Cette année a vue carthage souffler à nouveau le chaud et le froid. On nous envoie un ambassadeur qui malgrès ses déclarations a tout fait sauf négocier. A peine parti il est remplacé par le propre fils du sufféte carthaginois qui semble plus interéssé par le tourisme que par la diplomatie.
Il n'est resté que quelques jours, son père ayant rompus toute relation diplomatique avec nous suite à la disparition en mer du premier ambassadeur dont il nous rend responsable.
Si la communication ne s'améliore pas entre nos deux cités, l'un ou l'autre finira par perdre patience et la guerre sera inévitable je le crains.
Dans le sud l'intégration de Tarente dans notre clientéle se poursuit.
Dans le nord quelques tensions sont apparues avec les gaulois, mais je laisse mon collégue qui a géré l'affaire la développer.
En Campanie, les enquétes de l'édilité semblent avoir montrées des détournements de fonds et des escroqueries perpétrées par des membres de la noblesse locale. Devant une monté de la tension dans cette province et les appels du préfet, j'ai décidé de m'y rendre et de tirer les choses au clair dès le début de 313.
La fin de cette année à vue notre ville et certains de ses citoyens, dont moi le premier ( Roulement des yeux ), frappés par la colère de nos Dieux. Puissent les augures nous expliquer comment regagner leurs bonnes grâces.
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CORNELIUS NERO Livius
Questeur en 308, Edile en 309, Préteur en 310, Consul en 311, 312 et 313, Censeur de 315 à 320.
Cadavre de Tribun 321 en exercice.
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