| Débat sur la réforme du réseau routier et communication ... |
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L.Faustus Flamininus
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Nb de messages : 261
Inscrit le : Mer 30 Aoû 2006
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 Posté le : Sam 02 Sep 2006 |
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Patres , j'ouvre le débat sur une réforme potentielle et envisageable de notre réseau routier , sur sa transformation et son utilité ... Voici le texte que j'avais élaboré avant ma mission en Grèce ..... Bien sûr je m'attends à ce que ce texte soit discuté afin d ele parfaire ou s'il est inconcevable , que l'on m'explique les raisons de ce refus ..... Rien n'est définitif dans ce projet c'est une proposition tout simplement :
De l’organisation et la sécurisation des voies terrestres romaines
Titre I. De l’administration des routes intérieures
Article I : De l’organisation des péages et Zones Routières
Chaque route interurbaine pavée est divisée en tronçons, tout tronçon étant doté d’un point de péage en son milieu. Les péages sont éloignés de 20 à 25 mille pas (HJ : 30 à 40 km) les uns des autres ce qui correspond à la distance moyenne parcourue par un marcheur ou une charrette marchande en une journée. Cet éloignement moyen pourra être adapté selon la qualité de la route et du relief.
Un tronçon de route avec son point de péage ainsi que les habitations, l’ager et le saltus à proximité de la voie forment une Zone Routière. Chaque Zone Routière prend le nom de la province dont elle fait partie, suivi de sa position par rapport à Rome (ex : la zone de Sabine la plus proche de Rome prend le nom de SABINAE I).
La carte des péages et zones routières est fournie en annexe.
Article II : De la création du Bureau des Voies Terrestres
A Rome, un Bureau des Voies Terrestres est créé. Permettant de soulager les services de l'Edilité, il est installé à Rome et doit obligatoirement être dirigé par un sénateur (sans obligation d’avoir exercé une quelconque magistrature auparavant et sans limitation d’âge). Ce responsable est nommé Praefecto Viarum (Préfet des Routes). Cette fonction sénatoriale s’inscrit dans une logique de service de la République et ne peut faire l’objet d’aucune rémunération.
Ce Praefecto Viarum est secondé par des curateurs, obligatoirement citoyens romains de plein droit, chacun étant en charge d’une province dotée de routes pavées. Ces assistants reçoivent un titre correspondant à la province dont ils ont la charge (ex : le responsable des routes de la province Sabine prend le nom de Curator Viarum Sabinae). Un curateur des routes reçoit un salaire annuel de 500 as.
Le Bureau des Voies Terrestres est installé au Sénat de Rome, à proximité du Bureau de la Questure et de l’Edilité.
Article III : Du financement du Bureau des Voies Terrestres
Chaque année, le Praefecto Viarum reçoit un financement pour payer son personnel et entretenir les voies de communication intérieures. Le montant de cette somme d’argent s’élève à 135 000 as par province et 5000 as par Zone Routière administrée par le Bureau des Voies Terrestres, plus 20 000 as de frais de fonctionnement du Bureau situé à Rome.
Dans une logique d’aménagement intérieur et d’extension de la puissance romaine, sur décision du Sénat (Sénatus-Consulte), le Bureau des Voies Terrestres peut recevoir un financement exceptionnel. A la fin de chaque année, le Praefecto Viarum devra rendre compte de ses dépenses devant le Sénat.
Le détail du financement du Bureau des Voies Terrestres est fourni en annexe.
Article IV : Des attributions du Bureau des Voies Terrestres
Le Bureau des Voies Terrestres et ses représentants ont autorité pour percevoir les taxes aux péages, aménager et entretenir les voies intérieures ainsi qu’assurer la sécurité des utilisateurs des routes romaines. Le Praefecto Viarum doit gérer la répartition du personnel et des fonds alloués au Bureau ainsi qu’organiser les travaux de construction et de réfection des voies. Il peut demander une aide au Sénat en justifiant un projet exceptionnel. Dans son travail de décideur, il est assisté par les curateurs des routes qui sont en charge du recrutement du personnel et de l’application des décisions.
