte de Rome, majestueuse se tient immobile dans la rade de Croto.
Je laisse au consul Dobrasus le soin de donner un bilan des pertes subies. Durant ce combat, la flotte de Rome n'a perdu que dix transports.
Gloire à Rome
Gloire aux Dieux
Plinius Victor Lucius"
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Consul actif et ancien 'plein trucs'.
Qui a fait ca ? Je te trouverai... |
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SIMONUS Jeromus
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Posté le : Sam 07 Oct 2006 |
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ne sais quoi dire , emu par cette nouvelle plus que rejuisante
se leve , applaudit et s'esclaffe :
bravo ,bravo
vive Plinius Victor Lucius
vive le consul Dobrasus
vive Rome
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Ne somme nous que les pions des DIEUX?,destiné a les divertirent?
Prefet Maximus centre 342-343
Aide De Camp du Legat BRUTUS 346
Ambassadeur en épire 354
Membre du mouvement Légaliste |
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L.Faustus Flamininus
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Posté le : Sam 07 Oct 2006 |
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Voilà une bonne nouvelle , la nouvelle doit être annoncée au plus vite , cela va remonter le moral du peuple et affaiser celui de nos ennemis et rivaux ....
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Epoux de Luna Pirus
Ambassadeur en Grèce 338-340
Premier Légat du Sud 345-346...
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Epargner ceux qui se soumettent et dompter les superbes. |
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SEVERUS Licius
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Posté le : Sam 07 Oct 2006 |
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Gloire au Consul Dobrasus !
Gloire au Navarque Plinus Victor !
Cette nouvelle conjuguée avec celle provenant de Théon éclaire le ciel de l'Urbs, désormais nous sommes aux portes de Tarente, bientôt ces félons verront nos aigles battrent sous leurs murs, et la colère de la Louve s'abattre sur eux !
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Roma Est Imperare Orbi Universo.
Pas de liberté du peuple, sans souveraineté du peuple, c'est à dire sans république- Marc Bloch.
Pro- Préteur au Samnium en 365.
Primatus Legatus en 364.
Préteur absent en 363.
Edile- 347, 357, 358, 359.
Questeur- 343, 344 et 362.
Mail: severuslicius@yahoo.fr |
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GAIUS Lucius
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Posté le : Sam 07 Oct 2006 |
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Gaius lève le poing.
Gloire à nos généraux, gloire à Rome !
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Sénateur depuis 330
Questeur 338
Edile 342
Préteur 343
Général vainqueur des troupes crotoniennes en 340
Qui pisse contre le vent se lave les dents. |
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SEPTIMUS Marcus
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Inscrit le : Sam 26 Aoû 2006
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Posté le : Sam 07 Oct 2006 |
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Se lève aux cotés de Gaius
vive Rome!! vive la République!!
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Marcus Septimus Severus
Senator ab 326
Quaestor 327-336
Aedilis 338-339
Praetor 340-341
Consul 343-345-349-352
Pontifex Maximus 359-363
Archiviste de la République 333-334-335-336.
Membre du Parti Légaliste
Décédé en 366 |
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FLAMINIUS Gaius
Autorisation : Modérateur
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Posté le : Sam 07 Oct 2006 |
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Et voilà le rapport du consul Dobrasus qui vient d'arriver. Je le trouve amusant mais bon le principal est que l'appui du navarque a permis de faire tombé Croto.
Au sénat de Rome, aux tribuns de la plèbe et au peuple de Rome,
Croto est Tombée. Loin est le temps ou je me souviens encore vous avoir annoncé à de nombreuses reprises que la ville était exsangue, et elle l’était, mais long fut elle à recracher tout le sang impur de ses entrailles que nous visitons aujourd’hui.
Vous en avez eu des nouvelles dans mon précédent rapport, les crotoniens nous ont rejeté leurs malades, leurs vieux et leurs enfants, comme le mourant recrache une haleine fétide à la gueule du premier candide qui le surveille de trop près. Nous avons négocié, et Eschyle est arrivé à Rome. Nous avons jusqu’hier encore négocié, et nous avons réduit l’opposition à Néant.
