| Lettre du navarque |
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FLAMINIUS Gaius
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Inscrit le : Mar 30 Avr 2024
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 Posté le : Dim 03 Sep 2006 |
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Patres,
J'ai reçu à l'instant une lettre de notre navarque. La question de notre engagement a déjà été débattue et je ne reviendrai pas dessus. Nous progressons, et bientôt, j'en suis convaincu, nous pourrons mettre un blocus sur Tarente.
Je félicite les actions de notre navarque
Agrigenti
Ver 412 ab urbe condita, Dobraso Flaminioque consulibus
Lucius Plinius Victor, Consulum Populi Senatusque Romanae Classis Navarcus,
Consulibus Senatu Populoque salutem dat,
Consuls, Sénat, Peuple de Rome,
Je prends enfin la plume après de longs mois de silence, afin de vous faire le compte-rendu des actions de la flotte pour cette année.
Un mot me vient à l'esprit sitôt que je vois nos fiers navires à quai: Gloire ! Gloire à la Flotte toute entière !
Notre flotte vient en effet de remporter sur les Grecs une formidable victoire, réduisant à quantité négligeable la menace potentielle que représentait les forces navales grecques de Syracuse, permettant ainsi une sécurisation de toute notre côte occidentale et écartant pour longtemps la menace d'une prise de revers de nos vaisseaux par une flotte hostile venant de Sicile.
Durant ce combat naval, nous avons en tout et pour tout perdu définitivement V trirèmes, VIII birèmes, I navire léger de type illyrien et I transport. Cependant, ces pertes sont largement compensées par la capture de XXIX navires ennemis, XVII trirèmes et XII birèmes, actuellement en réparation, ici, à Agrigente.
Ont été également endommagés durant ces combats d'une rare violence XI trirèmes et XIII birèmes, dont une partie, IV trirèmes et IV birèmes pourra reprendre la mer dès le prochain printemps. Neptune aura emporté également dans son royaume L légionnaires marins qui ont trouvé héroïquement la mort.
Dans le même temps c'est XXII trirèmes XXXIV birèmes et II quinquérèmes ennemies qui ont été envoyées par le fond du seul fait de nos armes.
La flotte basée à Syracuse se réduit désormais à III quinquérèmes XVII trirèmes et XV birèmes dont X trirèmes et X birèmes en fuite. soit une baisse des deux tiers du potentiel naval de cette cité grecque !
Ce combat, je vous le narrerai dès mon retour .
Pour l'heure, je veux motiver auprès du Sénat les raisons de mon engagement auprès des puniques. En effet, je sais que la faction pro-grecque et punicophobe de notre assemblée doit fulminer à l'idée du combat mené contre la flotte de Syracuse. Mais à l'issue de mon exposé, vous comprendrez qu'il n'y avait pas d'autre voie possible.
Après avoir surpris tout le monde en entreprenant de mener notre flotte sur la zone d'opération en contournant la Sicile, et ce, alors que l'hiver n'était pas encore fini, nous parvînmes au large des côtes sud de la sicile au milieu du printemps. Dès lors, nous pûmes apercevoir des navires carthaginois, seuls, en observation, ou en convoi dans un ballet très ordonné et remarquable dont l'objeectif était le ravitaillement de la Sicile. Lors de ses rencontres, je notais aucune intention belliqueuse ou hostile chez les Puniques, et les contacts s'établissaient parfois par des signes amicaux.
Parvenu au large d'Agrigente, je fus contacté par le commandant en chef de la zone navale sud, Mithribal, lequel me conviait sans me contraindre en aucune façon à une invitation à terre émanant du fils du suffète, commandant général des opération en Sicile, Hannibal. Je ne refusai pas l'invitation compte tenu des contacts obtenus auparavant avec les unités puniques et n'ayant de ce fait pas à craindre une action hostile de nos amis et officiellement alliés.
Introduit auprès d'Hannibal, celui-ci me reçu avec les plus grands égards, me traitant d'égal à égal, avec respect, comme cela doit être entre deux alliés.
Il me joint à une réunion de son Etat Major et me dresse un tableau fort détaillé de la situation tactique et stratégique. Il apparait clairement, à l'issue de cette présentation, que la flotte romaine est considérée comme une flotte ennemie par toutes les unités grecques au delà du cap sud est de la Sicile et que doublé ce cap, compte tenu des effectifs grecs en présence, c'est se livrer tout droit à Neptune que d'envisager une poursuite, seuls, de notre route.