Le Praefecto Viarum est le détenteur du Sceau Mineur d’Hermès. A ce titre, il peut marquer un message du cachet d’Hermès, permettant au porteur de la missive d’être exempté de taxes lors du passage à un péage et lui assurant le gîte et le couvert ainsi que la priorité d’une monture fraîche dans une auberge-relais (voir plus loin). Les Consuls de la République sont détenteurs du Sceau Majeur d’Hermès. A ce titre, ils peuvent marquer un message du cachet d’Hermès ou donner l’anneau d’Hermès à un individu travaillant pour la République (les privilèges précédemment cités sont alors associés à la personne et non plus au message).
Titre II. Des vigiles routiers et de leurs champs d’action
Article V : De la création du corps des vigiles routiers
Le corps des vigiles routiers est créé. Soumis à l’autorité suprême des consuls de la République, ce corps civil est géré au quotidien par le Praefecto Viarum. Ces vigiles routiers sont divisés en petites unités de 10 hommes appelées paenulae (pénules, en référence au manteau à capuchon qui protège les vigiles des intempéries). Une paenula est composée d’un chef de zone, de cinq vigiles à pied et quatre cavaliers.
Une paenula est affectée à une Zone Routière et est responsable de la sécurité des voyageurs et marchands dans son secteur ainsi que du prélèvement des taxes à son péage. Elle assure également les fonctions de police au point de péage. Un chef de zone est responsable de ses hommes et doit rendre compte au Bureau des Voies Terrestres, situé à Rome, en cas de plainte.
Article VI : Du recrutement, des salaires et des privilèges des vigiles routiers
Les paenulae sont recrutées et organisées par les curateurs des routes, au nom de la République romaine. Un vigile routier, quelque soit son grade, s’engage pour 20 ans au service de Rome. Les vigiles à pied ou les cavaliers peuvent être des affranchis, des citoyens de droit mineur (minuto juro ou droit latin) ou des citoyens de plein droit (optimo juro ou droit romain) mais le chef de zone doit obligatoirement être citoyen romain de plein droit.
Un vigile à pied ou un cavalier reçoit un salaire annuel de 80 as ainsi qu’une concession de 60 ares de terres pendant la durée de son service, exploitable par les membres de sa famille. Un chef de zone reçoit un salaire annuel de 120 as ainsi qu’une concession de 100 ares de terres pendant la durée de son service, exploitable par les membres de sa famille.
Durant leur service, les vigiles d’une paenulae ainsi que leurs familles peuvent louer à prix préférentiel un logement proposé par la République. Ces logements ainsi que les terres de concessions sont groupées autour du point de péage.
Article VII : De l’équipement des vigiles routiers
Un vigile à pied est équipé d’un casque, d’un plastron et de jambières de cuir bouilli. Il porte une pénule (manteau de voyage à large capuchon) rouge sombre et des bottes de cuir. Il est armé de deux pilums, d’un bâton long et d’un glaive. Avec ses premiers salaires, un vigile à pied rachète son équipement à la République et est en charge de son entretien.
Un cavalier est équipé d’un casque, d’un plastron et de jambières de cuir bouilli. Il porte une pénule (manteau de voyage à large capuchon) rouge sombre et des bottes de cuir. Il est armé d’une longue lance et d’un bouclier de fer ainsi que d’un glaive. Avec ses premiers salaires, un cavalier rachète son équipement à la République et est en charge de son entretien.
Un chef de zone est équipé d’un casque à plumeau, d’un plastron et de jambières de fer. Il porte une pénule (manteau de voyage à large capuchon) rouge vif et des bottes de cuir. Il est armé d’un bouclier de fer ainsi que d’un glaive long. Avec ses premiers salaires, un chef de zone rachète son équipement à la République et est en charge de son entretien.
