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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Les 3 axes de la diplomatie romaine
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Les 3 axes de la diplomatie romaine
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POUSSINUS Actarus
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Posté le : Dim 14 Jan 2007    

/Le sénateur Poussinus Actarus Minor,réajuste sa toge,se lève et prend la parole/

Patres,

Comme l'a si bien dit dans un autre débat le préteur Varus,et comme je vois que personne ne lance ce débat,il est temps que le sénat se mette d'accord sur sa politique extérieur et sache si tenir pour les années cruciales a venir.

Avant de lancer ces discussions,j'aimerai que tous dans cette curie respectent ses deux deux points:

Le premier:je sais que le choix de ces axes ne pourront satisfaire tout le monde,mais il se doit d'en contenter le maximum.Alors essayons tous ensemble de ratisser large et de trouver les solutions les plus adéqates pour Rome.

Le second:je vous demande de vous respecter entre vous,et de respecter les avis de chacun,afin que ce débat se déroule dans les meilleurs conditions.

/se tournant vers le censeur Antonicus/

Je vous remercie d'avance et je demande au censeur d'etre vigilant sur les possibles débordements.

/se retournant vers ses pairs/

Maintenant passons au sujet qui nous interesse:Nos axes de diplomatie.

Petit rappel de ces3 axes de diplomatie:

1-La relation Rome/Carthage
2-Les relations avec les tribus gauloises du nord
3-Les relations avec les cités grecs.


Voici les grandes idées a retenir pour nos 3 axes:

I Rome/Carthage

Pour nos relations avec Carthage,il faut continuer la collaboration avec cette grande nation sans toute fois à se faire dominer ou du moins a se faire mal mener comme ca.
On doit travailler avec elle et cela en toute égalité sans qu'une ou l'autre ne domine l'autre.
On doit prendre des positions claires et strictes sur la levée du blocus a Massalia.Pour cela,le preteur Varus eu la merveilleuse idée de surtaxer les produits carthaginois afin que les marchands mettent la pression sur Hamilcar.Et la on sera en position de force pour négocier.
Je rappel qu'Hamilcar et les Barca ont besoin de Rome dans leur politique extérieure et intérieure.
Je rappel aussi qu'actuellement l'Iberie est en feu,et que les Barca sont soumis a une révolte de nombreuses tribus ibériques.Nous pourrions exploiter ces incidents...a approfondir.

II Rome/peuples gaulois

Rome va devoir consolider ses relations avec tout les peuples gauloises.Par ailleurs, connaissant la grande influence de Massalia avec ses peuples,Rome va devoir retrouver une entente cordiale avec elle si on veut avoir une réelle influence auprès de ses nations du nord.
Grace aux divers consuls de ses dernières années,Rome et le roi Cauderix ont de très bonnes relations et est en passe de se consolider par un possible traité.

III ROme et les cités grecs

La situation évolue chaque jour et d'après les dernieres rumeurs,les cités grecs seraient entrain de changer leur dirigeants,situation a exploiter rapidement.
Pour le roi Théon et l'Epire,Rome doit s'en rapprocher rapidement et de s'en faire le porte parole de Rome auprès des futur dirigeants grecs.La tournée du consul Atreus sera l'occasion de savoir ou on en est.
Il serai aussi a envisager,une fois la guerre finie dans le sud,des émissaires dans chaques cités grecs et voir lesquelles Rome aurait un interet a s'allier,ou du moins a trouver des accords.

Pour ses 3 axes nous devons replacer nos ambassadeurs,se tenir au courant des changements,des tensions possibles,des attentes de ses nations,toujours dans le respect mutuel,afin de ne pas etre dépassé et de pouvoir travailler dans les meilleurs conditions pour la grandeur de Rome.

Il y a de forte chance que j'ai oublier certains points dans nos 3 axes et je compte sur vous pour vous lever et d'apporter vos précisions.

/se rassoit et attend les divers remarques et précisions/

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DRISSUS Marcus
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Posté le : Dim 14 Jan 2007    

Je me permet de cité ce que j'ai dit dans une autre salle à ce sujet;

Je vois ces priorités pour la politique extérieur pour les années à venir vis à vis des principales nations qui nous intéressent.

