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Le Sénat de ROME jpem - Sujet : Procès Campanae
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Procès Campanae
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VANSTENUS Julius
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Inscrit le : Dim 04 Nov 2007
Posté le : Lun 19 Juil 2010    

Vanstenus souffle à l'oreille du préteur :
Sa plaidoirie, préteur,... pas son réquisitoire... lapsus linguae


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J. Vanstenus Sanctus
Quaestor 354 - Legatus in Etruriam 356 - Aedilis 357, 358, 359, 371, 372 - Praetor 360, 361
- Rector provinciarum Apuliae, Bruttii et Calabriae 362, 363, 364 - Legatus in Samnium 364 (surnommé Sanctus, le Vertueux par ses troupes au Samnium) -
Consul 366, 367, 368, 379, 384, 385 - Flamen Junonis 369-374 - Legatus in Spoletium atque Saturniam 370.
Censor 373, 374, 375, 376, 377, 378, 389, 390, 391 et 392 - Proconsul in Histriam 386.
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BUSTOS Dominicus
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Posté le : Lun 19 Juil 2010    

Montrant un signe de fatigue, Bustos répond au Consul

Ah tu sais les procès en une journée quelle plaie pour la sémantique

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Respublica Defensor

Historien 360
Questeur 361
Edile 364
Légat lors du siège de 364
Préteur 365, 367, 368
Légat de la Légion Pluton I, en Boviamum 365,366
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BARREZUS Patronus Collegius
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Posté le : Mar 20 Juil 2010    

Collegius soutient le regard de l’accusateur, il le regarde d’un air grave, et attend que le préteur lui donne la parole. Il se lève alors et prend le temps de regarder l’assistance.

Que jugeons-nous aujourd’hui ? Un homme, un crime, un peuple, une trahison…

C’est ce qu’il me semble à entendre l’accusateur Darus.

Pour ma part, mon expérience d’enquêteur m’amène à dire que nous jugeons un fait grave : l’agression d’un magistrat par un représentant d’un peuple soumis à Rome, d’un peuple vassal.

Et nous allons condamner un homme, le coupable, l’homme qui a commis cette faute.

Mas il faut que cette condamnation soit juste, mesurée, à la hauteur de la faute, conforme à la loi.

Tout ce que vous avez entendu durant ce procès sonne juste, mais chaque mot correspond à point de vue… Nous avons eu le point de vue du samnite Campanae, le point de vue du Consul Vanstenus et le point de vue de l’accusation … Et maintenant il va falloir que les juges choisissent quel point de vue adopter.

Tout est affaire de sens donné aux mots et d’interprétation.

Je pourrai brandir un bâton de devin et vous dire que la mort de Campanae serait le point de départ d’un enchainement d’évènements malheureux qui amènerait une nouvelle guerre au Samnium. Mais je ne le ferai pas.

Je pourrais vous représenter l’homme que nous jugeons, mais je ne le ferai que pour vous dire que je ne le juge pas comme un romain mais comme un soldat, c’est là toute la différence avec l’accusateur Darus qui nous dit qu’il se serait donné la mort plutôt que de voir Rome soumise, un soldat, qu’il soit grec, samnite ou romain, n’est pas seulement prêt à mourir pour son peuple, il est prêt à tout pour peu qu’il agisse avec honneur et droiture, un soldat ne choisira pas l’escapade facile de la mort pour éviter de se soumettre, il trouvera un moyen de servir à la fois son peuple et d’accepter l’envahisseur.

Je pourrais contester l’interprétation de la loi de l’accusateur Darus, mais je ne le ferais pas car cet homme a raison.

Seulement, je lui contesterai le sens donné au mot vassal. Un vassal est bel et bien un étranger. Les peuples du sud sont nos vassaux, mais si un de ces habitants ne reçoit pas les honneur de la citoyenneté romaine alors nous le considérons comme un étranger. Campanae est certes notre vassal, mais il est surtout un étranger puisqu’il n’est pas citoyen romain. En ce sens, il nous faut lui appliquer la loi d’application des peines tel que je l’ai dit auparavant.

