| Nouvelles de Carthage |
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Emilius MALTUS MAGNUM
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Inscrit le : Dim 27 Aoû 2006
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 Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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(note : le message ci dessus ne se refere qu'au premier long message d'Aelius Probus)
Rien ne nous en empeche, de mon point de vue, sénateur Drissus. Rien, si ce n'est les préjugés et les mauvaises interprétations qu'on voit tout les jours de sénateurs de mauvaise volonté, de sénateurs va t'en guerre.
Sénateur Probus, de quels voisins des puniques parles tu ? Certainement pas des hispaniques qui sont inclus a leurs terres. Les Lybiens ? J'avoue ne pas connaitre la région, mais je doute qu'il y ait la bas une puissance souveraine détachée de Carthage. Ce n'est de toute facon pas notre affaire. Tous les autres territoires dans lesquels tu vois une lutte d'influence sont déja puniques.
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Sur ma ch'mise, y'a pas d'taches de gras,
Y'a des fleurs, mais elles n'se voient pas.
"On peut violer les lois sans qu'elles crient." (Talleyrand) |
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VARUS Spurius
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Inscrit le : Mer 15 Mai 2024
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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Les Puniques sont des marchands alors parlons leur un langage qu'ils comprendront.
Nos marchands sont pénalisés par le maintien du blocus de Massilia, car le commerce en provenance de gaule ne peut plus se faire avec Rome que par route ce qui rencherit considérablement le coût de transport.
Et bien, puisque cette situation est l'oeuvre des Puniques. Faisons leur payer en instaurant de lourdes taxes sur les produits Carthaginois. Taxes qui ne seront levées que lorsque le blocus de Massilia sera levé.
Les marchands puniques ne tarderont pas à aller se plaindre au suffète et à faire pression auprès de lui pour qu'il lève le blocus afin que Rome lève les taxes. Et comme il ne veut pas se mettre à dos les marchands car sa profiterait à son rival Magon, il finira peut être par lever le blocus.
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AELIUS PROBUS Marcus
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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Hoche la tête à l'intervention de Drissus.
Effectivement, il apparaît évident que Rome n'a pas signé ce traité en position de force. Je ne prône pas la guerre, et le sénateur Faustus non plus, n'en déplaise au sénateur Maltus. Je ne demande même pas la signature d'un nouveau traité, car j'ai bien conscience de la position difficile dans laquelle se trouve Rome, en guerre et les caisses vides, mais je veux juste attirer l'attention du Sénat sur le déséquilibre dangereux qu'il y a actuellement entre Rome et Carthage, et celà, tu l'as bien compris, sénateur Drissus.
Je n'accepte simplement pas que des sénateurs se voilent ainsi la face et mentent en affirmant à cette noble assemblée que Carthage n'est rien de plus que notre égale. Je suis révolté, comme toi, sénateur Drissus, par cette clause honteuse qui nous interdit de parcourir librement la mer intérieure, en débit de l'approbation enthousiaste du sénateur Maltus.
Je crois en effet qu'il est nécessaire de temporiser au maximum avec Carthage. Ne les provoquons pas en essayant de signer un nouveau traité alors que notre situation financière est si catastrophique. Non, nous devons simplement empêcher toute nouvelle avancée de Carthage dans notre zone d'influence. Une politique de fermeté doit-être menée vis à vis de la cité phénicienne, et cette politique commence par la levée du blocus de Massilia et la réaffirmation de nos amitiés au nord. Il est crucial d'assurer nos alliances gauloises avant que Carthage n'y installe des ambassadeurs.
Probus marque une pause puis observe les sénateurs présents au fond des yeux.
Je crois même que nous devrons réarmer Massilia... Laisse planer sa phrase. Lorsque notre budget sera meilleur, évidemment et en le cachant aux yeux de Carthage... La cité phocéenne doit être capable de tenir elle-même ses frontières. Il est temps de rétablir une confiance entre Rome et Massilia, sans clause assimilée à une annexion, bien sûr, comme cette histoire de port romain ou autre. Notre atout, c'est le Nord, préservons le.
Approuve vigoureusement l'intervention du sénateur Varus.
L'argent est effectivement l'un des meilleurs moyens pour faire pression sur les puniques. De plus, celà pourrait faire entrer un peu plus d'or dans les caisses de l'Etat.
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Sénateur depuis 342.
Historien de la République en 343.
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Emilius MALTUS MAGNUM
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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Je pense qu'avant de se lancer dans une situation d'affrontement, fut il simplement diplomatique, il faut essayer de résoudre le probleme de maniere pacifique, d'un commun accord. Alors, si Carthage refuse une résolution pacifique, nous pourrons lui répondre en fermant simplement nos ports a leur commerce. Mais en gardant a l'esprit qu'ils feront de meme en Sicile. Il faudra le faire uniquement si nous sommes surs du résultat.
