| Ambassade auprès des Boiens |
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VANSTENUS Julius
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 Posté le : Lun 22 Mar 2010 |
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Ambassade des Boiens 366, rapport no 1. Par Théodorius Claudii.
Bonnonia
L'ambassadeur est arrivé sans problème à Bonnonia, la capitale des Boiens. La cité possède d'ailleurs une petite communauté romaine, installé la bas depuis un temps. Les romains de cette commauté vivent surtout d'activités marchandes et diplomatiques. Les autorités Boienne ne sont pas défavorable à une légère extension de la commuauté sous la protection de l'ambassadeur. Mais cela devra avoir lieu après l'importante succession qui est en vue. Cette communauté est néanmoins très importante pour le futur, car elle permet de maintenir une précense romaine qui dévellope des liens significatifs avec nos alliés Boiens.
Brennus
Le prince Brennus à accueilli le représentant de Rome. Son père le roi étant malade, voir mourant. Le prince ne croit pas qu'il survivra à cette année. Après des échanges de cadeaux, des discutions ont pu avoir lieu. Le prince Brennus donne l'impression d'un véritable chef gaulois, il apprécie les festivités, les valeurs familiales comptent pour lui, il est ambitieux et accorde de l'importance au prestige et au pouvoir. Le prince par contre à assurer l'ambassadeur de l'amitié des Boiens avec Rome.
Sucession
Une succession aura donc lieu. Le prince Brennus à de bonne chance de succéder au trône. L'ambassadeur lui à garenti la reconnaissance et l'appui de Rome, d'ailleurs le prince Brennus connait bien Rome, il à participer à la campagne d'Illyrie, il fut diplomate pour son père, et il sa famille est proche de grande familles de Rome. La sucession néanmoins est suceptible de créer des remous, puisque le parti des Druides, opposants déclarer à Rome, semble avoir des réticences à voir le Prince rêvétir la couronne. Mais le Prince Brennus reste la personnalité la plus en vue. La sucession aura lieu bientot, et lors du prochain rapport à Rome, le Sénat devrait être informé des évènements qui entourerons ce moment très important ce peuple, et pour les liens de Rome.
Les Boiens et les Romains
Dans l'ensemble le peuple Romain est très apprécié du peuple Boien, qui apprécie les échanges et les ententes avec les romains. Sans l'ombre du parti des druides, cette amitié serait inconditionnelle. Le peuple Boien tient à ses liens avec Rome. L'ambassadeur les condidère comme des amis fiables.
Alliance avec les Vénètes
Le prince Brennus caresse le projet de marier une princesse Vénètes afin de s'allier avec ce peuple, pour faire face de facon commune aux raids germains dans le nord du pays. Les Vénètes semble avoir certains liens avec les Boiens et se trouvaient en ambassade au même moment que l'ambassadeur romain. Par contre rien n'indique que Rome n'ait à craindre de ce rapprochement. Éventuellement peut-être serait-il même possible d'en apprendre plus sur les Vènètes par les Boiens.
Raids Germains
À la frontière nord, les Boiens doivent faire face à des raids germains. Principale menace et problème auquel les Boiens sont aus prises. L'ambassadeur à déléguer auprès du Prince quelques vétérans romains du service de l'ambassadeur, qui pourront agir comme conseiller pour aider les Boiens à se renforcir, en construisant des fortins et améliorer leur logisitique. Mais cette aide est très minime cependant. L'ambassadeur recommende aux consuls d'envoyer un contingent de 250 légionnaires pour appuyer d'avantage nos alliés Boiens. La stabilisation de cette frontière , permettrait à nos alliés Boiens de pouvoir appuyer Rome si la nécessité se présente. Le prince Brennus réfléchit d'ailleurs à la possibilité de rendre disponible pour Rome un contingent de cavalerie. L'ambassadeur recommende à Rome de convaincre le Prince, en lui fournissant de l'aide contre les Germains.
