Date du jeu : été 417
Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Ambassade à Carthage
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Ambassade à Carthage
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VANSTENUS Julius
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Voici le rapport de notre ambassadeur à Carthage - été 366


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Salutation aux consuls.

Il faut bien avouer que le temps si loin de Rome semble s'ecouler a une vitesse différente. Pour te répondre, le suffète etait informé des intentions de Rome d'abroger cette alliance et il en a été grandement satisfait même si je n'avais pas encore eu confirmation de cette affaire. Au vue des nombreuses conversation déjà effectué sur le sujet de Massalia, il ni a aucune raison que Carthage intervienne, officiellement en tout cas. Le suffète a toujours longuement insister sur la neutralité de cette zone.

Je n'ai aucune information sur un eventuel changement d'equilibre des pouvoirs mais le suffète m'a informer de la totale implication des magonides dans cette tentatives d'assassinat envers ma personne. Je joint un extrait de ses paroles

"je voudrais te mettre au courant du résultat de notre enquête suite à la tentative d'assassinat qui t'a frappée. Je t'épargne les détails, mais nous sommes sûrs à présent que les Magonides sont derrière cela. Il semble qu'ils cherchent par tous les moyens à faire que nos relations avec Rome se dégradent. Ils sont prêts à tuer un ambassadeur pour cela. Ce sont eux qui ensuite ont fait courir le bruit de ta mort. Ton élimination avait semble t-il été programmée dans les moindres détails et lorsque la rumeur a été lancée tu aurais dû être mort !

Résister comme tu l'as fait à des assassins professionnels relève de l'exploit et montre si besoin était, la bravoure des romains.

Cette information ambassadeur, est sure et vérifiée. Je ne puis donc que te conseiller, à toi et aux tiens, la prudence. Si tu le souhaites, je peux faire doubler la garde auprès de l'ambassade. Préviens également le consul qui viendra ici, bien que je me chargerai personnellement d'organiser sa sécurité, il serait bon qu'il soit au courant."

Il serait donc bon d'informer le proconsul car son arrivée ne peut que pousser les magonides a viser...plus hauts. J'espère que nous serons informer de son arrivée afin d'assurer sa sécurité.

La Numidie est et reste le meilleur allié de Rome et Carthage ne contrôle que les côtes de la péninsule d'Ibérie. Il semblerait toutefois qu'un certain nombre de militaires et de conseillers du suffète seraient en train de lui soumettre l'idée de terminer la conquête de l'Ibérie jamais achevée. Excellent militaire lui même, le suffète leur porte beaucoup d'attention et serait aux dernières nouvelles en train d'étudier le projet. Ces informations ont quelques mois toutefois. Je reprécise ici un bilan de la situation des Puniques.

Du coté de la Sicile, c'est le calme plat. L'ensemble du territoire a été pacifié depuis longtemps et tous les réseaux grecs ont été décapités. Les magistrats en place et la noblesse est entièrement acquise à Carthage et l'île n'a jamais été aussi prospère. On dit même que les habitants les plus récalcitrants seraient en train d'accepter le retour punique.

En Corse et en Sardaigne, il n'y a rien de bien nouveau. Les deux îles servent avant tout de point d'appui de la flotte marchande et militaire de Carthage et sur place les peuplades autochtones, essentiellement des paysans montagnards, vivent sans trop se soucier de Carthage. Là encore, les îles sont tranquilles. Les Puniques ont l'intelligence de les gérer avec discrétion.

Pour Carthage:
- la ville en elle même doit compter au moins 200.000 âmes, ce chiffre étant sans cesse en augmentation comme en atteste la multiplication des quartiers périphériques.
- le comptage de la flotte de guerre est très difficile, il y a tellement de navires que tu n'es pas très sûr de tes chiffres mais tu penses avoir vu entre 100 et 150 birèmes et trirèmes au port de Carthage. D'après toi, il y au moins autant de navires de guerre à Carthage que pour toute la flotte romaine. ET il faut ajouter à cela les flottes ibères et siciliennes.
- le comptage de la flotte marchande est lui carrément impossible, il y a bcp trop de navires et bcp trop d'allées et venues dans le port pour en faire un compte précis.
- Enfin, les chantiers navals de Carthage te semblent en mesure de produire plusieurs dizaines de navires par an, de quoi alimenter la flotte en unités nouvelles ou remplacer les unités trop anciennes.