Au Sud, nous ne pouvons qu’attendre patiemment la fin des hostilités.
En ce qui concerne Tarente, le pro-consul fait ce qui doit être fait. Tarente est assiégée. Et j’espère que ce qui reste de notre flotte effectue le blocus du bassin tarentais. Il est grand temps que nous débarrassent de ce dard empoisonné sur lequel a marché la botte italienne il y a plus de vingt ans. Vingt années durant lequel les Grecs Tarentais ont comploté, diffusé leur venin à travers notre chère patrie et permis à des envahisseurs étranger de reprendre pied en Italie. La situation est donc clair à ce sujet.

Pour ce qui est de Rhegium, nous devons tout d’abord nous assurer que les mercenaires ne nous gênent pas dans notre guerre. Ce serait regrettable, aussi il est bon de négocier un accord garantissant la neutralité des mercenaires dans ce conflit. J’aurais beaucoup aimé que l’on retrouve des membres de la classe dirigeante de Rhegium qui ont été renversé. Ils nous seraient d’une grande utilité pour plaider notre cause en grande grèce. Si nous leur promettons de les réinstaller au pouvoir lorsque nous serons en mesure dans le faire, je suis sûr qu’ils défendront notre cause auprès de nations grecques. Les réinstaller aux pouvoirs moyennant un traité d’alliance avantageux pour notre république. Et si je dis cela, c’est que je redoute que les mercenaires se lient aux royaumes grecs par des traités défensifs qui leur permettraient de revenir sur notre sol. Je suis sûr que si nous sondons la région, nous trouverons des anciens membres de la classe dirigeante de Rhegium.

Au centre, les Samnites ne doivent pas non plus être négligés. Si le problème des raids Samnites est récurent, nous devons développer en profondeurs nos relations avec eux. Une guerre serait inutile : le pays Samnites est pauvre et montagneux, il n’y aurait donc pas d’apport conséquent d’ager ni de butin. Je suis donc pour une intégration à long terme. Dès que nos finances nous le permettrons, soit dans quelques années, nous devrions bâtir des marchés proche de la frontière Samnite pour accroître nos échanges avec ce peuple. Ces échanges de marchandises, ou même culturel, pourront contribuer à diffuser notre civilisation à ce peuple farouche. Nous sommes en train d’en parler dans une autre salle. N’oublions pas que les Samnites sont de farouche combattant et que là aussi il ne serait pas bon qu’ils signent des traités défensifs avec des nations étrangères.

Heureusement, Carthage ne nous posera pas de problème pour ces actions là, notre traité le leur interdit. Il faudra veiller à ce qu’il soit appliqué.

A l’Est, nous devons tacher de garder de bonnes relations avec les grands royaumes grecs. Les anciens dirigeants de Rhegium nous seront utiles pour cela. Il faut à tout prix négocier des traités avec les puissances qui nous désapprouvent encore sans quoi les Grecs pourraient très bien intervenir de nouveau à Tarente pour aider leurs frères de sang. Et si nous voulons améliorer nos relations, peut être serait-il bon d’oublier pour un temps le projet de soutien secret du péloponèse, car si les puissances grecques venaient à découvrir que nous soutenons des révoltes sur leur sol, les conséquences seraient tout bonnement catastrophiques.

Au Nord, c’est sur les peuples gaulois que nous devrons miser pour l’avenir. Je sais que nous n’avons pas voulu de leur aide face à Tarente car cette guerre était pour nous une question d’honneur. En tout cas c’est que l’on ma demandé de faire savoir à Caudérix. Mais les peuples cisalpins font partie de l’Italie, et si l’Italie est notre principale zone d’influence d’après le fameux traité romano-punique, alors tachons de faire en sorte que cette Italie soit soudée derrière notre bannière. Nous devrions d’ailleurs créer une ligue défensive Italiote dont Rome est le centre, et organiser par la même occasion des rencontres à Rome entre les dirigeants des différents peuples d’Italie.

