L'année 321 a été marqué par un retour à la normal et une approche constructive de l'avenir de rome.
Tout d'abord les élection ont été retardées par de nouvelles pressions exercées par la plèbe.
Politique intérieure
La crise interne semble avoir pris fin par l'adoption rapide et efficace de la nouvelle loi sur les tribuns. Il semble que cette réforme menée de main de maïtre par les trois membres de la commission et Entropius permette d'envisager un avenir plus serein dans les relations internes à rome.
L'attitude général de la plèbe semble à l'appaisement et cette situation doit être maintenue dans la durée.
Il n'en demeure pas moins que la situation budgetaire délicate m'a mené à limiter au maximum le nouvelles mesures coûteuse en accord avec la questure. il y a néanmoins de gros efforts à mener pour un retour à la sérénité. La politique menée en Etrurie permet d'envisager la suite de manière plus sereine.
La réforme de l'armée est en cours. Cependant le travail de recensement prend un temps important. Confiée au sénateur Aemilius cette réforme doit être soumise au sénat dès que possible. Elle devra répondre aux manquements constatées dans l'organisation de nos légions lors des derniers conflits.
un de mes grands regrets est le manque de moyen pour assurer une solidité plus forte à la flotte.
Les derniers évènements (assassinat d'olécranus, aggressions...) demande un effort d'investigation très important qui a été impulsé par le consul tullius. Cet effort doit être maintenu. Les conséquences restent floues mais doivent être éclaircies au plus vite...
politique extérieure
Le sens général de la politique extérieure a été de sortir Rome de son isolement et d'assurer un période de paix nécessaire à la reconstruction.
La somme convenue a été remise au cités grecques. un accord commercial est maintenant en cours. L'espoir est de normaliser nos relations jusqu'à nouvel ordre.
Mon choix a été de multiplier les représentants consulaires et les ambassadeurs pour mettre fin à notre isolement et impliquer un maximum de sénateur dans la politique étrangère de Rome.
Le travail de Kaeso semble aboutir à Carthage. La perspective d'un traité d'alliance devient parfaitement crédible
Les négociations avec la confédération samnite menée par sextus ont échouées.
La situation des boïens est incertaine suite aux événements récents. Il semble pourtant qu'à terme ce peuple puisse être considéré comme un ami de Rome.
On reste en attente des résultats pour la Grèce, les Ligures, l'Egypte...
L'espoir est de multiplier les accord d'amitié. C'est le prix de la sécurité de Rome
pour conclure je dois souligner l'excellente entente qui a marqué ma collaboration avec Tullius et je tiens à le remercier particulièrement.
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LABIENUS Titus
Une devise "droit en avant"
censeur 325, consul 321, 322, 323 , légat 320, prèteur 319, 318, 317, édile 316, questeur 315
Membre de Ordes et Prosperitas
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