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J. Vanstenus Sanctus
Quaestor 354 - Legatus in Etruriam 356 - Aedilis 357, 358, 359, 371, 372 - Praetor 360, 361
- Rector provinciarum Apuliae, Bruttii et Calabriae 362, 363, 364 - Legatus in Samnium 364 (surnommé Sanctus, le Vertueux par ses troupes au Samnium) -
Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
Censor 373, 374, 375, 376, 377, 378, 389, 390, 391 et 392 - Proconsul in Histriam 386.
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VANSTENUS Julius
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Ancien rapport de notre ambassadeur à Carthage en 360.


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Moi, Julius Aelius Agricola, sénateur et Ambassadeur de Rome à Carthage informe les consuls de la république sur le déroulement de mon voyage.

J’ai atteins les rivages d’Afrique après deux semaines d’un voyage assez éprouvant . L’expérience du capitaine de notre marine à toutefois permis d’arriver sans encombre . Bien que non prévenu de mon arrivé, les carthaginois m’ont plutôt fait bon accueil et ont veillés à mon installation.

J’ai dut demander à la moitié de mes légionnaires de retourner à Rome, les puniques tiennent à assurer eux même la sécurité de l’ambassade et ne m’ont autorisés qu’a en garder la moitié. Ce sont donc dix légionnaires qui ont dut faire le voyage de retour, j’espère que ceux ci sont arrivé à bon port.

Voilà peu de temps que je suis arrivé sur le sol d’Utique mais j’ai toutefois réussit à obtenir une première rencontre avec le suffète. J'espère également rencontrer bientôt l'ancien ambassadeur Abdosir qui est actuellement l’un de ses principaux conseillés.

J’aurais certainement bien des choses à voir avec lui parce que la situation est beaucoup moins simple qu’elle ne semblait l’être.

Actuellement, seul deux sujets ont eu le temps d’être abordé, le premier concerne l’article IV du traité de 354

IV-1 : Echanges Culturels :
Dans le but d’améliorer la compréhension entre La République Romaine et Carthage, La République de Rome et Carthage organiseront des échanges entre les enfants des élites romaines et carthaginoises. Ces échanges sont basés sur le volontariat des familles désireuses d’y participer. Les ambassadeurs de Carthage à Rome et de la République Romaine à Carthage auront en charge l’organisation et de trouver les volontaires.



Le suffète y est favorable et m’a assurer pouvoir trouver nombre de famille favorable à un tel échange. Je ne peux donc qu’encourager le sénat à prendre contacte avec l’ambassadeur de Carthage afin d’organiser de tels échanges. Il semblerait que le sénateur Poussinus est ouvert la marche, l’un de ses propres fils serait actuellement à Carthage et je ne doute pas que d’autre famille patricienne fasse de même.

Le deuxième sujet est bien plus complexe et d’importance. Le consulaire Decinus m’avait chargé de rédiger un second traité avec Carthage ou traité annexe qui devait écrire noir sur blanc la reconnaissance par Carthage de Massilia comme allié de Rome et la précision des alliés de Rome et de Carthage qui rentrait dans le cadre du 1er traité. Ce point etait déjà négocié lors de son voyage et le suffète avait répondus favorablement à cette demande.

Mais en politique, rien n’est simple, et les conseillés du suffète ont eu le temps de réfléchir depuis ce voyage.