Les réfugiés de la ville ont été d’abord nourris sur nos rations, décisions que j’assume et qui à au départ provoqué la grogne de nos soldats, qui comme vous je l’imagine, sénat de Rome n’a peu être pas saisi la portée de ce geste. Je ne suis pas venu que conquérir le Sud une nouvelle fois, je suis aussi venu le garder. Ma tournée au Sud il y a dix ans sur ces terres que je foule de nouveau, puis cette campagne me le confirme jour après jour. Que je souhaite au sénat de ne plus compter dans ses rangs les bellicistes décérébrés qui souhaitent fouler du Grec, que je lui souhaite bien fort, chaque jour auprès des Dieux. Comme nous souhaitons réimplanter intelligemment le talon de la botte ; le ravitaillement prélevé aux réfugiés cessa après trois mois, pour que ceux ci soient envoyés vers Sybaris, ou le légat Fugitivus les a accueilli, avant de les renvoyer sur mes instructions dans les villages Oenotres plus au Nord, proche de notre allié Siris. Sur demande enfin du primus legatus Darus, ces réfugiés ont été dirigés vers métaponte, ruinée par les mercenaires grecs que tarente ne payait plus, pour réaménager la ville. Ils y ont été envoyés par l’archonte Demetrios de Siris, fidèle allié de Rome, et y sont encore quand je vous écrit cette lettre. Je suis heureux de ce traitement des réfugiés. Contesté au départ, voilà livré l’exemple de politique que je souhaitais appliquer au Sud, comme convenu lorsque les hommes censés en parlaient au sénat. Loués soient donc ici les légats Darus et surtout Fugitivus, et notre allié Demetrios de Siris.
Le siège proprement dit dura donc presque un an, retardés que nous fumes par la prise d’un camp vide Crotonais, puis par la contestation même du second Consul Flaminius, qui nous envoya un légat récupérer nos troupes, non sans que cela ne se fasse ressentir sur le moral de nos soldats. Je règlerai cette faute grave à mon retour, d’autant plus que cette opération, et cela a été décidé en haut lieu, fut incarné par un de mes amis, le tribunicien Verres. Un manque de tact flagrant dans ce qui semblait être une opération rondement menée de Rome, mais une véritable injure subie par nos légionnaires sur place. Je suis heureux d’avoir attendu que ces hommes prennent Croto pour vous le rendre comme nous l’avons tous encaissé ici. Un retard vous est du, patres, consul, sénat de Rome, qui n’a pas eu la fermeté nécessaire pour empêcher cette stupide mascarade.
J’ai négocié jusqu’à hier la reddition de Croto face à un officier aussi arrogant que terrifié devant l’arrivée de notre flotte. Il vous sera envoyé dans les prochains jours, avec trois de ses homologues, qui se sont battus jusqu’au bout, cachant un nouveau charnier renfermant des femmes et des enfants. Nous avons combattu les soldats de la pire espèce, patres. Et ce n’est pas en devenant comme eux que nous avons pris leur ville, prenez en conscience. 1000 de nos soldats sont tombés malades en renvoyant les corps dans la ville de croto, que ses soldats nous renvoyaient chaque jour, charriés dans les marais d’hiver. Loué ici soit le consulaire Ruffinus de nous avoir envoyé ses chirurgiens, trois d’eux que je vous demande de nommer ici à l’ordre de cincinnatus, tant fut précieuse leur aide quand il s’agissa d’isoler ces soldats, aujourd’hui bien portants. Certains d’entre eux sont revenus avec nos légions licenciés.
L’arrivée du navarque Plinius fut un soulagement pour tous. C’est quand notre bélier faisait résonner de coups sourds, et au moment où le dernier représentant crotonien négocia sa défaite hautainement que nos navires arrivèrent fièrement, dans une formation impressionnante qui glaça le sang de tous les défenseurs, soyez en surs. Lorsque le gong du bélier résonna de nouveau après cette apparition, ce fut avec la ferveur des Dieux, avec le doigt d’Ares planté dans les fondations de la ville défaite et désolée. Désolée ; ville recroquevillée sur elle comme un hérisson malade, que nous perçâmes avec la collaboration du plan et des hommes du navarque Plinius. Je décidai de fixer la défense des crotoniens porte Nord avec les valheureux vétérans de Vulcain I, quand nous contournions les derniers soldats ennemis Porte Sud, avec Vulcain II. Nos espions ont ouvert une bréche dans le mur d’enceinte, par une poterne, les portes étant toutes deux condamnées, nous le découvrîmes alors. Voilà le moment où vînt nous frapper l’illusion de rentrer dans un cercueil, monumentale tombe où se battaient des erzats de soldats, dépenaillés et souillés de maladies, fange, marchant dans des corps a peine enfouis, se vomissant dessus, cachant des tombes à ciel ouvert…
Nous n’avons pas battus des hommes. Des sous hommes, assurément. Des hommes déjà morts, se savant battus depuis plus d’un an. Je vous laisse patres méditer sur notre retard au regard de ces informations. Nous avons perdu un temps précieux.