Titre III. Des péages et des auberges-relais
Article VIII : De l’organisation d’un point de péage
Chaque point de péage, sous l’autorité d’un chef de poste est organisé de la façon qui suit : une barrière est défendue au minimum par quatre vigiles routiers le jour et deux vigiles routiers la nuit. Le chef de poste a pour charge d’organiser le roulement au sein de sa paenulae de façon à maintenir toujours sept vigiles actifs sur la Zone Routière dans la journée et deux vigiles pendant la nuit (pas de patrouille sur la route après la tombée du soir).
Annexes :
HJ : Mille pas romains = 1.48 km
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Epoux de Luna Pirus
Ambassadeur en Grèce 338-340
Premier Légat du Sud 345-346...
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Epargner ceux qui se soumettent et dompter les superbes. |
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CARMANOVIUS Julius
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Posté le : Sam 02 Sep 2006 |
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Assurer la sécurité de nos routes me paraît être une excellente chose.
Cependant, et je devance ici mon "estimé collègue" Decimus, ce système de péage ammènera un surcoût globalement important, surtout pour les gros marchands. Évidemment, la sécurité accrue de la République leur permettra aussi de diminuer leurs vols de marchandise, mais j'ai bien peur que cela ne soit pas suffisant.
C'est pourquoi je propose d'ajouter à ce volet "sécurité" une baisse des taxes sur les produits transportés sur nos routes par nos marchands. Quant aux marchands étrangers, tant pis pour eux, ils n'auront qu'à revendre leur marchandise dans nos ports et non dans nos villes, cela augmentera notre prosperité.
Je demande aussi à ce que l'axe Rome-Ostie soit géré directement par la République (une extension de l'autorité Édilitaire sur cet axe me paraitrait parfaite) afin qu'il soit le seul à ne pas être soumis à ces péages, pour ne pas diminuer le flux de marchandise qui rejoint notre Cité.
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Titus Valerius Publicola
Autorisation : Modérateur
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Inscrit le : Mar 29 Aoû 2006
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Posté le : Sam 02 Sep 2006 |
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acquiesce
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La Terreur du Sénat
Censor Power |
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TUBBSARIUS Flavius
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Posté le : Sam 02 Sep 2006 |
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puis je me permettre, patres, de faire reconsidérer cette idée, avec ce que le senat a souvent tendance à négliger, l'aspect religieux de notre république.
en effet, Mercure, l'un de nos dieux majeurs, se voit régulièrement offrir des auberges relais, dont le flamine Flaminius saura vous exposer le fonctionnement si votre mémoire était défaillante sur ce point.
n'oublions pas que notre République est sous tutelle de notre panthéon, et tenir à tout prix à dissocier Dieux, lieux de culte, et ouvrages républicains me semble dénué de sens.
ce que je vous propose, messieurs, ce n'est pas, sur une meme route d'avoir a la fois des auberges relais dédiées à mercure, des postes de taxes, des postes de controle, etc. c'est plutot d'acroitre notre reconnaissance de l'importance de Mercure dans son role de voyageur, en dotant ces auberges relais qui font aujourd'hui office uniquement religieux, d'un pendant administratif. diminuons le cout d'entretien en batisses en en construisant moins, taxons plutot l'auberge en l'incitant a augmenter ses tarifs, mais ce, en proposant outre la possibilité d'y faire offrande à mercure, d'y obtenir le repos necessaire à tout voyageur, d'y etre en sécurité, car les hommes qui ne seront pas aux postes de "péage", pourront assumer la sécurité des environs de l'auberge.
disposons ces auberges lieux de culte sécurisées de facon à ce qu'elles soient distantes les unes des autres d'une ou deux journées de trajet, afin qu'un voyage bien agencé permette de s'y abriter sans perdre de temps.
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Respublica defensor
Dictateur 362
Pontife (Crucifixion adept)341-342-343-344-345-346-347-348-349-350-351-352-353-354-355-356-357-358-359
Consul 333-334-335------360-361
Préteur 331-
Edile 330-
Questeur 328-329- |
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OVATORIUS Caius
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Inscrit le : Ven 25 Aoû 2006
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Posté le : Sam 02 Sep 2006 |
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Encore faut il construire de veritable routes avant de faire des péages.