Je vous annonce donc que carthage n’est plus favorable à la reconnaissance de Massilia comme allié de Rome. Massilia se trouve en territoire neutre de part le traité de 354 et ils ne souhaitent pas remettre cela en question. Il m’a assuré que Carthage n’etait pas intéressé par cette cité et il semblerait qu’il attende de même de la part de la république. Il semblerait donc selon nos premières discussions, que Massilia se doivent de rester neutre….ni allié, ni romaine, ni carthaginoise mais tout simplement, neutre.

Ce qui, je ne vous le cache pas, est déjà en total contradiction avec le traité que nous possédons déjà avec cette cité grec.

Je vais dont tenter de voir si la position carthaginoise peut être infléchit et je reste dans l’attente de nouvelles instruction sur la position de Rome sur cette affaire.

De même, je demanderais aux consuls de me faire parvenir leur demande sur les sujets à traiter au sujet de Rhegium, de la Grèce, de la perse ou de l’Egypte ainsi que de toute autre affaire.





Aelius agricola



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J. Vanstenus Sanctus
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Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
Censor 373, 374, 375, 376, 377, 378, 389, 390, 391 et 392 - Proconsul in Histriam 386.
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VANSTENUS Julius
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Rapport de l'été 367


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Lettres aux consuls,

Salutation, je suis malheureusement sans nouvelle du consulat mais il est vrai que j’en ai peu donné moi même. Il faut dire que la situation de carthage ne change guère. Voici un résumé :

Corse et Sardaigne : le gouverneur de Corse habite en Sardaigne et une large autonomie est donnée aux habitants.

Sicile : totalement pacifiée par carthage, aucun trouble.

Cyrenaique : ce sont des alliés de carthage.

Egypte : partenaire commercial mineur

Perse : traité de non-agression et accords commerciaux. Le suffète ne mise pas toute sa politique sur Rome et s’est tourné vers l’orient. Un ambassadeur perse vit en permanence à Carthage.

Grèce : C’est un partenaire commercial également.

Ibérie : Carthage avait renoncé a en contrôler l’intérieur des terres, cela pourrait changer il y a des rumeurs de mobilisation.

Massalia : RAS, neutre.

En ce qui concerne Carthage :

- La ville en elle même doit compter au moins 200.000 âmes, ce chiffre étant sans cesse en augmentation comme en atteste la multiplication des quartiers périphériques.
- Le comptage de la flotte de guerre est très difficile, il y a tellement de navires que je ne suis pas très sûr de mes chiffres mais je pense avoir vu entre 100 et 150 birèmes et trirèmes au port de Carthage. Il y au moins autant de navires de guerre à Carthage que pour toute la flotte romaine. Et il faut ajouter à cela les flottes ibères et siciliennes.
- Le comptage de la flotte marchande est lui carrément impossible, il y a beaucoup trop de navires et beaucoup trop d'allées et venues dans le port pour en faire un compte précis.
- Enfin, les chantiers navals de Carthage semblent en mesure de produire plusieurs dizaines de navires par an, de quoi alimenter la flotte en unités nouvelles ou remplacer les unités trop anciennes.

Le rapport n’apporte pas grand chose de nouveau par rapport a tout ce que j’ai déjà envoyé, je vous informerais si la situation évolue ou si vous avez une demande particulière.

Je n’ai pas eu de nouvelle des résultat du voyage du consulaire Poussinus et j’espère que tout c’est bien passé.

Julius Aelius Agricola.



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Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
Censor 373, 374, 375, 376, 377, 378, 389, 390, 391 et 392 - Proconsul in Histriam 386.
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VANSTENUS Julius
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Citer : Rapport d'hiver 384
Salve Consuls,

Je viens de rencontrer le Sufféte de Carthage, j'ai peut m'entretenir avec lui de plusieurs sujets.

En se qui concerne la Lucanie, le Sufféte ma assuré qu'il souhaité seuleement continbué a commercé avec cette région comme a l’époque ou elle faisait parti de la republique, de simple relation économiques a ses dires. Je pense que nos devons surveiller les opérations diplomatiques entre Carthage et la Lucanie pour que celle-ci ne rejoigne pas la sphére d'influence puniques.