Je suis également favorable au réarmement de Massalia, des que cette crise sera passée. Notre traité stipule que dans certains cas Rome peut faire appel a la flotte massaliote, alors qu'ils en ai au moins une a mettre a notre disposition.
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Sur ma ch'mise, y'a pas d'taches de gras,
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AELIUS PROBUS Marcus
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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Probus fais une signe le tête au sénateur Maltus, visiblement satisfait de voir que la situation évolue...
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Sénateur depuis 342.
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GREGUS MATRUS Romulus
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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A propos du réarmement de Massalia, je croit que cette dernière ne nous a pas attendu pour réarmer, c'est du moins ce que prétend le roi Cauderix , et si on peut ajouter un élément , les chantiers navals de massalia sont parmi les meilleurs de toute la méditeranée , ce qui au vu de notre flotte et de son état calamiteux peut etre une piste pour nous reconstruire , enfin lorsque nos fiances iront mieux bien sur...
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Ancien Flamine de MARS ,Ancien ambassadeur à Massalia, Ancien questeur 341 344,348 Edile 345 .
Si tu va pas a la republique la republique ira a toi. |
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PLINIUS VICTOR
Autorisation : Membre
Nb de messages : 857
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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Patres,
je vois que l'on fustige Carthage parce qu'elle tente de s'assurer des soutiens en Gaule.
je constate que l'on fulmine contre son blocus de Massilia, quand celui-ci, quoique nous mettant dans une profonde gêne, n'est pas en contradiction avec le traité signé avec les puniques.
Je vois moi, dans le traité signé avec Carthage, que toute liberté nous est laissée d'étendre en Gaule transalpine notre propre zone d'influence.
Plutôt que de regarder faire Carthage, pourquoi ne pas prendre l'initiative, profiter de l'affaiblissemnt punique en Ibérie pour proposer à tous les peuples gaulois du pourtour méditerranéen une alliance défensive contre tout ennemi non gaulois, quel qu'il fût. Voilà un moyen de montrer à Carthage que nous tenons à marquer notre zone d'influence et que ses limites sont les Pyrénées.
Ainsi, tout en rendant à Carthage la pareille dans notre propre lecture du traité, nous lui indiquons notre irritation à voir se poursuivre le blocus de Massilia.
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18 V/ 6 D
Flamine de Mars 344-345-346
Carmanovius à la Roche !
Alias Dreyfus |
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L.Faustus Flamininus
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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C'est ce que je proposais il y'a peu , avant que l'on en me bondisse dessus , profitons de cette révolte pour nouer des contacts et des alliances avec les tribus et royaumes de la Narbonnaise , ainsi dans un prochain traité , s'il y'en a un , nous pourrons prétendre avoir des droits de commerce et un "monopole " avec la côte gauloise .
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Epoux de Luna Pirus
Ambassadeur en Grèce 338-340
Premier Légat du Sud 345-346...
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Epargner ceux qui se soumettent et dompter les superbes. |
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PLINIUS VICTOR
Autorisation : Membre
Nb de messages : 857
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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Avec un sourire
Je ne crois pas que ce soit moi qui t'ai bondi dessus, sénateur Flamininus.
J'ai beau être punicophile et partisan d'une bonne entente avec Carthage, je pense qu'il faut quand même s'affirmer aussi comme une puissance régionale. Cependant, je ne parle pas du postulat, qui semble être le tien ou celui d'hommes comme le sénateur Varus, que Carthage méprise Rome et souhaite la conquérir. Carthage a besoin d'une Rome forte, ses ennemis, comme les nôtres sont les Grecs. Nous sommes en quelque sorte son bouclier contre les Grecs, raison pour laquelle elle nous soutient activement contre eux.
Lorsque Rome aura étendu son influence sur le sud de la Gaule, l'équilibre entre nos deux nations sera atteint.
Nous pourrions aussi proposer notre aide aux carthaginois en Ibérie en échange de la levée du blocus de Massalia et de la reconnaissance de notre zone d'influence en Gaule. Ce pourrait être une option.
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18 V/ 6 D
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AELIUS PROBUS Marcus
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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Aquiesce aux deux interventions...
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Sénateur depuis 342.
Historien de la République en 343.
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L.Faustus Flamininus
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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Ton idée est bonne sénateur Plinius , ce serait un échange convenable , mais sommes nous prêt à nous engager en Ibérie , avec des soldats romains , alors que la guerre au sud n'est pas terminée ?
C'est aux questeurs et aux consuls de nous éclairer sur ce point .
