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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Inauguration du nouveau théâtre
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Inauguration du nouveau théâtre
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MARCELLUS Marcus claudius
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Posté le : Lun 14 Sep 2009    

Le grand soir est enfin venu, l'inauguration du théâtre Antonicus. Un grand concours tragique aura donc lieu sous la paisible brise d'une soirée d'été. Le théâtre Antonicus est prêt enfin à recevoir ses acteurs et son public. Des statues admirable en grand nombre, des colonnes majestueuses, des draperies exotiques, des masques expressifs, des arches ouvragés, et quelques petits jardins décorent le majestueux édifice.

La partie des gradins fait environ 160 mètre, et jusqu'à 30 000 spectateurs peuvent être accueilli. En bas des gradins, se trouvent des rangs de sièges réservés aux magistrats, les consulaires, et leur épouses, ainsi que dignitaires religieux, un espace à été aussi réservé pour l'ambassadeur de Carthage donc le goût pour les festivités est bien connu, invité par Marcellus. Deux espaces ont été réservé pour l'imposant ancien tribun Darus. Puis d'autres rangs pour les membres du Sénat et autres ambassadeurs. Ensuite vient les rangs réservés aux équites. Ensuite des rangs pour d'autres citoyens importants, patrons de sodalites, etc... Puis la plèbe à été inviter à prendre place dans les gradins supérieurs, certains s'entassant pêle-mêle dans l'appréhension d'assister aux spectacles. Seuls les impurs, prostituées, marchands étrangers, acteurs vulgaires, et autres racailles, ont été interdit de se présenter sur les lieux.

À l'entrée du Théâtre, l'édile Marcellus accueille les invités, en compagnie de sa jeune épouse Anna, qui brille dans une robe slendide. Elle portait parfois une jolie masque souriant. L'on dit également qu'elle partiperait à quelques concours lors de cette occasion. Marcellus se pince alors les lèvres en levant les yeux au ciel, car il n'y a pas si longtems il considérait, en farouche conservateur, le théâtre comme un lieu de luxe urbain décadent et indigne, et il avait voté contre la création du théâtre...ironie il devait maintenant l'inaugurer...la fatalité.

Les vigiles veillaient au service d'ordre prêt à tout, tandis que les acteurs se préparaient en coulisse. De grands cris parvenait parfois aussi de là. Si bien que certains se demandait si l'édile n'avait pas fait enfermé là un cerbère pour dévorer l'assistance. Non c'était les cris habituels du Navarque Carneus qui dictait ses dernières instructions aux acteurs. Le jury pour le concours tragique était composé des honorables citoyens Numa Cina; maitre de la sodalite de Numa, Janus Dormessonus, Pirus Benichus et Alanus Tellierus.

Tous s'installaient donc en échangant politesses et mondalité en attendant que le tout débute enfin...Pour les plus grands citoyens c'était le moment de se faire voir et d'être acclamer du peuple et saluer par le Sénat.


(voila tout ceux intéressés peuvent maintenant poster pour participer à l'évènement, glisser quelques mots etc...)

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Patricien Gens Claudii
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ORLENUS Arturus
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Le censeur arrive accompagné de sa femme Luna Orlenus

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CARNEUS Tiberius
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Posté le : Mar 15 Sep 2009    

La femme du Navarque est déjà installée, en compagnie de la jeune fille du Navarque, la jeune Aurelia.

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Ti. Carneus Oceanus (dit "Le Navarque"), 49 ans,

Navarque de la Zone Ouest 372, Navarque Maximus 373-374.
Tribun de la Plèbe 369-371,
Navarque 358-362, Navarque Maximus 363, puis Navarque de la Zone Ouest 364-367,
Navarque-Adjoint 347-358.
°Légat-Adjoint lors de la campagne 364 au Samnium. Surnommé "l'Avatar" par ses hommes°

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VANSTENUS Julius
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Posté le : Mar 15 Sep 2009    

Octavia Vanstenus vient aussi d'arriver au théâtre. Elle voit son amie, la nouvelle épouse du Navarque et lui demande si elle peut s'installer à côté d'elle.

J'espère que tu vas bien.

Et Octavia de commencer à papoter en attendant que le rideau ne se lève.

Et tu sais ma chère que je viens de rentrer des Vosques. Je suis allée décorer notre villa d'Arsenia, que nous avons rachetée au Consulaire Fugitivus.