Le sufféte est parvenu un belle accord diplomatiques avec l’Égypte, définissant des zone d'influences et permenttant un commerce jusqu'a Judée. Je pense que Rome doit s'inspirer de cela pour sa politique avec l'Egypte.

Concernant les grecs, les puniques ne considère pas les grecs comme une menace, il n'ont aucune raison de choisir un camp de notre guerre contre l'Epire, elle leur profite même, puisque les grecs commerce désormais avec les siciliens et les puniques au lieux des romains.

Je reste en attente de nouvelle instruction

Caius Julius Publius, Ambassadeur de Rome a Carthage."



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Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
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SERGIUS AHENOBARBUS Cnaeus
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Posté le : Mar 24 Sep 2013    

/On fait archiver le rapport de l'ambassadeur. Rapport arrivé à l'automne 386.


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"Ete 386 - Carthage

Salve Consuls de Rome, je suis a Carthage depuis quelque temps maintenant, j'ai entamée des discussion avec le sufféte de Carthage, notamment sur les plans commercial et diplomatique.

Pour la situation diplomatique entre Rome et Carthage, le sufféte est pleinement satisfaits de la situation, il n'envisage aucun changement.

Sur le plan commercial, nous avons discuté plus profondément, le suffète propose l’établissement de Comptoirs Puniques a Tarente et Croto, pour remplacé les Grecs, ainsi qu'un Comptoir Romain a Akragas en Sicile, selon les même modalités que pour Syracuse.

Je reste en l'attente de directive du Sénat et des Consuls de Rome

Ambassadeur Caius Julii"



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CNAEVS•SERGIVS•PROCVLI•FILIVS•VOPISCI•NEPSOS•AHENOBARBVS•LACERATIONIS
Rang et tendance : Sénateur patricien et isolationniste
Première page de la domus : En cliquant sur la domus, pour savoir tout sur les membres, sur la richesse familiale, qui est encore à marier ou mort.
Naissance : 346
Cursus Honorum : Quaestor : 377 - 378 Aedilis : 379 - 382 Praetor : 383 - 384 Consul : 386 Censeur : 394 - 395
Cursus Officium : Rerum gestarum scriptor : 378 - 379 Legatus : 385 (Aesium, Bovianum, Apulie) 393 (Pays des Taurins) Flamen: 385 à 393 (Vesta) Magister Equitum : 387 Pro Consul : 388 - 389
Liens divers : Pour en savoir plus sur les Sergii Ahenobarbi, suffit de cliquer dessus. Ou encore sur l'arbre généalogique (dernière mise à jour : 396) de la gens Sergia. Ou bien sur la composition du sénat (dernière mise à jour : 390). Ma carte perso montrant l'étendue de la république romaine (dernière mise à jour : 393), et des territoires connus (Ma carte montrant l'Urbs et ses quartiers).
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MJ Quirinus
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Posté le : Lun 11 Nov 2013    

Un fonctionnaire fait afficher le rapport de l'ambassadeur Caius Julii selon sa demande :


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Caius Julii Publius, ambassadeur romain a Carthage,

Je suis désormais ici depuis plusieurs années, la situation géopolitique de Rome semble compliqué, je considére mon poste comme des plus important dans la stratégie diplomatique de république, ainsi je demande a Sénat de se pencher sur nos positions vis a vis de Carthage. Le suffète est un homme inteligent qui connais nos faiblesse comme nos qualité, je pense qu'un rapprochement Politique et Économique ne pourrai qu'être bénéfique a Rome.

Les propositions que j'ai présenté sont -elles validées par le sénat puis-je continuer les négociations ?

Quel sont les directive du Sénat de Rome ?

De plus j'aimerai pouvoir recevoir un financement de 200.000as pour entamée de action diplomatique concrète.

Suit ma derniere missive envoyer au Consuls de Rome rester sans réponse....