Nous avons perdu avec Vulcain II 250 lourds, 750 vélites, 200 cavaliers pendant l’hiver. 500 lourds et 1500 vélites pendant l’attaque Porte Nord. Avec Vulcain I 250 lourds, 750 vélites, 200 cavaliers pendant l’hiver, 250 lourds et 250 vélites pendant l’attaque du dernier carré de soldats ennemis, qui étaient au nombre de 10 000, estimation encore assez large que j’affinerai. Il reste 750 lourds, 250 vélites et 300 cavaliers pour Vuclain I, qui gardera la ville ; et qui sera relevée l’année prochaine. Il reste 1000 lourds, 2000 vélites et 300 cavaliers à vulcain I que je vais envoyer à Sybaris protéger nos alliés. Elle sera elle aussi relevée l’année prochaine. Mars III sera confiée au légat Fugitivus pour sa mission vers Rheghium, Mars I vient de partir pour métaponte avec le légat Ganganus, ou je vais la rejoindre avec Mars II et les 500 derniers hoplites de Siris, formés au tir à l’arc. Ceci dans les prochains jours, le temps pour moi d’estimer un butin à offrir à nos soldats, de ranger la ville dévastée, et de préparer nos prisonniers a leur envoi à Rome. 4 officiers que je vais interroger, identifier, dans un premier temps.
La flotte thyrhénienne quand à elle compte le bilan suivant : il reste 18 trirèmes et 50 birèmes, 10 Illyriens, 250 Infanteries de Marine et 20 transports en état de combattre plus 20 trirèmes et 20 birèmes Puniques. 10 transports ont été endommagés.
Salve Patres,
Consul Dobrasus
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Consul actif et ancien 'plein trucs'.
Qui a fait ca ? Je te trouverai... |
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AEMILIUS Sebastinus
Autorisation : Membre
Nb de messages : 98
Inscrit le : Mar 30 Avr 2024
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Posté le : Dim 08 Oct 2006 |
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Je ne vois rien d'amusant dans ce rapport, consul. S'il est amusant qu'une ville ait été prise, ruinée, affamée, une ville qui fut autrefois possession de Rome, alors rions. S'il est amusant qu'il ait fallu un an à nos légionnaires pour prendre une cité, alors rions. S'il est amusant que les deux consuls de Rome ne soit pas capables de s'entendre sur la politique à mener dans une guerre, alors rions.
Croto est tombée, vaincu par nos soldats, marins, par notre consul et notre navarque. Cela est drôle consul Flaminius ?
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PLINIUS VICTOR
Autorisation : Membre
Nb de messages : 857
Inscrit le : Mar 29 Aoû 2006
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Posté le : Dim 08 Oct 2006 |
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| Citer : FLAMINIUS Gaius | Et voilà le rapport du consul Dobrasus qui vient d'arriver. Je le trouve amusant mais bon le principal est que l'appui du navarque a permis de faire tombé Croto.
Au sénat de Rome, aux tribuns de la plèbe et au peuple de Rome,
Croto est Tombée.[...]
La flotte thyrhénienne quand à elle compte le bilan suivant : il reste 18 trirèmes et 50 birèmes, 10 Illyriens, 250 Infanteries de Marine et 20 transports en état de combattre plus 20 trirèmes et 20 birèmes Puniques. 10 transports ont été endommagés.
Salve Patres,
Consul Dobrasus
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HJ: petite rectification: l'état exact de la flotte est le suivant:
26 trirèmes, 68 birèmes, 9 Illyriens, 19 transports, 200 Infanteries de Marine
plus 20 trirèmes et 20 birèmes Puniques
Les navires endommagés sont 1 léger illyrien et 10 transports 
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18 V/ 6 D
Flamine de Mars 344-345-346
Carmanovius à la Roche !
Alias Dreyfus |
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Atreus Leto
Autorisation : Membre
Nb de messages : 661
Inscrit le : Lun 21 Aoû 2006
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Posté le : Dim 08 Oct 2006 |
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acquiesce aux propose du senateur Aemilius
tu m'enleves les mots de la bouche senateur...
Faut il vraiment se rejouir que la majeure partie de notre armee ai mis une annee entiere a prendre une ville mineure defendue par, je cite, "des sous hommes"??
Y a t il une quelconque gloire a attendre un an pour prendre cette cite tout en perdant 1250 legionnaires, 3200 velites et 400 cavaliers, soit une legions entiere peu ou prou?
Combien de temps et combien d'annees faudra t il a ce rythme pour prendre Tarente?
Devra t on demander l'aide des carthaginois aussi pour cela? Rome ne peut elle donc jamais se debrouiller seule?
Non vraiment je ne vois aucune raison de se rejouir...
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préteur flingueur. |
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TUBBSARIUS Flavius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 1337
Inscrit le : Sam 26 Aoû 2006
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Posté le : Dim 08 Oct 2006 |
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il en est pourtant une, que nous ne pouvons négliger, celle qui nous permet tout simplement de nous tourner vers tarente et de ne plus separer nos troupes sur deux fronts au moins.