Pour ce qui est de la Gaule Cisalpine, nous devons nous appuyer sur nos excellentes relations avec Caudérix pour diffuser notre influence au sein de ces peuples en particulier ceux dont nous n’avons pas eu de nouvelles depuis longtemps comme les Anares. Je rappelle que contrairement aux transalpins, les Gaulois cisalpins ont une culture un peu plus proche de la notre par rapport aux barbares plus aux Nord. Le style de construction des demeures boienne fait vaguement penser aux constructions étrusques. Donc nous nous devons de nous rapprocher davantage de ces peuples. Un très bon moyen consisterait à leur offrir une aide militaire face aux raids germains. Malheureusement c’est hors de propos pour l’instant mais c’est certainement un des meilleurs moyens pour nous attirer leur sympathie. Les Gaulois se sont déjà organisés entre eux pour faire face aux différents raids germains sur la plaine de Pô. Le vaste réseau d’alliance est plus qu’utile, il est nécessaire… Et ce d’autant plus que les puniques commercent avec ces peuples, notamment avec les Vénètes (ce que j’ai appris durant mes années de présence à Bonnonia).

Massilia est un grand sujet de discorde entre nous, mais Caudérix nous a apporté des éléments nouveaux. Massilia apparemment se réarme et il est vraiment dommage que nous n’ayons aucune information de cette cité par nos propres moyens. La loi sur le Diplomarius sera à ce propos plus qu’utile pour avoir un contact permanent avec les nations étrangères. Massilia a longtemps été considéré comme beaucoup comme ingrate. Mais ce que l’on oublie le plus souvent est que la cité phocéenne n’a pas eu de nombreuses occasions de se racheter à nos yeux. A la fin de la guerre, elle était exsangue et ruinée. Aujourd’hui, de nombreuses années après le drame du Rhône, la situation est peut être en train de changer. Je pense que nous pouvons mettre nos bonnes relations avec Massilia à notre avantage, nous devons diffuser à travers Massilia notre influence sur les peuples gaulois transalpins. Et comme le préconise le sénateur Plinius, il serait très intelligent de former des réseaux d’alliance défensive et des accords de commerce avec les transalpins. Montrons leur que nous n’avons pas hésité à sacrifier 15 000 de nos fils pour défendre nos alliés phocéens alors qu’en revanche l’oppression carthaginoise sur l’Ibérie qui a déclenché cette révolte ne laisse rien présager de bon sur leurs intentions. Le commerce, et l’influence… se sont les clés de la réussite, et nous devrions nous pencher plus sérieusement sur cette question car pendant que nous discutons sagement entre nous, des ambassadeurs puniques tissent de nouvelles alliances en Gaule.

Au sud Ouest, CarthageTant que nous sommes en conflit avec Tarente et que les Grecs menaceront de reprendre pied en Italie, nous ne pourrons rien changer à la situation actuelle car nous ne pouvons pas nous permettre de nous mettre à dos les puniques en les provoquant ou en tentant des opérations hardies, notamment en Ibérie. Les puniques ont toujours, quoiqu’on en dise été fidèle à leurs engagements. Maintenant il est vrai que nous ne pouvons plus vraiment supporter certaines clauses de notre traité avec les puniques, en particulier le monopole des carthaginois sur le commerce. Celui-ci entrave gravement nos marchands. Le contexte actuel a changé. Les puniques doivent en prendre compte et comprendre notre désir de vouloir renégocier certain article… en tout cas dès que Rome pourra se permettre de le faire.

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VARUS Spurius
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A mon avis il y a des objectifs clairs a atteindre sur chacun des trois axes diplomatiques que j'ai défini.

Avec Massilia et les Gaulois, l'objectif premier doit être de constituer une aliance défensive incluant Rome, Massilia et des peuples Gaulois. Ce sera un moyen efficace de rappeller aux Puniques que la Gaule est plutôt dans notre zone d'influence que dans la leur.