Sinon je considère que ce projet est une entrave supplémntaire pour notre commerce.
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50 ans
Flamine de Junon depuis 342
342 - Questeur
341 - Prefet zone Nord. |
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L.Faustus Flamininus
Autorisation : Membre
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Inscrit le : Mer 30 Aoû 2006
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Posté le : Sam 02 Sep 2006 |
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L'argent de ces péages pourra en plus être affécté à al construction d eroutes pavées , selon les besoins de l'édilité ......
Quant à l'abaissement des taxes commerciales comme le suggère le tribun Carmanovius , cela peut être une solution afin de ne pas détourner le commerce de nos routes et cela restera rentable j'en suis persuadé .......
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Epoux de Luna Pirus
Ambassadeur en Grèce 338-340
Premier Légat du Sud 345-346...
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Epargner ceux qui se soumettent et dompter les superbes. |
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SEVERUS Licius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 2364
Inscrit le : Mar 29 Aoû 2006
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Posté le : Sam 02 Sep 2006 |
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Suit attentivement le débat
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Roma Est Imperare Orbi Universo.
Pas de liberté du peuple, sans souveraineté du peuple, c'est à dire sans république- Marc Bloch.
Pro- Préteur au Samnium en 365.
Primatus Legatus en 364.
Préteur absent en 363.
Edile- 347, 357, 358, 359.
Questeur- 343, 344 et 362.
Mail: severuslicius@yahoo.fr |
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Titus Valerius Publicola
Autorisation : Modérateur
Nb de messages : 1234
Inscrit le : Mar 29 Aoû 2006
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Posté le : Sam 02 Sep 2006 |
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grogne et murmure à ce propos je n'ai pas reçu l'argent des fortifications...
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La Terreur du Sénat
Censor Power |
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AGRIPPA Lucilius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 507
Inscrit le : Lun 28 Aoû 2006
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Posté le : Dim 03 Sep 2006 |
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Je n'ai rien à ajouter sur le sujet, tout a été dit.
Je soutiens l'idée qu'instaurer des péages sur nos routes fera encore plus fuir les marchands, qu'ils soient étrangers ou roumains.
Rome connue pour ses fabuleuses routes, propres et bien entretenus, reliant les grandes cités prospères entre elles, faisons la taxer et elle perdra tout d'un coup de son trafic ... Alors que la guerre nous fait tous souffrir, surtaxer les marchands qui l'empruntent alors qu'ils ont de plus en plus difficile à écouler leur marchandise, c'est signer leur arrêt de mort, du moins pour les petits marchands.
Par contre le souhait de plus de sécurité sur nos routes me paraît tout à fait louable. Néanmoins, cette idée de conférer un lot de terres aux vigiles durant leur service me parait mauvais pour le moment: alors que nous manquons cruellement de terres que se soit pour nous Patricien, pour la Plèbe ou bien pour les veuves et autres familles meutries par la guerre, conférer à encore plus de citoyens un lot de terre ne fera que rapitissire encore plus l'Ager. Cela ne sert à rien d'agraver la situation ...
Malgré tout, cette idée de lot de terres pourra être de nouveau d'actualité dès que nous aurons conquis le Sud: en effet l'apport de terres de là-bas permettra d'alléger considérablement les pressantes demandes d'Ager de plus en plus considérables.
Mais j'aurais une question, j'spère que quelqu'un pourra y répondre: ces fameuses auberges-relais, elles appartiennent à des propriétaires indépendants ou bien à l'Etat ?
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Car l'éclat des richesses et de la beauté est chose fragile et périssable ; la vertu, elle, assure la gloire et l'immortalité.
SALLUSTE, Cat, I |
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L.Faustus Flamininus
Autorisation : Membre
Nb de messages : 261
Inscrit le : Mer 30 Aoû 2006
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Posté le : Dim 03 Sep 2006 |
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Ces auberges sont à la charge de privés mais sous contrôle de l'Etat qui preleverait 10% des bénéfices de l'auberge dans l'année ....... L'auberge est un point stratégique signe de profit pour un citoyen qui désire investir , la construction de l'auberge sera à sa charge mais l'aubergiste sera imposable comme tout autre citoyen romain , avec en plus une taxe sur ses bénéfices de 10% l'an ....