Et bien, à l'aller, en vue d'Arsenia, figure-toi que j'ai eu bien peur.
Nous avons été arrêtés par des hommes en armes. J'ai crû dans un premier temps que c'était des brigands. Mais heureusement ce n'était que des braves gens qui défendaient la région contre les brigands justement.

Quelle aventure, je ne te dis pas !

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J. Vanstenus Sanctus
Quaestor 354 - Legatus in Etruriam 356 - Aedilis 357, 358, 359, 371, 372 - Praetor 360, 361
- Rector provinciarum Apuliae, Bruttii et Calabriae 362, 363, 364 - Legatus in Samnium 364 (surnommé Sanctus, le Vertueux par ses troupes au Samnium) -
Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
Censor 373, 374, 375, 376, 377, 378, 389, 390, 391 et 392 - Proconsul in Histriam 386.
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CARNEUS Tiberius
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Posté le : Mer 16 Sep 2009    

Le visage de Teria, qui montrait un certain ennui en attendant que le spectacle commence, s'éclaire à l'arrivée d'Octavia. Les salutations sont enjouées, et c'est avec un plaisir certain que la femme du Navarque entame la discussion, avec un grand air de surprise :

"Nooon...??" Mais ça fait froid dans le dos ! C'est à vous décourager de sortir de Rome, ça ! Tiberius a un élevage de chevaux dans le nord, mais... traverser l'Étrurie, après ce qu'il vient de se passer..."

Teria semble vraiment inquiète, et décide de passer à un sujet plus léger :

"À qui à tu fais appel pour la décoration de votre villa ?"

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MARCELLUS Marcus claudius
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Posté le : Mer 16 Sep 2009    

HJ: Puisqu'il faut jouer des nanas...

Marcella de son siège, la soeur de l'édile, tentait de reprendre son souffle avec son éventail. Elle était indignée. Au théâtre elle! Frivolité et décadence, pour une fille de patricienne! Et puis quoi ensuite, demain elle devrait aller faire son marché elle-même? Idôlatrie! Ou était le censeur, pourquoi ne venait-il pas rouer de coups tout cette foule corrumpu par des moeurs si légères? Il fallait fermé ce théâtre au plus vite...avant que les plébéiens y prennent goût et rechigne à travailler!

Et la petite sotte de femme de son frère, qui jouait les vedettes... plus pour très longtemps elle rappellerait à son esclave de la faire empaller une fois que Marcella aurait réussi à égorger le gros Darus. Dommage car l'ancien tribun était un vrai homme du monde, même s'il l'on disais qu'il allait ouvrir une taverne... Et puis quoi encore, l'an prochain, le consul ouvrirait une poissonerie? Par Junon...quelle désolation. Elle sourit néanmoins le plus gracieusement au monde. Une vraie murène...


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Patricien Gens Claudii
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VANSTENUS Julius
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Posté le : Mer 16 Sep 2009    

Octavia de reprendre:

Pour l'Etrurie, si tu vas jusqu'à Pérouse, tu peux demander l'hospitalité à Lucius, le frère de mon mari ou à mes parents, qui y habitent toujours.
Mais sois prudente... Cela reste des régions assez agitées.

Et puis revenant sur la décoration de sa villa:

Et bien voilà, tu ne me croiras pas. Mais j'ai voulu innover quelque peu et j'ai fait appel à un Germain, je crois. Il vient peut-être même encore d'une contrée encore plus septentrionale. Enfin, bref je ne sais plus bien...

Ce garçon, qui s'appelle Ikeus, est extraordinaire. Il a la capacité de construire des meubles avec 4 planches et deux montants. De toutes les couleurs...
Comme c'est un peu révolutionnaire, j'ai voulu le mettre dans notre villa de campagne. J'avais un peu peur du résultat. Mais finalement je suis assez contente. Tu aurais dû voir la tête des esclaves quand ils montaient les meubles. Il manquait toujours une pièce. Heureusement, Ikeus nous les refaisait sur le champ. Comme c'est un Germain, les esclaves ne comprenaient pas toujours ses instructions. J'ai beaucoup ri pendant toute la décoration.

Mais heureusement, c'est pour la villa de campagne des Vosques... Car certaines meubles ne sont pas toujours très droits...