Hannibal dès lors me met le marché en main: il me réclame l'aide de la flotte romaine pour renverser la situation à notre avantage et affaiblir le potentiel maritime ennemi. Entendons nous bien, Hannibal n'exige en aucun cas notre aide, il la sollicite.
Je la lui promets, pourquoi ? Depuis le début des opérations contre Tarente, il ne fait aucun doute en mon esprit que notre ennemi, loin d'être divisé, est uni face au danger, et que de Syracuse à Athènes, c'est l'ensemble du monde Grec qui se dresse contre nous. J'en veux pour preuve la présence dans l'Adriatique, attestée par mes services de renseignement de navires grecs de toutes origines, notamment de navire épiriotes, pourtant prêts, peu avant le déclenchement des hostilités, à s'allier avec nous. Par ailleurs, nous n'avons aucun traité d'alliance avec Syracuse, et peu avant mon départ, l'Hegemon, dont fait partie Syracuse, a manifesté son hostilité à notre égard.
Par ailleurs, je reconnais là une occasion inespérée de renforcer et de faire à nouveau briller notre alliance avec Carthage. Qu'après tous les mauvais coups que certains avaient pu porter contre celle-ci, qu'Hannibal, fils du Suffète Hamilcar, puisse encore croire en elle, relevait du miracle. Je pense alors que cette occasion a de grande chance d'être la dernière et qu'un refus de ma part, c'est à dire de la part de Rome, nous aurait engagé définitivement vers une rupture aussi dommageable que dangereuse.
Mais je n'entends pas céder sans négocier et j'obtiens sans difficulté l'ouverture du détroit de Messine et l'engagement punique à nos côtés à l'issue des opérations portées en commun contre Syracuse. On me laisse entendre aussi que la situation de Massalia, lorsque j'aborde le sujet, n'est pas aussi bloquée qu'elle en a l'air, mais Hannibal m'indique clairement qu'il n'est pas habilité à en discuter.
J'ajoute enfin que les ordres consulaires étaient très clairs: la flotte devait s'assurer par tous les moyens, quels qu'ils soient,une route sûre vers Tarente et l'Adriatique. Cet ordre ne pouvait être exécuter sans choisir l'alliance avec Carthage, ce que je fis et ce dont je prévenais les consuls et le Sénat.
Je livrai ma décision aux Dieux et laissai mon avenir dans les combats à venir idiquer au monde s'Ils approuvaient ou désapprouvaient mon choix.
Cette décision prise, je rencontrai Hasdrubaal, second fils du Suffète, avec qui nous mettions au point la stratégie à tenir face aux grecs.
Ce qui se passa lors de cette réunion et par la suite, je vous le narrerai donc de vive voix ou si les événement ne me permettent pas de rentrer prochainement à Rome, dans une prochaine lettre.
Gloire à Rome !
Gloire aux Dieux !
Roma Victrix !
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Consul actif et ancien 'plein trucs'.
Qui a fait ca ? Je te trouverai... |
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SEVERUS Licius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 2364
Inscrit le : Mar 29 Aoû 2006
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Posté le : Dim 03 Sep 2006 |
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Heureux de la victoire, perplexe sur cette bataille, reste grave et silencieux
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Roma Est Imperare Orbi Universo.
Pas de liberté du peuple, sans souveraineté du peuple, c'est à dire sans république- Marc Bloch.
Pro- Préteur au Samnium en 365.
Primatus Legatus en 364.
Préteur absent en 363.
Edile- 347, 357, 358, 359.
Questeur- 343, 344 et 362.
Mail: severuslicius@yahoo.fr |
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AGRIPPA Lucilius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 507
Inscrit le : Lun 28 Aoû 2006
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Posté le : Dim 03 Sep 2006 |
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Le navarque a agit de manière conscensieuse, en pesant le pour et le contre de la chose, et je le félicite pour ça.
342 sera le tournant: Plinius fera le blocus de Tarente pendant que les Légats Claudius et Darus mettront le siège à Tarente.
Notre Consul Dobrasus viendra sûrement a bout des derniers cités de la botte italienne.
Une heureuse année en perpective.
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Car l'éclat des richesses et de la beauté est chose fragile et périssable ; la vertu, elle, assure la gloire et l'immortalité.