Avec le monde Grec, l'objectif prioritaire devrait être de renforcer nos liens avec l'Epire en procèdant a un échange d'ambassadeurs. Au delà de cet objectif il faudra améliorer nos connaissances encore très lacunaires sur la situation politique dans les cités grecques et établir des contacts.

Avec Carthage, l'objectif doit être d'obtenir la levée du blocus de Massilia. Si les Puniques continuent a faire la sourde oreille a nos demandes réitérées en ce sens, il faudra se résoudre a excercer des pressions commerciales par le biais de taxes sur les marchandises puniques. Le traité romano-punique arrivant a échéance dans six ans il faudra envisager, si on souhaite poursuivre dans cette voie, la négociation d'un futur traité qui nous soit plus favorable. Et pour cela nous devrons être en situation plus forte pour négocier que ce soit politiquement, diplomatiquement ou militairement.

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PLINIUS VICTOR
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Sénateur Varus,

je souscrirais pratiquement complètement à ton intervention si ne pointait, toujours, lorsqu'il s'agit de Carthage, cet antagonisme qui est le tien. Pourquoi n'ajoutes-tu pas, la concernant, le maintien de relations cordiales et de confiance, ce qui n'exclut pas, loin de là, les autres objectifs qui pourraient être les nôtres envers elle ?

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ILLIUS Marcus
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/ Illius perplexe/


Mais peut-t-on couvrir ces trois axes à la fois ? Car pour pouvoir mener une politique extérieure ambitieuse , il nous faut des fonds et en ce moment nous en manquons à coup sûr !

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Sénateur romain
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Décinus Mairus
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1-La relation Rome/Carthage

Pour moi, il est évident que les prochaines tensions que connaitra Rome sera soit avec Carthage soit avec les Gaulois.

Je pencherais plutôt sur des tensions gauloises et c'est pour cela que je suis pour un rapprochement avec Carthage mais avec un point très clair : le nord et les gaulois sont à nous !

Carthage est implanté :
- en Ibérie où elle connait régulièrement des soulèvements.
- en Sicile, Corse et Sardaigne où elle n'aurait de cesse que de renforcer son emprise afin de garder une place forte proche de Rome en vue de possible tensions à venir car il y en aura !

Je suis partisan d'un partage clair et fixé dans le marbre de nos zones d'influences respectives où Rome possède tout le nord dont la Gaule et Massilia et où Carthage ne pourra se renforcer que sur le continent outre méditerranée.

Notre alliance avec Carthage est une alliance de circonstance, nous ne devons pas l'oublier et même si les circonstances de cette alliance peuvent se poursuivre encore de nombreuses années, il est évident qu'à un moment donné nous devrons nous battre contre elle.

Pour moi, c'est un fait inévitable qui doit nous pousser à la prudence et à une diplomatie forte dès à présent !


2-Les relations avec les tribus gauloises du nord

Les relations avec les gaulois ont été longues et difficiles à mettre en place. Néanmoins, elles n'ont servit à rien durant cette guerre et notamment du fait que Rome a refusé l'aide des Boiens.

Si Rome choisit de travailler en direction des gaulois mais pour n'en tirer aucun avantage, j'y vois moins d'intérêts !

Une fois, Tarente tombé, et si nous sommes intelligent, nous devrions connaitre un age d'or et nous devrons en profiter !

Massilia est un boulet que nous trainons depuis bien trop longtemps. Je suis pour une annexons de Massilia pur et simple. Elle nous permettra d'avoir une emprise dans le sud de la Gaule et également d'encercler les gaulois du nord.

Rome a peur depuis très longtemps de ces gaulois mais malgré ses démarches diplomatiques, Rome n'a pas récolté les fruits de ses efforts.
Pourquoi ?
Mais parce que Rome ne sait pas faire de diplomatie profitable !
Rome ne fait pas de diplomatie offesive !
Rome souffre d'un complexe diplomatique d'infériorité !

Nous avions par le passé un traité d'alliance avec les Boiens qui a été refusé par Rome ce qui avait fait grand bruit. Aujourd'hui, on parle encore d'un traité d'alliance.