Mais le plus important, c'est que cela me plaise et qu'on s'y sente bien. J'espère y retourner prochainement avant les 4 ou 5 prochaines années.

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CARNEUS Tiberius
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Posté le : Jeu 17 Sep 2009    

Teria écoute, visiblement intéressée, les propos de son amie et semble émerveillée du potentiel d'Ikeus.

"Ikeus, dis-tu ? Hum, j'essayerai de trouver ce Germain... Cela peut être intéressant en effet... Encore faudrait-il que je parvienne à convaincre Tiberius... Il..."

Mais Teria s'interrompt, car le Navarque vient justement d'apparaître...

Le Navarque Maximus s'avance sur la scène du théâtre Andronicus et contemple la population rassemblée là, avant de lever les mains pour faire taire les murmures et les conversations des spectateurs. Très étonnamment, on ne le voit pas dans sa tenue militaire qu'il conserve même quand il siège au Sénat, mais dans une toge qu'il porte avec la même aisance que n'importe quel autre Sénateur. De sa main libre, il tient un rouleau.

Quand le silence complet est obtenu, Tiberius commence :


"Romains, Magistrats, Aimable Assistance...

Ce jour marque donc l'inauguration d'un nouveau théâtre pour Rome, d'un nouveau symbole de notre peuple qui s'élève au-dessus des autres peuples. Le théâtre, c'est la civilisation, la culture ! Rome se doit de prendre soin de son peuple, et c'est ce que des hommes brillants au Sénat font. Il est bon qu'un peuple aille au théâtre, et apprenne ainsi l'histoire de nos dieux, de notre Cité, ou simplement passe un moment de détente face à une pièce comique...

Ce nouveau théâtre, c'est donc un nouvel accès pour le peuple de Rome à ce qui fait de nous un peuple civilisé.

Mais un théâtre sans pièce de théâtre, c'est une coquille vide. Permettre au peuple d'aller au théâtre n'est rien si l'on n'aide pas les auteurs à composer... C'est pourquoi j'ai décidé de donner une tournure particulière à ce concours tragique qui vient inaugurer ce bâtiment. J'ai souhaité encourager la création artistique de nos meilleurs écrivains, en les délivrant de la contrainte de trouver une troupe et de la financer pour monter une pièce... J'ai voulu que quiconque se sente inspiré par les muses ait sa chance, les pauvres comme les riches. Le concours auquel vous assisterez tout au long de la semaine a été financé de A à Z. Les participants n'ont eu qu'à faire travailler leur esprit pour créer une pièce, sans se préoccuper des finances pour payer la troupe... C'est, je crois, ainsi que peut prospérer la vie culturelle romaine, dans la diversité et l'originalité.

Cinq pièces vont s'affronter, une chaque jour. Le jury désignera le vainqueur, qui pourra partager avec les acteurs une somme de 10 000 as. Mais ce n'est pas tout !

Rome s'étend de plus en plus en dehors du Latium. La péninsule est de plus en plus marquée par Rome, et les peuples dont nous avons à présent la charge doivent percevoir la lumière qui émane de notre Cité ! Nous devons envoyer nos meilleurs représentants à travers les provinces, pour que tous, Étrusques comme Grecs, soient fiers d'appartenir à Rome ! Et quels meilleurs représentants que les gagnants d'un concours ?

C'est pourquoi la pièce gagnante sera également représentée à travers toute la République, et financée, cela va sans dire...

Mais assez parlé ! Vous êtes venu ici pour voir du théâtre, pas pour écouter un Sénateur parler comme au Sénat ! Alors... place au concours !"

Le Navarque s'incline brièvement devant le public, puis va regagner sa place avec le jury composé de différents membres de la sodalité de Numa. Il glisse quelques mots, souriant, à l'oreille du maître Cina, puis d'un geste, ordonne à ce que les acteurs de la première pièce se mettent en place et commencent la représentation...


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Ti. Carneus Oceanus (dit "Le Navarque"), 49 ans,

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BUSTOS Dominicus
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Posté le : Lun 21 Sep 2009    

Bustos fait son entrée avec la plus grande de ses filles et son fils, Mercurion. Ces enfants adoptés reçoivent une éducation principalement religieuse mais la culture Romaine n'est pas en reste car Bustos est un lecteur assidu.