Quant aux peines infamantes, je réfute en bloc qu’elles puissent être applicable dans ce contexte :


Citer
Toute condamnation de quelque forme et gravité que ce soit est automatiquement accompagnée d’une peine infâmante pour les crimes définis dans le présent article, tels que définis par la loi Cornelius Scipio de 310 et toute autre loi en vigueur sur ces crimes : Sacrilège contre les Dieux, Trahison de la patrie, Sédition contre les autorités, Constitution ou appartenance à une association ou un groupement d’individus visant à attenter aux les institutions, attentat contre les institutions, atteinte à la majesté de l’Etat et meurtre de magistrat.



Campanae n’a pas tué de magistrat, il l’a blessé, et n’avait aucune intention de le tuer… je ne m’appuie pas sur ces propos mais sur ceux des hommes qui surveillaient la tente du gouverneur : si Campanae avait voulu tuer le prétorien Severus, celui-ci n’aurait pas pu porter plainte et ne serait pas là aujourd’hui.

L’accusateur demande l’application de la loi, je la demande aussi, mais aujourd’hui l’affaire que nous jugeons dépasse les simples faits, et met Rome en face de ses contradictions.

Nous souhaitons imposer notre loi au Samnium, alors allons nous montrer à son peuple que nous ne connaissons que la loi du Talion, la loi du fer… ou allons nous leur montrer la vertu romaine qui est l’application stricto-sensu de la loi.

Si Campanae est condamné à mort aujourd’hui, nous nous parjurons et ne montrons en aucun cas le grand exemple romain.


Si la loi est appliqué stricto-sensu, sans chercher vengeance ou humiliation, la justice de Rome en sortira grandit. Si Campanae ne trouve pas la mort, alors notre justice montrera qu'elle s'applique en fonction des faits, selon des critères s'appliquant à tous, universels. Ce n'est pas parce que Campanae est un samnite, qu'il a combattu contre Rome et qu'il faut montrer l'exemple, qu'il doit être éliminé.

Mais nous pourrions aller plus loin dans ce raisonnement : s’il est exilé, nous n'en ferons pas un martyr, et les ennemis de Rome ne pourront pas prétexter de sa mort pour médire de nous. Par ailleurs, une forte amende fera en sorte que la punition soit collective : payer entre 300 000 et 900 000 as, ce n'est pas rien, et cela demandera certainement une collecte de la part des samnites, une amende comme une forme de rançon, le prix à payer pour avoir défier Rome.

Juges, patres, citoyens de Rome, appliquez la loi pour cet homme droit comme soldat, fidèle à sa parole, soyez justes et équitables, soyez légalistes et grands.

Il s’arrête laissant le temps à ses auditeurs de peser chacun de ces mots.

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Inexpérimenté jusqu'en 350.
Administrateur des travaux dans le sud 350- 352, 355.
Secrétaire de la coopérative de Cérès 353-359.
Quaestor 356, 357, 358 ; surnommé le financier, puis le Questeur.
Aedilis 360, 361, 362.
Légat en Samnium 364, surnommé Patronus.
Préteur 366, 367, surnommé la Mule.
Gouverneur du Samnium 368, 369, 371.
Consul 374, 375, 376.
Retraité 377-380.
Pontife 381-
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BUSTOS Dominicus
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Bustos finit de prendre des notes sur une de ses tablettes puis lorsque le discours cesse, il se masse les tempes quelques instants avant de dire

Bien, j'ai entendu chacune des parties et il est temps de rendre un jugement. Cependant, je ne puis le faire de manière aussi rapide que je le souhaiterais. Cette affaire est d'une grande complexité et il serait bien aisé de trancher, mais les intérêts de notre République sont ce qu'ils sont et je me dois de vous fournir un jugement explicable et argumenté.