Les Druides
Les druides sont très influents chez les Boiens. Leur chef est un nommé Divac, et il n'apprécie guère les romains et les liens que les Boiens entretiennent avec eux. Car il ne veut pas perdre le pouvoir qu'il exerce sur son peuple. Pour le moment l'ambassadeur recommende à Rome de se tenir en retrait des druides, afin de ne leur donnés des munitions en venant s'ingérer dans leur affaires. L'ambassadeur romain pourra approcher les druides, uniquement lorsque la sucession du prince Brennus sera confirmés. L'ambassadeur doute aussi Divac lui accordera une audiance. Mais Divac est vieux, et Rome doit espérer un changement de garde qui lui serait plus favorable, en continuant à prouver aux Boiens leur amitié.
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J. Vanstenus Sanctus
Quaestor 354 - Legatus in Etruriam 356 - Aedilis 357, 358, 359, 371, 372 - Praetor 360, 361
- Rector provinciarum Apuliae, Bruttii et Calabriae 362, 363, 364 - Legatus in Samnium 364 (surnommé Sanctus, le Vertueux par ses troupes au Samnium) -
Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
Censor 373, 374, 375, 376, 377, 378, 389, 390, 391 et 392 - Proconsul in Histriam 386. |
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ORLENUS Arturus
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Posté le : Mer 15 Sep 2010 |
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Rapport boyen 369
"Consuls de Rome, Sénateurs,
Voici mon rapport complet pour cette première année à l’ambassade de Bonnonia.
BONNONIA, LA CAPITALEMon arrivée à Bonnonia s’est bien passée. Malgré la maladie du patricien MARCELLUS Theodosus, la crise de l’épidémie, le patricien Stilo POUSSINUS a bien gérée. Dans l’ambassade sur les 36 employés, il y a que 13 employés qui sont morts. Ils ont tous étés remplacés, il y a 30 romains et 6 boïens.
Mon prédécesseur ne semble pas être encore rétablit. Il est possible qu’il n’agisse pas de la peste. Le reste de la population romaine sur la dizaine de gens, l’ambassade n’a que compté 42 morts. Pour le reste du pays, il est impossible de donner les chiffres. Les employés n’ont pas pu me donner des chiffres. Durant un repas, BRENNUS a été interroger sur la question, mais il n’a pas donné de réponses précises. Concernant Bonnonia, les conséquences de la peste ici sont difficiles à connaître.
BRENNUS, LE NOUVEAU CHEF
Quelques jours après mon arrivée à Bonnonia, j’ai été rejoins par l’ambassadeur DARUS et le fils du Consulaire-Édile VERUS. Nous sommes allés rendre visite au nouveau Roi BRENNUS. Nous lui avons présenté les condoléances de Rome et de son Sénat. L’ambassadeur DARUS lui a offert une belle épée. Sur les deux cotés de la lame, il y a les noms de CAUDERIX et BRENNUS. Donc la succession du Roi CAUDERIX, elle est terminée. CAUDERIX mort, c’est son fils BRENNUS qui est devenu le Roi des Boiens. Je ne crois pas qu’il y a eu d’autres candidats. Néanmoins, les employés de l’ambassade m’ont averti du fait que BRENNUS avait un conflit avec le Druide de son père, DIVAC qui est le Grand Druide, l’équivalent du Pontifex Maximus Il est impossible de dire le motif de cette mésentente.
Durant l’entretien que nous avons eu avec le Roi BRENNUS, il m’a semblé très sûr de lui, assez prétentieux. Un peu rabaissant envers les autres, même ses alliées. Les Vénètes étant guerriers forts mais bêtes. Quand aux Romains, des hommes qui n’ont pas une grande parole.
Il semble toujours avoir une très grande influence dans la cour et le pays. Il suffit d’une petite blague douteuse pour que la cour éclate de rire.