Il les fait asseoir près de lui afin de pouvoir voir les pièces puis regarde tout autour de lui afin de voir s'il ne reconnait quelque visage.


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Respublica Defensor

Historien 360
Questeur 361
Edile 364
Légat lors du siège de 364
Préteur 365, 367, 368
Légat de la Légion Pluton I, en Boviamum 365,366
Consul 370

Flamine de Mars depuis 369

Né patricien, né pour servir
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MJ Séléné
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Posté le : Mer 14 Oct 2009    

Comme promis par le mécène de ce concours, cinq pièces triées sur le volet vont s'affronter... enfin plutôt quatre puisque le cinquième soir sera dévoilé les lauréats du concours et la cinquième pièce, hors catégorie, sera la dernière œuvre du très célèbre Dannus Marronus, qui revisitera un classique de la littérature romaine, l'histoire de Didon et Enée.

Le programme est donc annoncé:
- "Orgueilleux Laomédon" présentée par Appius Sennius Clodianus, membre de la sodalité de Numa.
- Une pièce qui s'inpire des faits de l'année 310, revu par Anna Marcella.
- Une pièce consacrée à Jupiter tout-puissant par son auteur, Aulus Fenius Sejanus.
- "Chant de Procession" du jeune Lavius Salinator.
- "L'histoire de Didon et d'Enée" par Dannus Marronus (hors concours).


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MJ Séléné
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Posté le : Mer 14 Oct 2009    

Le premier soir, c'est un public avertit qui entre dans le théâtre. Évènement mondain, bien loin de l'image public du Navarque, c'est en tout cas la Rome instruite, le haut du panier qui est venu ce soir. La sodalité de Numa est très largement représentée et de nombreux applaudissements accueillent l'entrée du Navarque Carneus, généreux mécène et grand ami de la sodalité.
De nombreux sénateurs sont également présents avec leur famille, ce divertissement, peut-être élitiste, étant très goûté par l'aristocratie. Les membres des différents clergé ont aussi fait le déplacement. C'est donc une ambiance feutrée qui accompagne le début de la première représentation.


Le décor est planté et évoque la légendaire cité troyenne.
Le choeur chante les projets mauvais du terrible Neptune à l'encontre de son frère, le tout-puissant Jupiter. Alors, le Roi des dieux décida de punir Neptune en le mettant au service du mortel Laomédon, Roi de Troie. Le dieu marin eut à construire des murailles autour de la Cité, des murailles d'une telle puissance que la fière Troie pourra résister contre tous les assauts...
Las, au bout d'un an, Neptune alla trouver Laomédon pour récupérer le salaire convenu.
Les acteurs miment la construction longue et harassante des puissantes murailles de la cité légendaire.
Un acteur, représentant Neptune va à la rencontre de l'acteur jouant Laomédon.

Neptune: J'ai travaillé sans relâche pour payer ma dette envers le Roi des Dieux, mon frère, le tout Puissant Jupiter. Voilà un an que je suis à ton service et, comme promis, j'ai construit autour de ta cité des murailles si hautes et si épaisse que même cent armées pendant cent années ne pourraient détruire. Ma sentence était de te servir mais ma peine mérite salaire. Je viens, aujourd'hui, fin de ma pénitence, réclamer mon dû, les 30 drachmes qui me revienne pour ces travaux sans mesure.

Laomédon: Ton frère, le Puissant et Unique Jupiter, était courroucé par ton attitude. Il t'a imposé de me servir pendant un an. Aujourd'hui, tu es mon serviteur, je te traiterai donc comme tel. La joie de me servir est la plus grande récompense que tu puisses souhaiter. Aucun autre salaire ne te sera versé. Ainsi va la vie des serviteurs, tu n'échapperas point à ce Destin.

Neptune: Attention, petit roi mortel. Mon frère dans sa sagesse m'a imposé cette épreuve afin de me faire comprendre les nécessité du respect envers notre Roi. Mais Jupiter est le seul Roi a qui je dois obéissance. Ne te trompe pas sur ton importance dans cette histoire. Donne moi mon dû et n'en parlons plus. Je partirai serein et ta cité sera protégée par mon œuvre.

Laomédon: J'ai bien peur de ne pouvoir te contenter. Je suis le maître de cette cité et mon attitude ne sera jamais dicté par un serviteur, aussi prestigieux et doué soit-il. Ainsi je parle, ainsi je fais.