Mais pendant combien de temps allons travailler à une alliance sans en tirer les bénéfices. Allons nous faire une nouvelle fois comme avec Massilia ?

Nous avons renouer avec les Boiens au début des années 320, 20 ans plus tard nous sommes toujours sans alliance et ils ne nous ont pas apporté grand choses !

Et je ne vous parlerais pas des autres peuples gaulois qui méprisent toujours Rome malgré nos efforts !

Je suis pour la fin de la diplomatie gauloise qui les caresse dans le sens du poils !
Je militerais pour une diplomatie forte qui imposera Rome comme un partenaire puissant sous l'ombre de laquelle il faudra être sous peine de gouter au glaive de la Louve !
La prise de Massilia en sera le premier exemple : soumission ou guerre !


3-Les relations avec les cités grecs.

Si les Dieux le veulent bien, nous aurons un éclatement de l'empire grec uni !

Si tel est le cas, nous devrons en profiter pour nouer des relations pacifiques et amicales avec les Etats grecs les plus proches de nous afin de créer un cordon sanitaire defensif.

Nous ne devons jamais oublier que la Perse est actuellement un ennemi de Rome. Un ennemi lointain mais qui sera ravi de voir une Grèce affaiblit sur laquelle il pourra jeter son dévolu afin de pénétrer plus profondément les terres méditerrannéennes du nord.

En conclusion, mon axe diplomatique est :

- un cordon sanitaire grec défensif contre l'intrusion perse
- un partage du monde avec Carthage avec une alliance défensive contre les Etats grecs et la Perse
- un diplomatie forte au sens autoritaire envers les gaulois car l'avenir de Rome se trouve sur les territoires qui se trouvent à sa frontière nord
- une annexion de Massilia afin de créer un avant poste en Gaule et pouvoir encercler les Etats gaulois
- je rajouterais : un rapport tout particuler avec l'Egypte qui pourrait devenir un atout dans une guerre contre la Perse ou Carthage !

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VARUS Spurius
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Posté le : Lun 15 Jan 2007    

Sénateur Plinius, si je ne parle pas du maintien de relations cordiales et de confiance avec Carthage, c'est d'une part parce que je voulais mettre l'accent sur les objectifs à obtenir (et non ceux a maintenir) et d'autre part parce que je n'ai nulle confiance en Carthage.

Ceci dit, je voudrais ajouter, en réponse a certaines interventions, dont celle du sénateur Decinus, que j'ai l'impression que beaucoup n'ont pas compris ici qu'au vu de l'état de nos finances, nous ne pourrons pas nous permettre de nouvelles aventures militaires avant cinq à dix ans.

Vouloir soumettre Massilia, Rheggium ou le Samnium par les armes ou s'engager dans des expéditions militaires en Grèce ou en Ibérie sont des objectifs totalement irréalistes car hors de nos moyens. Il serait déjà heureux de pouvoir conclure la guerre au sud par la prise de Tarente - ce qui est loin d'être certain. Ensuite il faudra au moins une demi-douzaine d'années de paix pour regarnir le trésor de Rome, rebâtir notre flotte décimée et consolider les territoires récemment acquis.

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Décinus Mairus
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Posté le : Lun 15 Jan 2007    

Prêteur Varus, j'aimerais te poser une seule question :
Combien de temps avons nous mis pour nous préparer convenablement à cette guerre au sud ?

Et oui, une guerre se prépare mais pour cela faut il déjà l'avoir envisager, l'avoir anticiper. Je préfère donc déjà partir dans l'optique d'une guerre au nord ou contre Carthage dans un avenir plus lointain, afin de construire les bases de la victoire.

Faire entrer l'idée d'une guerre au nord dès à présent dans notre politique extérieure, nous permettra pendant les années à venir de créer les conditions idéales tant sur le plan financier, que sur le plan militaire, diplomatique et même avoir préparer le peuple !

Par conséquent, je ne plaide pas pour une guerre au nord dès aujourd'hui mais bien pour intégrer aujourd'hui l'idée que notre prochaine destination militaire sera au délà de notre frontière nord !