LE PAYS BOÏEN
L’arrivée de la centurie a été bien accueillie par le Roi et le peuple boïen. Pour BRENNUS, cette centurie est insuffisante : « elle ne fait que protéger un seul village. Ce qui est loin de suffire et nous avons largement de quoi regroupé en liant nos deux peuples! » La centurie aurait refroidie quelques tribus cénomanes pour les raids. Ces Cénomans sont des peuples "germains" au nord du pays...ils font des raids tout les ans au début du printemps. Selon, BRENNUS, la peste ne les aurait pas beaucoup touchés. Il évoque que cela pourrait être du au manque de relation avec les autres peuples.
UN MARIAGE POUR ALLER EN GUERRE
Wardix, l’un des frères du Roi, devrait épouser dans l'année une fille du Roi Vénète NENETIX. Il souhaite un grand rapprochement de son peuple avec le peuple vénète afin de lutter contre les raids Germains et plus particulièrement les Cénomans au nord. Je me suis permis de proposer une aide de la part de Rome dans ce conflit, en usant même de la dette que doit Rome à Bonnonia lors de l’implication que des Boïens dans le conflit avec les pirates illyirens. Mais BRENNUS a fait comme s’il était sourd à cette proposition. Après nous avoir informé que l’alliance Bonnonia et Patauvium était une alliance par solidarité : les deux peuples ayant tous les deux des problèmes avec les raids cénomans. Il a ajouté que les Vénètes voulaient être le plus autonome possible. Il nous informé de l’influence du Druide Royal qui est énorme sur le NENETIX. Les Druides craignent sans doute les tentatives pour agrandir l’influence de Rome chez les Gaulois. Je n’hésiterais pas à le relancer sur le sujet. BRENNUS, étant un véritable guerrier, je pense qu’il n’hésitera pas à mener son peuple à la guerre. Mais pour le moment, je ne connais pas la date du début de la guerre, ni même les intentions de BRENNUS sur les Cénomans. J’essayerai d’avoir ces renseignements le plus rapidement possible.
J’irais bien évidement au mariage entre ces deux familles royales. Une occasion se fera sans doute pour que l’ambassadeur et moi-même nous nous mettions d’accord sur la stratégie à employer pour faire en sorte que Rome ne perde pas de l’influence en Gaule à cause de cette alliance. J’attends avec impatience les instructions des Consuls et du Sénat concernant la suite de ma mission.
AUTRES INFORMATIONS
J’ai récolté d’autres informations. Que je vais signaler dans ce rapport. Selon BRENNUS, NENETIX semble assez proche de l'ambassadeur épiriote même si dernièrement il y aurait eu une embrouille entre eux. Mais cela sera peut-être confirmer dans le rapport de l’ambassadeur LAUDANUM.
Il se dit partout dans les rues de Bononnia que le jeune POUSSINUS envisagerait un mariage avec une des sœurs du Roi. D’après moi, il s’agirait de Koupaia. La sœur à laquelle BRENNUS se sent le plus proche.
Cnaeus AETIUS
Ambassadeur romain à Bonnonia
Hiver CCCLXIX
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Officier de l’Ordre de Cincinnatus
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Consul 358-359-360-362-369-370
Preteur 353-376
Edile 352-373
Questeur 351 |
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ORLENUS Arturus
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Inscrit le : Sam 14 Juil 2007
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Posté le : Lun 20 Sep 2010 |
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RAPPORT Gaule cisalpine Darus 369
| Citer | Ave, consuls, patres.
A l'heure où je m'apprête à quitter Bononia, voici le rapport de ma visite en pays Boïen.
L'ambassadeur Cnaeus Aetius n'est arrivé sur place que peu de jour avant moi et n'a pas été de ce fait d'une grande utilité pour m'informer de la situation sur place, mis à part le nombre de morts à l'ambassade, qui est de treize sur les 36 employés. Un compte-rendu plus tard, nous avons été à même de compiler les informations suivantes.