SALLUSTE, Cat, I |
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CARMANOVIUS Julius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 1309
Inscrit le : Dim 20 Aoû 2006
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Posté le : Lun 04 Sep 2006 |
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Puisse les Dieux en décider ainsi, Sénateur Aggripa, mais effectivement les excellentes nouvelles que nous apporte le Navarque semblent très bien préparer l'année à venir 
L'attitude d'Hannibal à notre égard me parait porteuse de promesses d'un futur apaisé avec Carthage, pour peu que nos vaillants punicophobes reviennent à la raison, maintenant que les évènement rendent irrémédiablement leurs raisonnements caduq.
Hannibal, que je n'ai malheureusement pas pu rencontrer durant mon ambassade car il était alors gouverneur d'Ibérie, succèdera probablement à son père Hamilcar si les Barcides restent au pouvoir à Carthage. C'est donc une excellente chose qu'un Romain ai pu lui prouver que si notre Sénat sombre souvent dans le ridicule, en terme de valeure individuelle nous sommes un peuple qui n'a de leçon à recevoir de personne.
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ROMERUS Marius
Invité
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Posté le : Lun 04 Sep 2006 |
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Voilà une bonne nouvelle...
Profitons de celle ci pour nous réjouir rapidement, mais ne baissons pas non plus totalement notre garde face aux carthaginois.
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FLAMINIUS Gaius
Autorisation : Modérateur
Nb de messages : 1499
Inscrit le : Mar 30 Avr 2024
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Posté le : Lun 04 Sep 2006 |
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Ce conseil est une vérité permanente. Ne devons toujours être vigilant et la guerre est loin d'être terminé. Une guerre peut se tourner sur une bataille. Nous devons rester vigilant et agir avec clareté afin que Rome puisse arriver à la victoire.
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Consul actif et ancien 'plein trucs'.
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SEVERUS Licius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 2364
Inscrit le : Mar 29 Aoû 2006
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Posté le : Lun 04 Sep 2006 |
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Esperons aussi que nous pourrons compter sur la flotte carthaginoise pour combattre celle de Tarente, et sur son infantrie si notre territoire subi l'invasion des grecs, il nous faudrait pas que le sang Romain ne serve que les intêrets des Barcides, ce serait une insulte à nos marins morts...
Déclara-t-il amer, et aigre.
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Pro- Préteur au Samnium en 365.
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Préteur absent en 363.
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Atreus Leto
Autorisation : Membre
Nb de messages : 661
Inscrit le : Lun 21 Aoû 2006
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Posté le : Lun 04 Sep 2006 |
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une tres bonne nouvelle j'en conviens. IL faut s'en rejouir, cependant il reste que le navarque a decide seul de l'attiude de la Republique entiere sur un point bien precis, un point toujours en debat ici meme au Senat, et il l'a fait sans en referer a personne, pas meme a un consul. Il ne s'agit pas de savoir s'il a eu raison ou tort et j'ajoute que, s'il avait demande son avis au Senat, j'aurais soutenu avec ardeur sa position, mais la n'est pas le probleme.
C'est une grave atteinte a nos institutions et la victoire n'excuse en rien cette attitude trop repandue parmi les hommes de pouvoir de la Republique depuis quelques temps...
L'exemple Andronicus doit etre rappel constant dans tous les esprits, a savoir comment se termine la carriere d'un homme qui se pense plus haut que les Lois de Rome et ce que ca peut en couter a la Republique...
En consequence, apres avoir feliciter le navarque Plinius pour cette brillante victoire, je me verrai contraint de porter plainte contre lui.
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préteur flingueur. |
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Titus Valerius Publicola
Autorisation : Modérateur
Nb de messages : 1234
Inscrit le : Mar 29 Aoû 2006
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Posté le : Lun 04 Sep 2006 |
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ROMA VINCIT OMNIA !!!
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La Terreur du Sénat
Censor Power |
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CAPUT Marcus
Invité
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Posté le : Lun 04 Sep 2006 |
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Il faut prendre en compte les circonstances cher Atreus. J'avoue ne pas être très au fait du dossier, mais il me semble apparent que le navarque été dans l'obligation de prendre une décision par lui même, car Hannibal attendait visiblement une réponse, or s'il avait fallu que le navarque fasse parvenir l'information à Rome, qu'une décision y soit prise, puis que la décision lui revienne, cela aurait ajouter un délai non négligeable, or je pense qu'au vu de sa mission, la rapidité, sans précipitation, soit importante. De plus si j'ai bien compris, Carthages ne doit pas vraiment apprécié la célérité des décisions prises à Rome et la réaction du navarque n'en devient que plus interressante.