Automne 386 - Carthage

Aux Consuls de Rome,

Aprés la réponse du Consul Sergius et d'autre discussions avec le sufféte voila les dernière informations

Les information geographique que j'ai pu réunir départ la demande du Consul Sergius :

La Sicile est la province carthaginoise la plus proche de Rome. Les puniques exercent leur domination par un système de vassalité sur les cités grecques de Syracuse, la plus importante, Akragias (HJ : Agrigente), Messena et Tauromenium.
Les Sicules, barbares indigènes semblent occuper le centre de l’île.
La partie ouest de l'île est-elle sur un contrôle directe carthaginois, où la cité possède des colonies comme Panormos et Motyé.

Au nord de la Sicile, l’île des sardes est une province Carthaginoise relativement autonome, administrée par un Gouverneur nommé par le pouvoir centrale. Sa capitale est la citée de Carales, sur la côte Sud de l'île.

Plus au Nord, l’île de Korsica est peu connu et frequenté par les romains.

L’Iberie est quasi inconnue, a peine les romains ont-ils connaissance de la capitale de cette province : Carthago nova.

Dans les environs immédiat de Carthage se trouve une cité punique Utique, crée avant même Carthage, et une cité libyque Tines.

Nombre de bourg et de village occupent la large plaine agricole mais au delà, vers les montagnes et les déserts, je n'en sais pas plus.

Le reste des territoires carthaginois sont totalement inconnus des Romains mais, de par la population bigarrée que j'ai rencontré à Carthage, des plus divers.

Et voila les modalités que le Sufféte et prêt a apporter au Comptoir :

Les marchands se rendant ces comptoirs, et les artisant s'y installant pourront vendre leurs marchandises dans les mêmes conditions que leur hôtes, ne seront soumis à aucun péage, aucune taxe ou impots supplémentaire et aucun quota.

Ils pourraient arriver a ravitailler rapidement et de manière importante en produit agricole, cereales, vins, huiles, les régions dévastés par votre guerre contre l'Epire si les marchands puniques étaient exempté de certaines taxes...

En attente du Sénat et de ses Consuls

Caius Julii Publius, Ambassadeur de Rome a Carthage"



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BADINUS AGRICOLA Lucius
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Posté le : Ven 29 Aoû 2014    


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"Salve Consuls,

Après discutions avec le suffète, celui-ci m'assure que la mise en place des comptoirs commerciaux se passe au mieux. Concernant les rapport entre Carthage et Rome, il semble satisfait de la situation actuelle et ne voit aucune modification dans nos relation.

Les puniques enverront une délégation commercial a Rome, lors de grandes foires de Mercure, ci les Consuls ont le temps de les recevoir en compagnie de l'ambassadeur Punique cela ne pourrait être que bénéfique dans nos relations politique et commercial avec Carthage.

De plus, si les Consuls pouvaient le faire parvenir des fonds pour mettre en place des action avec l’élite puniques (entre 150.000as et 250.000as)

En attente de vos nouvelles

Caius Julii Publius, ambassadeur de Rome"



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Lucius Badinus Gallicus 46 ans - membre de la force modérée


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BADINUS AGRICOLA Lucius
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Posté le : Jeu 06 Nov 2014    


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"Consul:

Je suis ambassadeur a Carthage depuis maintenant quelques années, j'ai appris a connaitre les uses et coutumes du pays, je me suis accepté par les élites local comme un relais actif dans la politique extérieur. Le sufféte et moi-même avons de nombreuses et régulière entrevue, il ne voit aucune évoluer a apportée a nos relations, il est satisfait de la situation actuel.

Je te tiens a te faire noter que les commerçants furent présent a grande Foire de Rome, il serai intelligent de monter une telle délégation de commerçant Romain qui pourrait venir créer des liens avec les Puniques, je peux te conseiller le chevalier Caius Licinius Calvus (PNJ Julii) pour monter cette expédition.

Prochainement je ferais inviter tous les citoyens Romains habitant les territoires puniques pour connaitre leurs situation"




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Lucius Badinus Gallicus 46 ans - membre de la force modérée


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