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Epoux de Luna Pirus
Ambassadeur en Grèce 338-340
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Epargner ceux qui se soumettent et dompter les superbes. |
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AGRIPPA Lucilius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 507
Inscrit le : Lun 28 Aoû 2006
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Posté le : Dim 03 Sep 2006 |
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Très bien, merci de ce renseignement Sénateur.
Mais ne serait-il pas possible de financer des citoyens honnêtes, intègres et travailleurs prêts à se lancer dans ce métier ? L'Etat financerait la construction de ces auberges, celui-ci rembourserait l'Etat année par année. Je suis persuadé que le coût élevé de constructin d'auberge le long des routes est un frein au développement de ce secteur.
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Car l'éclat des richesses et de la beauté est chose fragile et périssable ; la vertu, elle, assure la gloire et l'immortalité.
SALLUSTE, Cat, I |
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TUBBSARIUS Flavius
Autorisation : Membre
Nb de messages : 1337
Inscrit le : Sam 26 Aoû 2006
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Posté le : Dim 03 Sep 2006 |
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décidément, il semble que ce lien entre état et religion soit difficile à remettre au gout du jour, c'est pourtant nos dieux qui nous permettent de dirige notre peuple. et ce projet est l'exemple meme d'un projet à double intéret, religieux et administratif. le fonctionnement des auberges lieux de culte est déja établit, certaines existent déja, mais malgré cela, il semble que le senat ne souhaite pas user de cet atout, et souhaite des batiments qui lui soient propres, pourrait on m'expliquer pourquoi?
outre cela, je ne tolererai pas une seconde fois qu'une insulte pareille soit faite à Mercure: proposer un texte en plein sénat, en le présentant comme texte possible de loi, ce texte mentionnant Hermes,la médiocre pseudo déité hélenne, en lieu et place de notre bien aimé Mercure, je ne me demande plus dorénavant à quel point le senat peut etre irrespectueux de nos déités, à quel point la religion est laissée pour compte, et à quel point cela se ressent au sein de notre Clergé, senateurs. j'ai souvenir de certains questionnements récents quant à l'action des grecs à Rome, messieurs, vous en avez là un exemple.
je demande au censeur que ce pseudo texte de loi soit retiré des minutes du sénat, et ce au plus vite. et remplacé par un équivalent qui ne soit pas un déshonneur pour le senat, et une insulte à notre pantheon. si pareille chose venait a certaines mauvaises oreilles, je crains que des gens ne voient leur honneur et leur vie brisée à rome.
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Respublica defensor
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Questeur 328-329- |
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OVATORIUS Caius
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Posté le : Dim 03 Sep 2006 |
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Completement indiférent, se gratte le genoux
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50 ans
Flamine de Junon depuis 342
342 - Questeur
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L.Faustus Flamininus
Autorisation : Membre
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Posté le : Dim 03 Sep 2006 |
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| Citer : L.Faustus Flamininus | Patres , j'ouvre le débat sur une réforme potentielle et envisageable de notre réseau routier , sur sa transformation et son utilité ... Voici le texte que j'avais élaboré avant ma mission en Grèce ..... Bien sûr je m'attends à ce que ce texte soit discuté afin d ele parfaire ou s'il est inconcevable , que l'on m'explique les raisons de ce refus ..... Rien n'est définitif dans ce projet c'est une proposition tout simplement :
De l’organisation et la sécurisation des voies terrestres romaines
Titre I. De l’administration des routes intérieures
Article I : De l’organisation des péages et Zones Routières
Chaque route interurbaine pavée est divisée en tronçons, tout tronçon étant doté d’un point de péage en son milieu. Les péages sont éloignés de 20 à 25 mille pas (HJ : 30 à 40 km) les uns des autres ce qui correspond à la distance moyenne parcourue par un marcheur ou une charrette marchande en une journée. Cet éloignement moyen pourra être adapté selon la qualité de la route et du relief.