Maintenant, s'il est vrai que voir une personne seul décider pour Rome puisse paraitre dérangeant, il ne faut pas non plus oublier que le navarque est envoyé sous mandat de Rome pour accomplir un objectif, donc ce doit être une personne de confiance, a même de prendreune juste décision, sinon, soit le choix de cet individu fut éronné, soit le sénat aurait du envoyer une personne capable de prendre des décisions lorsque ce cas de figure se présentait.
Encore une fois j'avoue bien volontiers que ne connaissant pas les tenants et aboutissants de cette affaire du fait de ma récente arrivée, il est possible que je me fourvoie inconsciemment.
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CARMANOVIUS Julius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 1309
Inscrit le : Dim 20 Aoû 2006
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Posté le : Lun 04 Sep 2006 |
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| Citer : Atreus Leto | | En consequence, apres avoir feliciter le navarque Plinius pour cette brillante victoire, je me verrai contraint de porter plainte contre lui. |
C'est n'importe quoi, Consulaire 
La mission de la flotte Tyrrhénienne dans cette guerre, si je ne m'abuse, c'est d'être en mesure d'effectuer le blocus de Tarente.
Cela étant posé, sachant que le Navarque avait déjà effectué un long voyage, qu'il avait face à lui des navires grecques tous hostiles quelque soit leur origine, il a effectué en plein connaissance de cause le seul choix admissible, c'est à dire se rapprocher d'un peuple ami de Rome depuis de longues années.
S'il avait mis sa flotte au mouillage le temps de prévenir Rome ou pire, s'il était revenu avec elle à Ostie, alors là il aurait fait preuve d'incompétence, bloquant nos navires durant les deux à trois saisons nécessaire à ce que le Sénat prenne une décision.
Mais il a effectué en maître de la flotte Romaine qu'il est son choix.
Porter plainte contre lui pour cette raison est d'une stupidité sans nom. Les dieux savent que le navarque Plinius n'est pas parfait, mais ça n'est pas sur ce point qu'il est à blamer. En temps de guerre, on ne peut se permettre d'en référer sans cesse aux Consuls ou au Sénat, on doit agir. Les Consuls en l'envoyant en mission lui avaient donné des instructions et des recommandations, qu'il a suivi en prenant cette décision.
Sans quoi, je pourrais porter plainte aussi contre l'illustrissime Sénateur Iulius pour avoir risqué la flotte Romaine en mer noire dans sa longue mission du début des années 20 
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OVATORIUS Caius
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Posté le : Mar 05 Sep 2006 |
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En ce qui concerne les Navarques Illius et Plinius Victor, je constate qu'ils commenttent la même erreur.
L'exces de zèle!
Hier le navarque Illius aidaitles grecs que nous combattons aujourd'hui.
Il serait bon de ne pas trop en faire avec les puniques!
Je ne trouve pas l'idée de la plainte si déplacée même si cette solution est quelque peu excessive.
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Flamine de Junon depuis 342
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DETRITUS Paulus
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Posté le : Mar 05 Sep 2006 |
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Il y a des sénateurs en cette assemblée qui ne semblent pas savoir de quoi ils parlent
Regard noir vers Ovatorius
Remettre en cause les actions du grand Navarque Illius est sans doute la chose la plus stupide que j'ai jamais entendu, un homme comme lui fait la gloire de Rome et de nottre flotte au simple fait d'évoquer son nom ... bref passons
Je suis très heureux d'une telle victoire, voila de quoi renforcer les liens avec les puniques et une belle occasion de supprimer la menace maritime grecque, vivement la chute de Tarente !
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Sénateur en retraite ... |
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OVATORIUS Caius
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Posté le : Mar 05 Sep 2006 |
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Une époque il était impensable de critiquer les victoires d'Andronicus.
Le Navarque Illius était le meilleur. Je regrette seulement qu'il fut si bon aux cotés des Grecs.
Regard hargneux au cenceur
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DETRITUS Paulus
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Posté le : Mar 05 Sep 2006 |
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Attention sénateur à ne pas faire de comparaison entre Andronicus l'infame et le sénateur Illius, tes propos deviennent outrangeant et tu as de la chance que ce dernier te laisse ainsi parler !
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