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ILLIUS Marcus
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Posté le : Lun 15 Jan 2007    

/ Illius Marcus étonné /

Mais on est pas en guerre contre Tarente encore et déjà on évoque une autre guerre sans avoir un sou en poche .

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DETRITUS Tullius
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Citer : Décinus Mairus
Prêteur Varus, j'aimerais te poser une seule question :
Combien de temps avons nous mis pour nous préparer convenablement à cette guerre au sud ?

Et oui, une guerre se prépare mais pour cela faut il déjà l'avoir envisager, l'avoir anticiper. Je préfère donc déjà partir dans l'optique d'une guerre au nord ou contre Carthage dans un avenir plus lointain, afin de construire les bases de la victoire.

Faire entrer l'idée d'une guerre au nord dès à présent dans notre politique extérieure, nous permettra pendant les années à venir de créer les conditions idéales tant sur le plan financier, que sur le plan militaire, diplomatique et même avoir préparer le peuple !

Par conséquent, je ne plaide pas pour une guerre au nord dès aujourd'hui mais bien pour intégrer aujourd'hui l'idée que notre prochaine destination militaire sera au délà de notre frontière nord !



Mais nous ne faisons pas la guerre pour aligner des victoires, mais pour faire en sorte que Rome soit prospère et à l'abri de tous dangers ...

Et dans cette optique, le dernier endroit ou je verrais un danger potentiel, c'est bien notre frontière Nord ! Car si il faut bien reconnaitre une chose aux consuls précédents, c'est qu'ils ont su faire des Gaulois de solides amis ...

Pourquoi donc rompre cette amitié ? Pourquoi nous préparer à attaquer ces hommes ?

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SEVERUS Licius
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Certes, mais vu que la méditerranée a été offert aux Puniques, et le Nord reservé aux gaulois, nous allons bientôt nous sentir à l'étroit dans le bout d'Italie qui nous reste.

Mais cette-ci de toute façon après cette guerre, nous avons une mission: panser nos plaies et restaurer nos finances, ce qui passe par une paix solide et durable.

Puis tout projet serait farfelu tant que nous n'aurons pas reconstitué une flotte de guerre.

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Roma Est Imperare Orbi Universo.

Pas de liberté du peuple, sans souveraineté du peuple, c'est à dire sans république- Marc Bloch.

Pro- Préteur au Samnium en 365.
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VARUS Spurius
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Combien de temps avons nous mis pour nous préparer convenablement à cette guerre au sud ?

Sans doute pas assez vu qu'on n'était pas convenablement préparés au moment ou le conflit a été lancé.

Je ne crois pas que ce soit une bonne idée de prévoir déjà dix ans à l'anvance un futur conflit. Car nul ne peut savoir à quoi ressemblera le monde dans dix ans ni quelles seront les menaces ou les opportunités qui se présenteront à ce moment.

Ce que nous devons faire c'est d'éviter de nous engager dans des conflits ces prochaines années pour nous laisser le temps de rebâtir notre puissance qui est reconnaissons le, passablement affaiblie financièrement et militairement par le conflit au Sud.

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COLDEEUS VALENS Lucius
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Posté le : Lun 15 Jan 2007    

Et avant de regarder du côté des Carthaginois ou des Gaulois, il ne faut pas oublier la Confédération Samnite qui coupe en deux le territoire ou encore Rhegium, aux mains de mercenaires ...

Et j'espère que notre politique future ira dans le sens d'une paix durable, en renforçant nos liens avec les Gaulois au Nord, et avec l'Epire à l'est ...

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Emilius MALTUS MAGNUM
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... Et avec Carthage au Sud.

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Sur ma ch'mise, y'a pas d'taches de gras,
Y'a des fleurs, mais elles n'se voient pas.

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POUSSINUS Actarus
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Posté le : Lun 15 Jan 2007    

Moi je trouve les idées de l'édile Decinus sont très proches des miennes et donc que j'apprecie beaucoup.

L'orientation d'une futur politique expensive de Rome vers le Nord semble a envisager tot ou tard...

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Sénateur Patricien
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