Neptune: Ainsi tu as l'arrogance de ton titre mais la sagesse d'un enfant gâté. Ce mélange ne fait pas bon ménage, je t'apprendrai le respect...


Le Choeur chercha à faire fléchir la volonté du Roi qui refusait d'entendre les avertissements et ne craignait pas la colère du dieu. Alors Neptune partit mécontent .

Neptune: Ainsi, ce mortel veut défier le Roi des Mers. Qu'il en soit ainsi. Je relève ce défi. Ô toi, monstre des profondeurs, prince des Abysses, entend mon appel et viens à moi. Ô toi, Léviathan, entend ma colère et soit l'auteur de ma vengeance. Voit, petit roi de Troie, voici mes remerciements pour ta générosité. Voit, petit roi de Troie, le Léviathan. Il sera ton cauchemars pour les années à venir!

Sur scène, une machine servait à actionner un monstre qui pouvait effrayer les plus jeunes.

Alors, pour calmer le monstre, Troie dut sacrifier chaque année une vierge. Laomédos s'y plia, mais le sort désigna un jour sa propre fille. Sur scène, l'acteur se lamenta du sort


Laomédon: Pourquoi, Dieux cruels, m'imposer de telles épreuves. N'était-ce pas l'idée du Dieu des Dieux cette pénitence. Neptune dont la rancœur n'a pas d'égal se venge sur moi puisqu'il ne peut exercer sa vengeance sur le Puissant Jupiter. N'est-ce point une preuve de lâcheté.

Un homme s'avance et se présente au roi Laomédos comme Héraclès, héros des héros, fils de Jupiter.

Héraclès: Tes cris et tes pleures ont été entendu, Roi. Moi, Héraclès, je tuerai de mes mains le Léviathan qui hante tes mers et sauverai ta fille, en échange, tu me donneras deux chevaux, ceux-là même que Jupiter avait donné à Tros, ton aïeul.

Laomédon: Soit, qu'il en soit ainsi. Sauve ma fille et tu auras ta récompense.


S'ensuit alors sur scène un combat entre la bête et Hercule, combat gagné par le demi-dieu, mais une fois encore, Laomédos refuse son dû au héros. Le Choeur le prévient une nouvelle fois de cette attitude indigne mais le Roi troyen reste inflexible.

Sur scène débarquent alors d'autres acteurs, qui sont les hérauts envoyés par Hercule. Laomédos les fait emprisonner .
Le Choeur, au milieu de cris apeurés, chante : "Insensé ! Ne sais-tu pas que les hérauts sont sacrés ? Quel terrible dieu a mis dans ton cœur de si noirs desseins ?" Mais Laomédos semble toujours aussi déterminé.
Alors Héraclès revient et tue le parjure qui avait tant de fois renié sa parole, et tue toute sa famille.



Héraclès: Nul ne peut défier les Dieux sans en payer le prix. Ainsi, tu as choisi de donner ta vie et celle de ta famille en paiement de tes dettes. Puisse Pluton comprendre ton choix.


À la fin, le Choeur recommence à chanter, rappelant l'importance de la parole donnée, de l'honneur, de respecter les dieux et les hérauts, personnes sacrées, sous peine de voir le sort s'acharner sur sa famille

(Texte de Carneus, dialogues faits par mes soins)

Le public, enchanté, applaudit longuement la troupe d'acteurs puis l'auteur, le jeune Appius Sennius Clodianus. Le jury, parlant entre eux, semble ravi de cette représentation, notamment le Navarque Carneus qui parle en terme élogieux du jeune écrivain.

Le théâtre se vide petit à petit, redonnant au lieu son caractère sacré.

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CARNEUS Tiberius
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Ce n'était pas un mirage ! Le premier soir, le Navarque portait à nouveau une toge sénatoriale pour la soirée au théâtre. Cela voulait-il dire qu'il avait rangé son uniforme militaire au placard ?

En tout cas, s'il laissa un bref instant les applaudissements l'accueillir, il chercha ensuite rapidement à les arrêter d'un geste et d'un regard sévère, montrant qu'il ne suffisait pas de gratter longtemps pour retrouver un Tiberius plus "traditionnel".