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AELIUS PROBUS Marcus
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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Attendons de voir comment Carthage va gérer les révoltes Ibères. Interrogeons-nous également sur la réaction de Massilia et des autres Cités Gauloises si nous aidons les puniques à mater ces insurrections : celà pourrait les énerver de voir que nous aidons Carthage à se rapprocher de leurs frontières.
De toutes façons, le trésor est trop bas pour mener correctement la guerre à Tarente. Alors l'Ibérie...
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DRISSUS Marcus
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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Je vois ces priorités pour la politique extérieur pour les années à venir vis à vis des principales nations qui nous intéressent.
Au Sud, nous ne pouvons qu’attendre patiemment la fin des hostilités.
En ce qui concerne Tarente, le pro-consul fait ce qui doit être fait. Tarente est assiégée. Et j’espère que ce qui reste de notre flotte effectue le blocus du bassin tarentais. Il est grand temps que nous débarrassent de ce dard empoisonné sur lequel a marché la botte italienne il y a plus de vingt ans. Vingt années durant lequel les Grecs Tarentais ont comploté, diffusé leur venin à travers notre chère patrie et permis à des envahisseurs étranger de reprendre pied en Italie. La situation est donc clair à ce sujet.
Pour ce qui est de Rhegium, nous devons tout d’abord nous assurer que les mercenaires ne nous gênent pas dans notre guerre. Ce serait regrettable, aussi il est bon de négocier un accord garantissant la neutralité des mercenaires dans ce conflit. J’aurais beaucoup aimé que l’on retrouve des membres de la classe dirigeante de Rhegium qui ont été renversé. Ils nous seraient d’une grande utilité pour plaider notre cause en grande grèce. Si nous leur promettons de les réinstaller au pouvoir lorsque nous serons en mesure dans le faire, je suis sûr qu’ils défendront notre cause auprès de nations grecques. Les réinstaller aux pouvoirs moyennant un traité d’alliance avantageux pour notre république. Et si je dis cela, c’est que je redoute que les mercenaires se lient aux royaumes grecs par des traités défensifs qui leur permettraient de revenir sur notre sol. Je suis sûr que si nous sondons la région, nous trouverons des anciens membres de la classe dirigeante de Rhegium.
Au centre, les Samnites ne doivent pas non plus être négligés. Si le problème des raids Samnites est récurent, nous devons développer en profondeurs nos relations avec eux. Une guerre serait inutile : le pays Samnites est pauvre et montagneux, il n’y aurait donc pas d’apport conséquent d’ager ni de butin. Je suis donc pour une intégration à long terme. Dès que nos finances nous le permettrons, soit dans quelques années, nous devrions bâtir des marchés proche de la frontière Samnite pour accroître nos échanges avec ce peuple. Ces échanges de marchandises, ou même culturel, pourront contribuer à diffuser notre civilisation à ce peuple farouche. Nous sommes en train d’en parler dans une autre salle. N’oublions pas que les Samnites sont de farouche combattant et que là aussi il ne serait pas bon qu’ils signent des traités défensifs avec des nations étrangères.
Heureusement, Carthage ne nous posera pas de problème pour ces actions là, notre traité le leur interdit. Il faudra veiller à ce qu’il soit appliqué.
A l’Est, nous devons tacher de garder de bonnes relations avec les grands royaumes grecs. Les anciens dirigeants de Rhegium nous seront utiles pour cela. Il faut à tout prix négocier des traités avec les puissances qui nous désapprouvent encore sans quoi les Grecs pourraient très bien intervenir de nouveau à Tarente pour aider leurs frères de sang. Et si nous voulons améliorer nos relations, peut être serait-il bon d’oublier pour un temps le projet de soutien secret du péloponèse, car si les puissances grecques venaient à découvrir que nous soutenons des révoltes sur leur sol, les conséquences seraient tout bonnement catastrophiques.
Au Nord, c’est sur les peuples gaulois que nous devrons miser pour l’avenir. Je sais que nous n’avons pas voulu de leur aide face à Tarente car cette guerre était pour nous une question d’honneur. En tout cas c’est que l’on ma demandé de faire savoir à Caudérix. Mais les peuples cisalpins font partie de l’Italie, et si l’Italie est notre principale zone d’influence d’après le fameux traité romano-punique, alors tachons de faire en sorte que cette Italie soit soudée derrière notre bannière. Nous devrions d’ailleurs créer une ligue défensive Italiote dont Rome est le centre, et organiser par la même occasion des rencontres à Rome entre les dirigeants des différents peuples d’Italie.