Un tronçon de route avec son point de péage ainsi que les habitations, l’ager et le saltus à proximité de la voie forment une Zone Routière. Chaque Zone Routière prend le nom de la province dont elle fait partie, suivi de sa position par rapport à Rome (ex : la zone de Sabine la plus proche de Rome prend le nom de SABINAE I).
La carte des péages et zones routières est fournie en annexe.
Article II : De la création du Bureau des Voies Terrestres
A Rome, un Bureau des Voies Terrestres est créé. Permettant de soulager les services de l'Edilité, il est installé à Rome et doit obligatoirement être dirigé par un sénateur (sans obligation d’avoir exercé une quelconque magistrature auparavant et sans limitation d’âge). Ce responsable est nommé Praefecto Viarum (Préfet des Routes). Cette fonction sénatoriale s’inscrit dans une logique de service de la République et ne peut faire l’objet d’aucune rémunération.
Ce Praefecto Viarum est secondé par des curateurs, obligatoirement citoyens romains de plein droit, chacun étant en charge d’une province dotée de routes pavées. Ces assistants reçoivent un titre correspondant à la province dont ils ont la charge (ex : le responsable des routes de la province Sabine prend le nom de Curator Viarum Sabinae). Un curateur des routes reçoit un salaire annuel de 500 as.
Le Bureau des Voies Terrestres est installé au Sénat de Rome, à proximité du Bureau de la Questure et de l’Edilité.
Article III : Du financement du Bureau des Voies Terrestres
Chaque année, le Praefecto Viarum reçoit un financement pour payer son personnel et entretenir les voies de communication intérieures. Le montant de cette somme d’argent s’élève à 135 000 as par province et 5000 as par Zone Routière administrée par le Bureau des Voies Terrestres, plus 20 000 as de frais de fonctionnement du Bureau situé à Rome.
Dans une logique d’aménagement intérieur et d’extension de la puissance romaine, sur décision du Sénat (Sénatus-Consulte), le Bureau des Voies Terrestres peut recevoir un financement exceptionnel. A la fin de chaque année, le Praefecto Viarum devra rendre compte de ses dépenses devant le Sénat.
Le détail du financement du Bureau des Voies Terrestres est fourni en annexe.
Article IV : Des attributions du Bureau des Voies Terrestres
Le Bureau des Voies Terrestres et ses représentants ont autorité pour percevoir les taxes aux péages, aménager et entretenir les voies intérieures ainsi qu’assurer la sécurité des utilisateurs des routes romaines. Le Praefecto Viarum doit gérer la répartition du personnel et des fonds alloués au Bureau ainsi qu’organiser les travaux de construction et de réfection des voies. Il peut demander une aide au Sénat en justifiant un projet exceptionnel. Dans son travail de décideur, il est assisté par les curateurs des routes qui sont en charge du recrutement du personnel et de l’application des décisions.
Le Praefecto Viarum est le détenteur du Sceau Mineur de Mercure. A ce titre, il peut marquer un message du cachet d’Hermès, permettant au porteur de la missive d’être exempté de taxes lors du passage à un péage et lui assurant le gîte et le couvert ainsi que la priorité d’une monture fraîche dans une auberge-relais (voir plus loin). Les Consuls de la République sont détenteurs du Sceau Majeur de Mercure. A ce titre, ils peuvent marquer un message du cachet de Mercure ou donner l’anneau de Mercure à un individu travaillant pour la République (les privilèges précédemment cités sont alors associés à la personne et non plus au message).
Titre II. Des vigiles routiers et de leurs champs d’action
Article V : De la création du corps des vigiles routiers
Le corps des vigiles routiers est créé. Soumis à l’autorité suprême des consuls de la République, ce corps civil est géré au quotidien par le Praefecto Viarum. Ces vigiles routiers sont divisés en petites unités de 10 hommes appelées paenulae (pénules, en référence au manteau à capuchon qui protège les vigiles des intempéries). Une paenula est composée d’un chef de zone, de cinq vigiles à pied et quatre cavaliers.