Je quitte donc la salle pour au maximum une demi heure. Je vous invite soit à attendre soit à revenir pour suivre le verdict que j'énoncerai.

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BUSTOS Dominicus
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Posté le : Mer 21 Juil 2010    

Bustos revient dans la salle, posant une cruche d'eau sur la table qui lui a servi. Il demande le silence dans la salle avant de pouvoir commencer, tout en se servant un verre. Avec un linge fin, il s'éponge le front qui perlait de quelques gouttes de sueur. Le visage est marqué par la concentration, et les gestes sont peu nombreux : au départ il pointe surtout du doigt. Ensuite ses gestes se font plus expressifs tandis que le discours se poursuit.

Patres, citoyens de Rome, et toi Campanae, chef Samnite...

Ce procès a du être tenu en une journée et est totalement exceptionnel. Je m'adresse à toi Campanae, en tant que chef Samnite et donc, en dehors du droit Romain. Je pense qu'il faut que tu soies conscient de la chance que tu as eu de pouvoir avoir ce procès. Je reviendrai évidemment sur les raisons qui me poussent à te le dire.

Mon discours sera sans doute long, et je tiens à prévenir tous les assistants de ma pleine implication dans cette affaire. J'ai tenu à écouter chacun d'entre vous à travers vos témoignages et vos impressions. J'assume maintenant, de par mes fonctions de Préteur, la décision que j'ai pris.

Premièrement et ceci avant toute chose, je tiens à m'adresser au Gouverneur Severus. J'ai connu les campagnes militaires et je sais que tu es un homme de courage, d'action, et un Républicain convaincu. Tu as accepté une mission qui était compliquée sur des terres où l'ostracisme avait été appelé sur la population par leurs propres chefs qui ne surent chercher la paix avec Rome en leur temps. Tu as été marqué dans ta propre chair par ta mission et pour cela tu mérites que l'on prenne en compte tes qualités. Quand bien même je ne suis pas d'accord avec toi sur la manière dont tu as usé de tes prérogatives de Gouverneur, je t'appuie car tu servais à ta manière notre République sacrée et ce du mieux que tu as pu. Je compatis à ta douleur et je l'ai prise en compte dans ce même jugement. Sois béni des Dieux pour tes actions, toi qui est un Romain comme je le suis et que je considère, en ayant été soldat aussi, comme un frère d'armes fiable.

D'ailleurs bien que cela ne soit pas exactement mon rôle, j'aimerais faire une remarque au Consul et au Défenseur, le Préteur Barrezus. Certes, vous défendez la cause d'un homme que vous considérez comme honorable. Certes, vous m'avez donné les raisons qui font de Campanae un soldat à vos yeux, que vous semblez considérer avec le même honneur qu'un soldat Romain. Cependant, je ne laisserai pas ce procès finir sans vous indiquer qu'à mes yeux, aussi honorable ait été sa conduite en tant que Samnite, les actions de notre frère d'armes qu'est le Sénateur Severus doivent être soutenues en priorité. Le Gouverneur Severus était parti sous l'égide des Consuls et en fonction de l'autorité du Sénat. Même si ses actions peuvent être discutables, elles ne sauraient être remises en cause par des Samnites qui n'ont pas voix au chapitre concernant la loi de Rome et la gestion de ce qui est désormais, suite à sa conquête, un territoire romain.

Alors Campanae, je m'adresse à toi désormais. Tu as blessé un de mes frères d'armes. J'aurais été dans cette tente avec lui, sachant que nous sommes tous les deux au final des soldats, nous nous serions affrontés et le glaive aurait décidé de ton sort. Nous serions encore en campagne, ton corps serait déjà depuis plusieurs heures accroché à un arbre ou à une croix, après avoir été flagellé. Cependant Rome t'a accordé ce qu'elle n'accorde pas même à nombre de ses citoyens. A un plébéien qui aurait tâché de tuer un magistrat, on n'aurait pas accordé un défenseur et un accusateur, on n'aurait pas mobilisé une salle de la Curie et pourtant cet homme aurait été bien plus en droit que toi d'obtenir une telle procédure. Je tiens à ce que tu le saches, ce procès nous dépasse tous ici.