Ce sont quarante-deux romains qui sont morts ici, sur une population indéterminée. Si les proportions de tués sont les mêmes qu'à l'ambassade, cela signifie qu'une petite cetaine de citoyens romains résident dans la capitale.
Malgré des différents entre lui et le druide Divac, le prince Brennus a succédé à son père sans qu'aucun autre prétendant ne se soit déclaré contre lui. Il est comme son père un ami de Rome et compte s'inspirer du règne de son prédécesseur, qu'il qualifie de plus grand roi des Boïens. C'est une véritable légende locale. Il parle latin, grec et punique, et est doté d'une grande culture, toutes choses qu'il doit en partie à des mentors romains, les grands Valerius et Antonicus. De ce fait, il apparaît, je cite "comme un rapport idéal contre les vélléités romaines au nord." Ce dernier point est confirmé par l'autorité et la clairvoyance qu'il a montré pendant sa régence au temps ou son père nous secondait en Illyrie.
La population comme les élites suivent fidèlement Brennus, aussi Bononia reste-t-elle pour nous une alliée aussi sûre que du temps de Cauderix. Toutefois, les druides menés par Divac nous sont hostiles.
Les Boïens sont également proches de leurs voisins Vénètes, et le prince Wardux, frère de Brennus, devrait épouser bientôt une des filles de Nénétix (et non Brennus lui-même comme le voulait la rumeur).
Cette alliance matrimoniale scellerait une alliance militaire entre les deux peuples contre les Cénomans au nord. Epargnés par la peste, ceux-ci semblent intensifier leurs raids sur les deux nations.
Cette alliance semble plus dictée par la nécessité que par un respect et une estime commune, Brennus lui-même ayant qualifié en public les Vénètes comme le peuple le plus proche des barbares, dont la brutalité associée au génie stratégique des Boïens devrait faire miracle. Le roi est allé jusqu'à qualifier ses voisins de "peuple assez bête".
En revanche, Brennus n'est pas étouffé par son amitié pour les Lingons.
En guise de conclusion je me contenterais de dire que les liens avec notre principal allié au nord semblent toujours aussi fort.
Brutus Darus Bassus, ambassadeur en Cisalpine." |
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JUNIUS CAMILLUS Caius
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Inscrit le : Dim 18 Nov 2007
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Posté le : Mer 08 Déc 2010 |
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Rapport Gaule Cisalpine - Boiens - 370
| Citer | En cette année 370, la relation entre Rome et Bonnonia a été légèrement ébranlé par une affaire d’émissaire rhégiotes. Ceux-ci étaient venus à Bonnonia pour demander audience au Roi BRENNUS. La délégation rhégiote avait affirmé que Rome n’avait pas respecté un traité, que nous étions devenus des fourbes et des menteurs. Ils ont demandé à ce que le Roi BRENNUS soit méfiant à l’avenir envers la République.
Des informateurs, provenant du palais, m’ont averti de cette ignominie rhégiote. Je me suis rendu aussitôt au palais. Là-bas, on m’avait fait savoir que la Vénétie et Rhégium avait signé un trait. Ce qu'il y a écrit, je ne peux pas vous le dire. Le Sénat comprendra donc que le Roi BRENNUS et son Royaume se trouve dans une situation très inconfortable. Ils seront partagés entre la Vénétie, je rappelle que tout boïen est pro-vénète, et Rome. Après des discussions avec le Roi, celui-ci accepta de continuer à croire dans notre alliance. Cela doit en partie tenir du travail des précédents ambassadeurs romains et de l’alliance qu’ils ont travaillé avec Caudérix et de la volonté de Brennus de continuer sur la voie qu'à traçer son père.
Le Roi m’apprend par la suite qu’il s’agit d’un conflit diplomatique dû à une « incompréhension » entre l’un de nos Consuls et l’ambassadeur Rhégiote. Antartès a envoyé partout ailleurs des émissaires affaiblir les liens diplomatiques avec les autres nations. Antartès aurait sans doute envoyé dans tous les régions du monde, des émissaires afin de discréditer la République.