Il rejoignit rapidement le jury et les salua tous un à un, très amicalement, avant de prendre place entre eux et de donner le signal de départ. Et effectivement, dès le début, en apercevant que le dieu Neptune occupait une place importante dans la pièce, Tiberius fut ravi de la pièce...


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Ti. Carneus Oceanus (dit "Le Navarque"), 49 ans,

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MJ Séléné
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Le second jour, c'est au tour de la pièce d'Anna Marcella, épouse du célèbre sénateur et édile de Rome cette année.
Le public est à nouveau venu nombreux, mais le bouche à oreille fait son œuvre et une partie du public vient des autres sodalités ainsi que de romains de conditions plus modestes, profiter de ces soirées culturelles et venant découvrir pour beaucoup la joie d'être dans le théâtre pour y voir des spectacles de qualités. La jeune auteur semble légèrement stressée mais tient son rang avec fierté et classe.


Un orateur s'avance sur la scène:

Voici un texte romancé et prenant des libertés avec les faits historiques afin de mettre en relief les vertus de la sagesse et de la Justice.

" La paix règne entre Tarente et Rome grâce à la brillante diplomatie, et aux lois justes de Cornelius Scipio Publius, consul de Rome, défenseur de la justice et guerrier excellant au combat, le héros de la pièce. Un traité ratifié par le Sénat permet une paix honnête mais difficile entre les deux cités.
 
Cornelius Scipio Publius se rend donc à Tarente pour honorer les amis de Rome et démontrer que la République respecte ses engagements afin d'inciter Tarente à faire de même. Les Tarentais et les grecs du Sud sont accusés de ne pas tenir leurs promesse s envers Rome, et les représentants romains dans le sud sont maltraités et violentés injustement.  Mais une raison secrète  pousse son cœur à retourner au palais de l’Archonte…
 
l'Archonte Ophedias est à priori favorable aux romains et un bon hôte, l'un de ses fils s'appelle Dobrakus, et il est présenté comme le défenseur de la cité et ami de Rome. Les trois hommes discutent, et Scipion insiste sur la vertu des romains et sur le respect de l'amitié et les gains que cela peut amener aux deux cités, il leur remet des cadeux. Ophedias, n'a plus alors de doute sur la ligne à suivre, et Dobrakus jure de défendre l'amitié de Rome sur sa vie et celles de ces fils.
 
L'Archonte a également une fille, Clara Bellona. Celle-ci est la maitresse secrète de Cornelius Scipio Publius. Après avoir été accueilli par l'Archonte et son fils , Scipion se rend auprès d'elle pour discuter de leur relation. Le Consul est déjà marié et son amour sincère pour la jeune grecque le consume. C'est à la faveur de la nuit, au clair de Lune que s'ouvre la première scène, entre le Consul Publius et la jeune Bellona.


CSP: Ainsi, les Dieux ont décidé de créer une femme parfaite. Comble de joie, c'est moi qui est l'honneur de ravir son cœur. Hélas, la Justice est intraitable et si mes yeux ont la chance de se poser sur ta beauté, si mes mains ont eu la chance de caresser ta peau de satin, si mon cœur a eu la chance de battre au même rythme que le tient, je dois en payer le prix fort. Il ne me sera jamais possible de te prendre pour femme, cette place étant déjà occupée par ma tendre et douce qui ne mérite pas tant de peine, étant une femme aimante et une mère attentionnée. Pourquoi Eros nous joue-t-il de si mauvais tour... Suis-je un damné, condamné à vivre dans cette dualité? Pourrai-je réellement vivre sans toi, toi qui est ma source d'inspiration, toi qui embrase mes jours et adoucit mes nuits?
Mais le Devoir ne souffre d'aucune excuse. Tu mérites qu'on t'offre sa vie, et j'ai déjà offerte la mienne à Rome. Je ne pourrais te ramener avec moi, dans la cité Immortelle... je ne sais même si je pourrais un jour te revoir...

Bellona: La vie est telle que les Dieux l'ont décidée. Ni plus dur, ni plus facile. Nous sommes que deux êtres au milieu d'un torrent, heureux d'avoir trouver pour quelques temps un havre de paix. Vivre avec ses émotions n'est pas une faiblesse et les idéaux que tu défends se nourrisse de ses sentiments. Seul un coeur pur pourra amener la paix à nos nations. Ta mission est bien trop importante pour qu'une femme t'importune dans ta mission. Si j'ai pu t'apporter du soutient et du réconfort, alors je suis aujourd'hui la plus heureuse des femmes.