Pour ce qui est de la Gaule Cisalpine, nous devons nous appuyer sur nos excellentes relations avec Caudérix pour diffuser notre influence au sein de ces peuples en particulier ceux dont nous n’avons pas eu de nouvelles depuis longtemps comme les Anares. Je rappelle que contrairement aux transalpins, les Gaulois cisalpins ont une culture un peu plus proche de la notre par rapport aux barbares plus aux Nord. Le style de construction des demeures boienne fait vaguement penser aux constructions étrusques. Donc nous nous devons de nous rapprocher davantage de ces peuples. Un très bon moyen consisterait à leur offrir une aide militaire face aux raids germains. Malheureusement c’est hors de propos pour l’instant mais c’est certainement un des meilleurs moyens pour nous attirer leur sympathie. Les Gaulois se sont déjà organisés entre eux pour faire face aux différents raids germains sur la plaine de Pô. Le vaste réseau d’alliance est plus qu’utile, il est nécessaire… Et ce d’autant plus que les puniques commercent avec ces peuples, notamment avec les Vénètes (ce que j’ai appris durant mes années de présence à Bonnonia).
Massilia est un grand sujet de discorde entre nous, mais Caudérix nous a apporté des éléments nouveaux. Massilia apparemment se réarme et il est vraiment dommage que nous n’ayons aucune information de cette cité par nos propres moyens. La loi sur le Diplomarius sera à ce propos plus qu’utile pour avoir un contact permanent avec les nations étrangères. Massilia a longtemps été considéré comme beaucoup comme ingrate. Mais ce que l’on oublie le plus souvent est que la cité phocéenne n’a pas eu de nombreuses occasions de se racheter à nos yeux. A la fin de la guerre, elle était exsangue et ruinée. Aujourd’hui, de nombreuses années après le drame du Rhône, la situation est peut être en train de changer. Je pense que nous pouvons mettre nos bonnes relations avec Massilia à notre avantage, nous devons diffuser à travers Massilia notre influence sur les peuples gaulois transalpins. Et comme le préconise le sénateur Plinius, il serait très intelligent de former des réseaux d’alliance défensive et des accords de commerce avec les transalpins. Montrons leur que nous n’avons pas hésité à sacrifier 15 000 de nos fils pour défendre nos alliés phocéens alors qu’en revanche l’oppression carthaginoise sur l’Ibérie qui a déclenché cette révolte ne laisse rien présager de bon sur leurs intentions. Le commerce, et l’influence… se sont les clés de la réussite, et nous devrions nous pencher plus sérieusement sur cette question car pendant que nous discutons sagement entre nous, des ambassadeurs puniques tissent de nouvelles alliances en Gaule.
Au sud Ouest, Carthage… Tant que nous sommes en conflit avec Tarente et que les Grecs menaceront de reprendre pied en Italie, nous ne pourrons rien changer à la situation actuelle car nous ne pouvons pas nous permettre de nous mettre à dos les puniques en les provoquant ou en tentant des opérations hardies, notamment en Ibérie. Les puniques ont toujours, quoiqu’on en dise été fidèle à leurs engagements. Maintenant il est vrai que nous ne pouvons plus vraiment supporter certaines clauses de notre traité avec les puniques, en particulier le monopole des carthaginois sur le commerce. Celui-ci entrave gravement nos marchands. Le contexte actuel a changé. Les puniques doivent en prendre compte et comprendre notre désir de vouloir renégocier certain article… en tout cas dès que Rome pourra se permettre de le faire.
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Historien de la république 337
Auteur de nombreux articles du codex
Ambassadeur de Rome à Bonnonia 338-339-340
Ambassadeur de Rome au Samnium 340-341-342-345-346
Questeur 344
Edile 354
Préteur 357 |
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SEVERUS Licius
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Inscrit le : Mar 29 Aoû 2006
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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| Citer | | Nous pourrions aussi proposer notre aide aux carthaginois en Ibérie en échange de la levée du blocus de Massalia et de la reconnaissance de notre zone d'influence en Gaule. Ce pourrait être une option |
Après notre flotte, nos aigles, décidement, nous sommes les mercenaires les plus gracieux que compte Carthage, dont j'attends toujours un geste après nos pertes de Syracuse.
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Roma Est Imperare Orbi Universo.
Pas de liberté du peuple, sans souveraineté du peuple, c'est à dire sans république- Marc Bloch.
Pro- Préteur au Samnium en 365.
Primatus Legatus en 364.
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Edile- 347, 357, 358, 359.
Questeur- 343, 344 et 362.
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GAIUS Lucius
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Posté le : Jeu 11 Jan 2007 |
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Si j'avais bien suivi l'exposé du Navarque Plinius, nos pertes à Syracuse étaient extrêmement minimes.
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Sénateur depuis 330
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Edile 342
Préteur 343
Général vainqueur des troupes crotoniennes en 340
Qui pisse contre le vent se lave les dents. |
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