A noter que prochainement, un mariage serait prévu entre la princesse Koupaia et le patricien Stilo POUSSINUS. Ce mariage pourrait aider dans la relation que Bonnonia a avec Rome.
Le pays Boïen :
Il y a quelques saisons, le Consul(aire) Flavius AETIUS Martalis avait envoyé une Centurie de vétérans à Regium au nord-ouest de Bonnonia à la frontière avec les Cénomans. Depuis cette période plus aucun raid n’a été fait sur sol boïen par les tribus Cénomans. Cela a grandement satisfait le peuple autant que l’élite. Mais il est regrettable de penser que cette Centurie est en perte de vitesse. Il semblerait que les vétérans n’aient pas reçu leur solde. Prochainement, ils vont probablement dissoudre leur Centurie.
En ce qui concerne la guerre entre l’alliance vénète-boïen contre les tribus cénomans ne soit pas une guerre à proprement dites. Il semblerait que les Roi gaulois aient prévus des raids sur les Cénomans. Un émissaire vénète sera reçu pour discuter de la date de ces attaques. BRENNUS n’a toujours pas accepté l’offre d’aide de Rome dans un conflit avec les Cénomans bien qu’il accepte l’aide de la Centurie.
Les échanges Rome-Bonnonia :
Après deux ans ici, je parle communique bien dans la langue gauloise. Afin d’être plus proche des habitants et de facilité ma communication je me suis intéresser à la culture gauloise. Une tablette est remise avec ce rapport. Cette tablette est une fiche sur les Boïens. J’essaie de mettre à jour et de compléter cette fiche afin d’aider dans les années avenir.
Dans un souci d’améliorer la collaboration entre Rome et Bonnonia, j’ai discuté avec le Roi sur une collaboration dans la cartographie du Royaume Boïen. Bien sûr, Bonnonia n’a pas les capacités scientifiques de produire une telle carte. C’est pour cette raison que je demande à ce qu’on envoie un géographe reconnu pour faire une carte du Royaume Boïen. Cela nous permetteras de mieux connaître notre allié. Nous pourrons alors situer les routes, les villes. Cela m’aidera dans la tournée que je compte faire cette année.
Cnaeus AETIUS
Ambassadeur romain à Bonnonia
Printemps CCCLXXI |
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Lucius Junius Camillus - IIIème du nom
Descendant des Junii Brutii, Sénateur Patricien
42 ans |
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FLAVIUS VERUS Philippus
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Nb de messages : 1412
Inscrit le : Dim 21 Jan 2007
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Posté le : Mar 03 Mai 2011 |
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Rapport de l'ambassadeur Cnaeus AETIUS auprès des Boiens.
| Citer | Salve Consuls, Magistrats, sénateurs,
Voici mon rapport :
Depuis mon dernier rapport, je me suis rendu à Regium. J'ai été très bien accueilli et par les habitants et par les vétérans de la Centurie. Je suis très bien accueillit par la population qui apprécient beaucoup le travail fait par la Centurie. A telle point que lorsque Rome a oublié ses fils, c'est les habitants de Regium qui ont fournit aux vétérans ce dont ils avaient besoin gratuitement. Cela nous le devons au vate JUNOX qui avait mobilisé les autres sujets du Roi. Les vétérans sont soulagés et on enfin le sentiment de ne pas être oublié par Rome alors qu'ils œuvrent pour le bien de celle-ci loin de chez eux. Le Centurion DEMARUS m'annonce que le moral des hommes étaient au plus bas. Quelque mois de plus et les hommes auraient finis par désertés. Bien que dans une période de paix, ces hommes ont vécu comme s'ils étaient en guerre. N'y ayant pour honorer les Dieux qu'un petit autel dédié à Jupiter.