Une paenula est affectée à une Zone Routière et est responsable de la sécurité des voyageurs et marchands dans son secteur ainsi que du prélèvement des taxes à son péage. Elle assure également les fonctions de police au point de péage. Un chef de zone est responsable de ses hommes et doit rendre compte au Bureau des Voies Terrestres, situé à Rome, en cas de plainte.
Article VI : Du recrutement, des salaires et des privilèges des vigiles routiers
Les paenulae sont recrutées et organisées par les curateurs des routes, au nom de la République romaine. Un vigile routier, quelque soit son grade, s’engage pour 20 ans au service de Rome. Les vigiles à pied ou les cavaliers peuvent être des affranchis, des citoyens de droit mineur (minuto juro ou droit latin) ou des citoyens de plein droit (optimo juro ou droit romain) mais le chef de zone doit obligatoirement être citoyen romain de plein droit.
Un vigile à pied ou un cavalier reçoit un salaire annuel de 80 as ainsi qu’une concession de 60 ares de terres pendant la durée de son service, exploitable par les membres de sa famille. Un chef de zone reçoit un salaire annuel de 120 as ainsi qu’une concession de 100 ares de terres pendant la durée de son service, exploitable par les membres de sa famille.
Durant leur service, les vigiles d’une paenulae ainsi que leurs familles peuvent louer à prix préférentiel un logement proposé par la République. Ces logements ainsi que les terres de concessions sont groupées autour du point de péage.
Article VII : De l’équipement des vigiles routiers
Un vigile à pied est équipé d’un casque, d’un plastron et de jambières de cuir bouilli. Il porte une pénule (manteau de voyage à large capuchon) rouge sombre et des bottes de cuir. Il est armé de deux pilums, d’un bâton long et d’un glaive. Avec ses premiers salaires, un vigile à pied rachète son équipement à la République et est en charge de son entretien.
Un cavalier est équipé d’un casque, d’un plastron et de jambières de cuir bouilli. Il porte une pénule (manteau de voyage à large capuchon) rouge sombre et des bottes de cuir. Il est armé d’une longue lance et d’un bouclier de fer ainsi que d’un glaive. Avec ses premiers salaires, un cavalier rachète son équipement à la République et est en charge de son entretien.
Un chef de zone est équipé d’un casque à plumeau, d’un plastron et de jambières de fer. Il porte une pénule (manteau de voyage à large capuchon) rouge vif et des bottes de cuir. Il est armé d’un bouclier de fer ainsi que d’un glaive long. Avec ses premiers salaires, un chef de zone rachète son équipement à la République et est en charge de son entretien.
Titre III. Des péages et des auberges-relais
Article VIII : De l’organisation d’un point de péage
Chaque point de péage, sous l’autorité d’un chef de poste est organisé de la façon qui suit : une barrière est défendue au minimum par quatre vigiles routiers le jour et deux vigiles routiers la nuit. Le chef de poste a pour charge d’organiser le roulement au sein de sa paenulae de façon à maintenir toujours sept vigiles actifs sur la Zone Routière dans la journée et deux vigiles pendant la nuit (pas de patrouille sur la route après la tombée du soir).
Annexes :
HJ : Mille pas romains = 1.48 km |
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TUBBSARIUS Flavius
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Posté le : Dim 03 Sep 2006 |
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/rongeant son frein /
crois tu senateur que corriger ainsi à demi, pareille erreur soit la bonne solution? dois je te déclarer Sacer sur le champs, ou vas tu reparcourir ton texte correctement et oter de son contenu définitivement et en tout lieu d'apparition, ce nom qui insulte nos pères et les dieux qui les firent romains?
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Respublica defensor
Dictateur 362
Pontife (Crucifixion adept)341-342-343-344-345-346-347-348-349-350-351-352-353-354-355-356-357-358-359
Consul 333-334-335------360-361
Préteur 331-
Edile 330-
Questeur 328-329- |
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