CSP: Tu as la sagesse des femmes de devoir, tes paroles adoucissent mon âme mais rendent plus difficile le discours que je me dois tenir. Je partirais donc, avec la souffrance de te voir à mon départ pour ce qui pourrait être la dernière fois. Cependant, je ne peux partir sans te prévenir. Les épiriotes complotent et intriguent. Nos peuples sont aujourd'hui ami, mais cette amitié est fragile. Ils n'auront de cesse que de contrecarrer nos projets communs et d'attiser les quelques tensions qui nous opposent. Prend garde à toi et veille sur ton peuple.


Il quitte la scène et donc la ville.

 
Puis le décors s'ouvre sur l'assemblé de Tarente. Apparait alors un sinistre personnage; Vandettas qui prône l'alliance avec l'Épire. Apparait aussi Antarèx, stratège de Rhegium. Vandettas dénonce Ophedias et son alliance douteuse  avec Rome. Pour cela il met à jour la relation secrète du consul avec Bellona. Les grecs, furieux, remettent l'Archontat à Vandettas qui enferme Ophedias. Dobrakus alors prend la parole devant l'assemblée:

Dobrakus: Très chers membres de notre noble assemblée. Pourquoi prendre ces décisions hâtives qui n'apporteront rien sinon la guerre et la destruction. Nous avons prêter serment à Rome et nous entretenons aujourd'hui des liens d'amitié maintes fois prouvés entre nos deux peuples. Cornelius Scipio Publius est veu ici même et a parlé au nom de Rome. Il a défendu les idées de Justice et de Devoir qui nous occupe également. Y a-t-il une faute de ressentir des sentiments pour un peuple si une personne en particuliers cristallise ces sentiments? Qu'y a-t-il de plus injuste que de condamner un amour entre deux personnes appartenant à deux peuples souhaitant l'amitié? Non, patres, il n'y a aucune trahison dans cet amour, juste la preuve que Rome et Tarente sont maintenant sur la bonne voie pour construire ensemble une paix durable et sincère!

Vandettas: Tais-toi, fils de traître, tes paroles insultes Tarente!

S'emparant d'un javelot, il transperce Dobrakus. Dans son agonie, il parvient à murmurer une dernière parole.

Dobrakus: Vandettas, tu as choisi de renier la parole de notre peuple et tu devras le payer un jour. Rome n'acceptera ta traitrise et ramènera Tarente à la raison. Tu penses vraiment que les épiriotes seront des alliés aussi fiable que les romains. Tu entraînes Tarente dans ta folie. Je jure, devant les hommes et les Dieux qu'un jour, un homme de ma lignée reviendra prendre l'Archontat que tu souilles de ta présence et que Tarente et Rome vivront ensemble dans la paix.

La scène se termine sur la mort glorieuse et prophétique de Drobrakus.


 Antarèx, en homme vaillant,  quant à lui décide de prendre Clara Bellona sous sa protection pour la sauver de Vandettas. Mais les paroles perfides de Vandettas le font douter de ses choix, préférant rester l'ami des romains.
 
Alors Vandettas par ses mensonges habiles, lui fait douter de sa loyauté, et sème entre lui et Rome des graines de zizanies, lui prophétisant que les romains trahiront d'ici peu leur parole. À ces conditions Antarèx indique qu'il rejoindrait l'alliance Épirote si ces faits étaient établis! Antarèx retourne sur ces mots à Rhegium.
 
Alors Vandettas explique à ces concitoyens son plan pour duper Antarèx et ainsi, affaiblir Rome en les isolants. Il propose que l'on se déguise en soldats romain, avec les propres armes et cadeaux que le Consul à remis à Ophedia lors de son voyage et que l'on attaque les navires puniques pour les tromper. Ainsi Antarèx croira en la fourberie des romains, et ceux-ci devront affronter la colère des puniques, pendant que les forces de l'Hégémon se préparent pour envahir la république. 
 
