Date du jeu : été 417
Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Anciennes provinces étrusques - Rapport Questure 379
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Anciennes provinces étrusques - Rapport Questure 379
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Appius MARIUS Postumus
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Inscrit le : Mar 15 Nov 2011
Posté le : Mar 03 Avr 2012    

Sur les conseils du praepositus consciencieux de la Questure Barbatus j'ai décidé de me rendre en Etrurie pour réclamer le Tribut promulgué par le Consulaire Tubbsarius. Le Consul Urbanis m'a adjoint une centurie de la légion Quirinus pour la sécurité du convoi.

Pour rappel, en ce qui concerne les fonds de l'état et donc la Questure. Le Tribut s'étale sur les années 376-380 pour les provinces concernées (8.400.000 as/an). En sus, la province de Tarquini doit assumer le tributum de la province de Cosa jusqu'en 385.

Dans les années 376-377 le tribut n'a pas été perçu. En 378 le tribut 376-377 a été perçu.

Ma première destination fut Tarquini, le Préfet de cette province était géné par ma présence. Il m'a indiqué avoir des difficultés à payer le tribut ainsi que le tributum mais il se voulait très arrangeant. Il ferait le necessaire pour payer la somme que je jugerais convenable de rammener à Rome compte tenu de ses difficultés.

J'ai décidé alors de rassembler tous les préfets à Populonia pour juger des difficutés réelles des provinces à payer. Après tout, même si les demandes de payement arrivaient groupées, le fait que l'édit soit un peu oublié n'aurait pas du poser problème aux préfets s'ils mettaient un peu de coeur à l'ouvrage pour mettre à disposition de Rome son tribut.

L'idée était clair négoçier un étalement du Tribut si il y avait de réelles déifficultées, être ferme si les préfets assumaient mollement leurs devoirs.

J'invite, à me rejoindre, le fils du Consul Vanstenus et la réunion débute avec les préfets des provinces. Il apparaît rapidement que les préfets des provinces vaincues se plaignent qu'ils ne peuvent arriver à trouver les montants des tributs. Ainsi ils ne se mettent pas trop à dos la population locale. C'est Rome qui est dure avec eux et non pas le préfet. Néanmoins, globalement, ils sont parvenus à payer ce qui était prévu pour les deux premières années. Et les conditions n'avaient pas changé. Il n'y avait pas de raisons pour ne pas réclamer ce qui devait être dû.

De ma propre initiative je réclame le tribut pour les années 378 et 379 et, afin que les préfets soient dans le devoir pour l'année 380 je les pénalise pour l'année 378 que je considère en retard à hauteur de 15 % de 8.400.000 as. Les préfets, cohérents, tentent d'expliquer que les survivants de la révolte sont des victimes et que je donnerais de Rome une mauvaise image. J'explique alors que Rome souhaite être ferme ainsi que Respecté. Un Questeur ne doit pas réclamer avec insistance un tribut mais il doit le percevoir. Je demande à ce qu'il soit prélevé chez tous ceux qui ont eu une sympathie pour les révolter.

Souçieux de ne pas les brusquer, comme ils ont compris qu'il ne devait plus essayer d'échapper au tribut en se faisant oublier, je réduis l'amende à 5 % (i.e. 420.000 as). A ce moment Caius COMNIUS, indiquant représenter le Pro-édile, explique que tout fonctionne bien en Etrurie et que les fonctionnaires de la Questure ainsi que le Sénat n'ont pas à se plaindre de la manière de payer de l'Etrurie et que du côté de Rome on accepte très bien la situation. Que l'amende est illégale.

Sur cet échange, j'indique que la loi ne m'autorise pas mais ne m'interdit pas. Ma Potestas n'est pas inexistante et que je ne vois pas d'inconvénient pour que la justice arbitre. Afin de ne pas tenter les préfets à s'écarter de leurs devoirs je clos la réunion rapidement mais Caius COMNIUS continue à éructer sur l'illégalité de ma mesure et sur le peu de compétences que je possède.

Il est regrettable que mon autorité fut sapé de cette manière surtout lorsqu'il existe une difficulté à s'imposer en façe de provinces récalcitrantes.

Les effets du comportement de Caius COMNIUS ont été rapide puisque les préfets ont très rapidement compris que l'on pouvait maltraiter un Questeur. J'ai donc fait rappeller aux préfets le tribut qui devait être payé.

Même si le Consulaire TUBBSARIUS a tenté de mettre une organisation différente à mi-chemin entre la centralisation et l'auto-gestion il semble, et je prends des précautions en disant cela, que ce soit l'état d'esprit qui pose principalement problème. L'autorité doit se manifester d'une manière ou d'une autre pour le bien de Rome.

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