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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Rapport 325
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Rapport 325
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admin (Pat)
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Posté le : Mar 29 Aoû 2006    

L'année 325 fut rude... Bien plus que je ne l'aurais cru.

Dès le départ, le Tribun Enimius a installé un climat de conflit entre OE et OS, s'appuyant sans vergogne sur le non-versement de l'aide à la Plèbe, oubliant un peu vite que l'OE a été remarquablement absent malgré les multiples demandes des Questeurs au moment de décider du versement de l'aide de 324.

Pressentant la crise, Antonicus et moi-même avons fait armer Junon II, qui campait à proximité de Rome. Ce fut une initiative heureuse, car dans la même semaine, Enimius parvenait à ses fins et créait une émeute qui a mis a bas une bonne partie de la Curie.
Grace à l'intervention de nombreux Sénateurs et de la majorité de l'OE, resté fidèle à la République qui ont tenu tête aux révolutionnaires suffisamment longtemps pour me permettre d'arriver à la tête de Junon II, la République fut sauvée, mais la ville porte encore les marques de l'incendie et de la répréssion qui suivit.

Par la suite, laissant Antonicus à Rome gérer la République, j'ai pris la tête d'une partie de Junon II pour aller rétablir le calme en province. Mais à peine arrivé à Spoletium, les nouvelles dramatiques de Campanie m'ont obligés à revenir sur mes pas, laissant 800 hommes au vil Questus, ce qui fut ma plus grande erreure de Consul.

Après une lente et difficile opération de retour à l'ordre Républicain dans tout le Latium, du Nord au Sud en passant par Ostie, ou le Sénateur Ecritus s'est brillament illusté, je suis entré en Campanie à ses côtés.
Pris d'une fièvre maligne due, d'après Foresthus Gordianus, mon medecin, au mauvais temps et à la fatigue d'un corps qui a trop arpenté les routes ces dernières années, j'ai manqué la bataille décisive, mais heureusement Ecritus a fait honneur à Rome en remportant une franche victoire.

Je l'ai laissé à Capoue pour terminer la pacification du Sud de la Campanie.

Cette année fut donc très éprouvante pour Rome, la République est passé plusieurs fois à coté du désastre, et a exigé de certains hommes, je pense au Tribun Proeminius, au Sénateur Ecritus ou à mon collègue Antonicus, des efforts dépassant parfois la raison.
Pour ma part, la fatigue de cette année ajoutée à celle des deux années précédente ou je suis parti, ai traversé puis suis revenu de Ligurie, a été trop forte pour mon corps, comme l'a prouvé cette faiblesse hivernale, ce qui m'ammène à quitter la vie publique pour me retirer sur mes terres Sabines.

Gloire à Rome l'éternelle, et à ses servants, qui vivent éternellements en sa gloire.

___________________
Carmanovius Lucius Sabinus

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admin (Pat)
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Autorisation : Administrateur
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Posté le : Mar 29 Aoû 2006    

L'année de tous les dangers !

325, fut une année houleuse et fort déplaisante. Le tensions accumulées depuis longtemps entre patriarcat et plèbe se sont cirstalisées sur un problème d'aide à la Plèbe. Notre manque chronique de finance nous ayant empéché de règler la totalité de cette aide, une partie de la plèbe menée par son tribun s'est insurgée à Rome.

En province la situation en fut pas meilleure et de nombreux troubles éclatèrent dans toute la République, notamment en Campanie.

Le sénateur Labienus Titus fut nommé dictateur avec pour mission de lutter contre la crise. Sa dictature fut brève mais réussie et il présenta en sortie de charge 3 lois de réforme.

Les deux légions sous le commandement du consul Carmanovius ou de légat Ecritus furent mise à contribution. Leur action permit de rétablir le calme en Spoletium, de récupérer Ostie et de vaincre la Campanie rebelle.

Dans le meme temps, le bon travail de nos envoyés consulaires a été payant et de nombreux corrompus de toute provinces sont tombés, leurs biens confisqués.

Les émeutes ont cependant marqué la République. Les greniers ont été pillés. Le sénateur Laneo réussit à négocier l'achat de blé à nos alliés Boiens et un autre sera effectué aux Massaliotes.

En fin d'année, une discussion plus constructive semble s'être mise en place autour de sujets précis : défrichements de nouvelles terres, ager et distribution de terres à la Plèbe. A suivre avec attention.....

Je tiens à remercier le consul Carmanovius pour son travail et j'ai été fier de travailler à ses cotés. Je remercie également l'ensemble des magistrats et fonctionnaires qui ont travaillé courageusement en cette difficile année 325.

****************

Annexe I : état de nos envoyés consulaires

Vosques
sénateur Plinius Victor => rentré à Rome
sénateur Fugitivus => sur le retour

Marses
sénateur Gregus Matrus => rappelé à Rome pour l'affaire de la Louve Noire, remplacé par le sénateur Saturninus

Spoletium
Sénateur Questus => rappelé à Rome pour incompétence, remplacé par le sénateur Domitius

Aesium
Sénateur Darus => rentré à Rome

Sabine
Sénateur Aelius Agricola => sur le retour

Campanie
Sénateur Lefevrius => rentré à Rome, prèt à y retourner
Sénateur Cupoilus => rentré à Rome et emprisonné dans le cadre de l'affaire de la Louve Noire

**********************

Annexe II : Rapport final envoyé consulaire LANEO chez les Boiens

Missionné chez les boiens, par les consuls en exercice en l’an 325, j’ai eu en charge de renégocier le traité de neutralité qui nous liait à eux. Cette renégociation fut une réussite dans le fait que la neutralité boienne envers le peuple boien fut renouvelée. Des accords commerciaux plus équitables, et donc favorables au peuple romains, furent également inscrit sur ce nouveau traité. Le principe d’une ambassade permanente fut acceptée par Caudérix, tout comme l’envoi d’une mission culturelle romaine à Bononia.

Cette mission ne fut pas des plus simples du fait des troubles internes sur le territoire romain. Caudérix ne fut pas des plus disposer envers Rome à cause de l’instabilité que Rome a connu.

Des missions annexes me furent confié par les consuls de Rome.

J’ai donc procédé à la négociation et à l’achat de 550 tonnes de blé pour 165 000 as qui furent livré en Aesium.

Par ailleurs, l’on m’a chargé de la collecte d’informations sur de possibles attaques et actes de pirateries illyriens, sur les cotes au nord de la province d’Aésium ; ainsi que de possible location de mercenaires en terres boiennes.

Mon enquête m’a permis de voir qu’aucune attaque illyrienne n’était à constater en territoire boien, ni aucune location mercenaires spécifiquement tourné contre Rome.

Toutefois, cette enquête m’a également permis de constater que le problème de piraterie illyrienne était également un problème boien qui pourrait être une possible coopération militaire entre nos deux peuples dans l’avenir. Toutefois, Caudérix s’est montré clair à ce sujet ; il n’y aura aucune coopération militaire tant que Rome n’aura pas les moyens en terme de stabilité civile, financières et de moyens militaires de le faire.
_________________
ANTONICUS Cornelius
La liberté est le droit de faire tout ce que les lois permettent.
Consulaire
Membre du Parti Legaliste


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