Les citoyens de Tarentes , outrés de la fourberie de Vandettas, regrettent Ophedias et Dobrakus. Se révoltant, il tente de chasser Vandettas, mais alors les soldats de l'Épire surgissent de l'arrière scène, et prennent le contrôle de Tarente, jetant en prison ceux qui contestent Vandettas. La scène démontre la fatalité d'une mauvaise décision lorsque la vigilance manque et qu'on n'écoute pas les plus sages et justes.

Fin de l'acte 1. "


(Texte de Marcellus, dialogues réalisés par mes soins)


La foule applaudit longuement les acteurs et demande quand sera écrit la suite. Anna Marcella, devant les demandes osent prendre la parole et promet que si y a des gens qui aime ce qu'elle fait, elle écrira la suite. Elle reçoit un véritable plébiscite et c'est une Anna rosissante qui rejoint les coulisses.

Le jury une nouvelle fois ne boude pas son plaisir et les hochement de tête enthousiastes donne le sourire aux supporters de la jeune auteur.


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MJ Séléné
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Posté le : Mer 14 Oct 2009    

Pour le troisième soir, c'est une pièce un peu particulière qui est présentée. En effet, les acteurs joueront la pièce mais resteront mués, tandis qu'un Choeur accompagnera le jeu des acteurs.

Le thème de la pièce a attiré tous les membres des clergés ainsi que de nombreux romains, souhaitant prouver leur amour pour les Dieux en venant voir cette pièce dédiée à Jupiter.

Mais déjà, la pièce commence.


Le décor représente un décor idyllique et l'on voit des acteurs porter des masques représentant différents dieux que l'on peut reconnaître à leurs attributs. On note surtout le puissant Neptune portant un trident, la douce Junon dont le masque comporte des plumes de paon et dont l'acteur porte un sceptre surmonté d'un coucou. Enfin, il y a aussi Minerve, facilement reconnaissable grâce à une chouette, une vraie, que l'acteur porte sur son bras. 

Le Choeur chante la vie douce des dieux immortels qui s'alimentent du nectar et de l'ambroisie, alors que l'on peut voir les Olympiens allonger sur des couchettes à parler et rire. Mais on voit que Jupiter est entouré par différentes femmes, sous le regard sombre de Junon. Le Choeur annonce alors que Junon commence à nourrir de sombres desseins... Junon, Minerve et Neptune se réunissent en secret et complotent. Leurs dialogues révèlent qu'ils prévoient une chose terrible : renverser le roi des dieux ! Ils s'entendent pour couvrir de chaînes le puissant Jupiter et bouleverser l'ordre des choses établies. Le Choeur commence à trembler et fait naître une lourde atmosphère alors que les trois dieux se dirigent vers Jupiter, qui, de sa voix tonnante, menace son frère, sa soeur et sa fille qui se sont ainsi ligués contre lui. 

De derrière le décor apparaît alors un monstre fait de bois et de toile et qui semble tout aussi horrible. On dirait qu'il possède cent bras et cinquante têtes ! Dans les bouches qui apparaissent, on peut voir du feu. Sous le décor, des esclaves s'activent et projettent un peu d'huile enflammée donnant l'impression que la bête crache du feu.
C'est Briarée. Au côté du monstre se tient une nymphe, Thétis, qui a appelé cet hécatonchire à la rescousse du roi des dieux. Les autres dieux, épouvantés, fuient, tandis que Jupiter les poursuit de sa juste colère et lève le foudre au-dessus de sa tête. 

La pièce se termine avec des louanges à Jupiter chantées par le Choeur, louanges qui rappellent sa toute-puissance et mentionnent au mortel de ne jamais oublier de respecter l'ordre des choses de ce monde...


(texte de Carneus, un grand merci pour son aide)

Le public ne sait trop comment réagir. Les effets réalisés pendant le spectacle ont impressionné le public, mes les spectateurs n'osent pas applaudir trop longtemps, jetant des coups d'œil inquiets vers les membres du clergé. Effectivement, si le clergé de Jupiter semble ravit de cette pièce, les clergé de Junon, Minerve et de Neptune semble moins goûter les choix de l'auteur.
Le jury reste lui plutôt calme, applaudissant poliment les acteurs et le Chœur mais n'y mettant autant d'enthousiasme que les fois précédentes.



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COMNIUS Drusus
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Posté le : Mer 14 Oct 2009    

le sénateur Comnius est présent chaque soir et semble apprécié les spectacles donnés

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