Grâce à la présence de la Centurie, les habitants de Regium ont pu vivre en paix et prospérer. Durant tout ce temps, certains ont appris à défendre leur cité le moment venu. Le seul problème est le nombre qui est en face des boïens. La présence de la centurie a donc un effet dissuasif sur les ennemis barbares. A partir de cette instant, l'idée d'une garnison a émergé dans mon esprit. Restait à en faire part au Roi BRENNUS. J'ai demandé alors au Vate JUNOX (personne la plus influente de Regium) et au Centurion DEMARUS de me suivre à Bonnonia pour en discuté avec le Roi BRENNUS. Durant le trajet une deuxième idée m'est venu à l'esprit. D'important raids sur les Tribus cénomanes afin de diminuer le plus possible la population mâle cénomane assurant aux boïens une longue période de prospérité. Cette solution n'a pas plus aux deux hommes.
Arrivé à Bonnonia, après une pause, nous nous dirigeons vers le palais royale. Dans un premier temps nous avons discuté d'une garnison boïenne de 150 hommes qui succèderait à nos troupes. Puis il a ajouté que durant l'été prochain, les boïens passerait à l'offensive contre les cénomans. Voici quel est le plan :
"Pour la stratégie, tout se fera par surprise....juste avant l'hiver, histoire d’empêcher toute organisation rapide...Nous disposons de 10'000 guerriers avides de sang...En face d'après mes espions, il n'y en aurait qu'environ 4'000 guerriers cénomans... les vénètes enverront l'année prochaine des troupes renforts d'environ 2'000 guerriers....Car actuellement ils s'occupent de leurs ennemis germaniques....Et d'après ma dernière correspondance,votre ambassadeur se fait plaisir sur place."
"Seul les coups de hache et le sang qui coulera saura amoindrir la peine de mon peuple. Nous les repousserons sans relâche jusqu’à ce qu'ils se mettent a genou pour nous supplier."
Le Roi BRENNUS a changé et avec lui Bonnonia également. On savait BRENNUS ambitieux, aujourd'hui il nous fait la preuve de son ambition. BRENNUS est choisi la voie de la guerre et a oublié la voie diplomatique. La guerre arrive en Boétie. Ici, nous savons déjà que les vénètes et les cénomans ont déjà croisé leur glaives...
Nous avons également choisi de discuter de culture.
Dans notre traité, nous avons une partie qui parle de la culture. J'ai proposé d'élargir cette partie en changeant l'article concerné :
"Article 3 : Une mission culturelle romaine sera autorisé à se rendre en terres boiennes. Toutefois, son action devra se limiter à la seule capitale boienne, Bononia."
par :
"Article 3 : Une mission culturelle romaine sera autorisé à se rendre en terres boiennes. La mission culturelle aura un siège à Bonnonia mais s'étendra sur tout le territoire."
Rien n'est encore prévu pour le moment, mais je pense qu'un courrier avec la sodalité de Numa se fera si le Sénat accepte ce changement.
Cnaeus AETIUS
Ambassadeur romain à Bonnonia
Hiver CCCLXXIII |
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familiae civitatis terram
Pro-Consul à Bovianum 366-367
Sénateur Romain Depuis 344
Ambassadeur Lingon 345-346
Ambassadeur chez les Anares 349-354
En Campagne chez les Anares en 354-355
Questeur 358-359
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Navarque Maximus 377-386
Vainqueur à Gallipoli 384
Mort à la bataille de Salona en 386 |
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TUBBSARIUS Julius flavius
Autorisation : Membre
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Inscrit le : Ven 16 Juil 2010
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Posté le : Ven 14 Oct 2011 |
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Automne 376
| Citer | Salve Consuls, magistrats et sénateurs,
Cette année, j’ai vu en BRENNUS un grand changement. Le nouveau Roi, qui était au départ, calme et réfléchit, est devenu un belliqueux et a des ambitions de conquêtes.