Croto prise, Rheggium contrainte à la défense et/ou à la diplomatie, l'illyrie de retour au calme, et notre flotte libre de ses mouvements, nous sommes enfin en position de faire plier notre Rivale.
pour celà, au moins, nous pouvons nous réjouir.
pour ce que fut la campagne jusqu'ici, laissons celà, qui fut décidé par le passé, nous resolverons ces problemes lors du retour de ceux qui furent au front. ce qui me semble plus judicieux que de discourir, ou de faire des simplifications des évenements passés, sans avoir sous la main les divers concernés.
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Respublica defensor
Dictateur 362
Pontife (Crucifixion adept)341-342-343-344-345-346-347-348-349-350-351-352-353-354-355-356-357-358-359
Consul 333-334-335------360-361
Préteur 331-
Edile 330-
Questeur 328-329- |
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FLAMINIUS Gaius
Autorisation : Modérateur
Nb de messages : 1499
Inscrit le : Mar 30 Avr 2024
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Posté le : Dim 08 Oct 2006 |
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Ce qui est amusant, sénateur est l'arrogance du consul Dobrasus. Je vais parler franc, cette homme n'est pas à sa place. Celà fait un an qu'il mène un siège et aucun résultat. Il m'a accusé alors que je voulais remplacer nos légionnaires. Il a refusé aux citoyens de revenir chez eux. Le consul Dobrasus a promis au sénat que le conflit serait fini assez vite et qu'il serait de retour à Rome pour la demi année. Encore un mensongé honteux. Il a fallu l'expérience de navarque pour enfin briser le siège de Croto.
Alors il lui reste le role de recenser les pertes, chose qu'il est pas capable de faire car j'ai un rapport différent venant du navarque. Ce dernier me parle de 26 trirèmes, 68 birèmes, 9 Illyriens, 19 transports, 200 Infanteries de Marine plus 20 trirèmes et 20 birèmes Puniques alors que le consul Dobrasus parle de 18 trirèmes et 50 birèmes, 10 Illyriens, 250 Infanteries de Marine et 20 transports en état de combattre plus 20 trirèmes et 20 birèmes Puniques.
Maintenant, il parle de diviser l'armée. Je préfère me taire mais je prédis que le consul Dobrasus va se faire encercler. Non je le redis, le consul Dobrasus n'est pas à sa place en tant que chef des armées. J'ai l'intuition que Rome n'utilise pas ses meilleurs atouts pour le Sud.
Et vous, trouvez vous la gestion du consul Dobrasus efficace ? Le trouvez-vous à sa place ?
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AEMILIUS Sebastinus
Autorisation : Membre
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Inscrit le : Mar 30 Avr 2024
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Posté le : Dim 08 Oct 2006 |
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Il est le consul de Rome que le Sénat a élu sciemment pour commander nos légions dans cette guerre.
Mais, en tant que consul pour l'année 342 tu disposes d'un droit de veto sur les actes et décisions de ton collègue. Si tu les estimes si mauvais, pose un veto sur ses actes, en application de la loi organique sur le consulat. Le Sénat tranchera alors.
J'ajoute qu'il est souvent facile de juger une situation militaire de loin, et de donner des conseils stratégiques. Qui sait ce qui se passe réellement au front, comment est réellement la situation ? Attendons le consul Dobrasus pour le juger ; attendons qu'il puisse défendre sa stratégie d'ensemble, qu'il puisse justifier ses difficultés.
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OVATORIUS Caius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 348
Inscrit le : Ven 25 Aoû 2006
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Posté le : Dim 08 Oct 2006 |
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Et toi?
es tu a ta place. A salir l'image du consul qui se bat pour reprendre le sud?
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50 ans
Flamine de Junon depuis 342
342 - Questeur
341 - Prefet zone Nord. |
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FLAMINIUS Gaius
Autorisation : Modérateur
Nb de messages : 1499
Inscrit le : Mar 30 Avr 2024
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Posté le : Dim 08 Oct 2006 |
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Il est facile de ne pas être jugé car on est loin de Rome. Chaque décision que je pose est scruté avec attention. Beaucoup attende un faux pas et l'on remercie mes actes du bout des lèvres. Etre consul à Rome est bien plus ingrat. A moins que ce soit l'homme qui est ciblé.
Quoiqu'il en soit, je me suis battu l'année passée et quelque part j'ai réussi à obtenir le remplacement de nos légions. Maintenant, je ne recommencerai pas à le faire. Je juge le consul Dobrasus sur ces dires et ses actes. Mais si il vous faut une débâcle pour que vous rendiez compte de celà, et bien nous l'attendrons.
Heureusement que le navarque est enfin arrivé, nous avons une chance de s'en sortir.
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