Alors qu’au début, la Boétie s’est lancée dans une guerre punitive à l’encontre des tribus cénomanes qui se trouvent au nord-est de la Boétie (particulièrement proche de la région de Regium où se trouve la centurie de vétérans romains). La guerre punitive est devenue une guerre de conquête. La Boétie a vu son territoire agrandit en conquérant des villages limitrophes à la zone de Regium.
En effet, durant bien des années, les tribus cénomanes lançaient chaque début de printemps des raids sur la population qui se trouvait à la frontière. BRENNUS avait, au début de l’année passée, témoigner son souhait de punir sévèrement les germains. C’est chose faîte. En plus des raids, des mises à mort, BRENNUS a également conquit des terres.
A présent, les tribus cénomanes sont enragées. Elles se sont réunies et partent en direction de la frontière boïenne. Elles souhaitent prendre leur revanche. De leur côté, les boïens se réunissent vers Regium pour la grande bataille. BRENNUS semble certain de sa victoire. Mais lui et son état-major s’inquiètent du temps que prend le déplacement de leur troupes.
Malgré cette guerre, l’économie boïenne continue d’aller bien. L’alliance entre la Boétie et la Vénétie. Les marchands des deux royaumes collaborent grandement.
J’ai reçu de mon frère, le centurion Publius AETIUS, un courrier. D’après ces écrits, se serait des milliers de guerriers boïens qui arrivent à Regium chaque jour. Ils viennent de tout le royaume. La bataille semble proche. D’ailleurs, il souhaite savoir si la centurie dont il s’occupe doit participer à la bataille ? Je souhaite avoir une réponse du Consulat ou du Sénat.
J’avertie le Sénat que la centurie est toujours autant apprécié par la population et l’élite. C’est d’ailleurs, l’efficacité des patrouilles de celle-ci qui a permis de découvrir le déplacement des troupes cénomanes.
J’ai mis à jour la fiche que Rome dispose sur la Boétie. Je vous la transmet.
Cnaeus AETIUS
Ambassadeur romain en Boétie
Automne 376
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 376-377-378
Rector provinciarum Populonia, Volterra, Tarquini, Cosa, Perouse, Vetulonia, Saturniae, Arrezo 374-375
 373
 372
 371
Julius et la gens Tubbsarius |
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PETRONIUS SABINUS Publius
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Inscrit le : Dim 01 Avr 2007
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Posté le : Lun 22 Juil 2013 |
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| Citer | « Salvé Consuls,
je vous écris bien peu souvent car j’ai beaucoup de travaille ici en pays Boiens. La situation fut bonne il y a de ça quelque temps. Voici un petit résumé des années 384 et 385
En 384 , 4 Legions commandées par les Legats Fugitivus et Paullus ont traversé le royaume boiens avec l'autorisation du Roi Brennus, et du ravitaillement qu'il a vendu aux legions, en direction de l'Istrie. Depuis je n’ai eu aucunes nouvelles...
En 385 , une legion commandée par le consul Vanstenus est partie en renfort vers l'Istrie. Le Roi Brennus n'est pas à Bonnonia, sa capitale, il est au nord-ouest sur la frontière cenomane car des tensions fortes se font sentir, bien plus forte que les quelques incidents frontaliers. Ce derniers élément est plutôt préoccupant à vrai dire, je suis en train de voir avec le Druide Divac s’il ne serait pas possible d’en savoir plus sur la situation et si avec votre permissions nous ne pourrions pas envoyer un détachement de cavalerie leurs prêter mains forte au cas ou.
J’attends de vos nouvelles.
Avec dévotions. » |
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Delégué auprès des Anares en 352, Envoyé consulaire chez les Lingons en 353,354,355
En campagne chez les Anares 354,355, Envoyé consulaire dans le Nord (Insubres et Helvetes)356
 Lingons 357 à 360, Anares 361,  363, 364, 378, 365, 366,  368, 374, 375,  Etrurie 371, 379 - 384 , Mercure 369 - 386,  386 -
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