A ceux qui me contrediront, à ceux qui me jugeront d'avoir ouvert un tel procès, je réponds que ce procès n'est que la preuve indiscutable de la supériorité de notre droit. La Justice Romaine, basée sur ses lois sacrées votées par le Sénat les Comices et ensuite approuvées par les Dieux eux mêmes, se devait d'être en action pour montrer sa suprématie.

Pourquoi une telle affirmation en fin de procès? Et bien Campanae et tous qui tâchez de m'écouter, je vais vous répondre. Je tiens à ce que l'on se rende compte que ce procès dépasse le cas présent. Alors que les Samnites ont préféré sacrifier des otages à leurs divinités, qu'une femme a été retrouvée éventrée, que sa Gens perdit encore son Pater Familias livré à la bataille, que nous avons perdu nos frères d'armes, nous ne nous sommes pas contentés de rendre la Justice avec le Glaive. Et ce face à un homme qui n'était plus un soldat.

Non Campanae je ne te verrai pas comme un Soldat quoi qu'en disent le Consul Vanstenus et ton défenseur. Non je ne trouverai pas honorable de ta part que tu veuilles défendre ta famille après coup. Non je ne cautionnerai pas ton geste.

Laisse moi faire un contraste avec un autre homme d'armes. Le général Averroes, sans doute échauffé par votre rebellion, attaqua notre cité. En soldat il tomba sur notre champ de Mars la tête coupée par un glaive tenu par mes mains. Il nous avait fait face et il en est mort.

Ton action n'était pas de celles là. Tu attendis une occasion de blesser la République en blessant son représentant. Tu as essayé d'affaiblir Rome, non pas à l'aide de ton bras, mais par une ruse destinée sans doute, à mon sens, à montrer la voie de la rébellion à ton peuple. Allons bon, tu n'avais pas pu le diriger durant la domination de Caudinae qui le mena au désastre.

Donc tu sais ce que je pense maintenant de ton geste. Il fut inadmissible. Il fut un symbole de rébellion à mes yeux. Il fut le geste d'un homme acculé et poursuivi et non pas le geste héroïque d'un soldat. Tu as su avoir la confiance de ton défenseur et du Consul? Soit. Cependant tu n'as pas su respecter cette confiance pas plus que ton peuple ne sut être vaincu pour pouvoir alors progresser vers le modèle Républicain de Rome. Et les conséquences en sont graves pour eux comme pour toi.

Si ton geste peut être considéré comme symbole, ce procès se doit d'être un symbole lui aussi. Déjà tu sais qu'il est immérité, ne serait ce que selon notre droit. Tu aurais déjà du être exécuté, ta famille envoyée en esclavage, ta femme écartelée comme le fut dame Copernicus, tes enfants égorgés comme furent égorgés les enfants des victimes des pillages Samnites.
Mais là tu aurais eu ce que tu cherches. Tu aurais pu te baser la dessus pour présenter notre cité comme aussi barbare que vous.

Nous ne nous montrerons certainement pas aussi détestables, aussi vils, aussi peu valeureux. Notre Loi sacrée ne s'applique pas à toi mais j'ai décidé de faire l'application de l'esprit de la Loi, pour que la Loi même soit magnifiée et que l'on puisse dire que la Justice Romaine sait se transcender dans les intérêts supérieurs de la vertu. L'on pourra dire que contrairement à la peuplade vaincue que sont les Samnites, les Romains ont pu appliquer une sentence de Justice et de paix à un homme qui agit dans l'infamie et l'outrage. Infamie de par la ruse dont tu fis preuve, outrage par manque de respect envers les autorités de Rome.

Donc ma sentence en tant que juge est que toi Campanae, tu es condamné à l'exil et à l'infamie. Tu n'auras pas le droit ne serait ce que de résider sur le sol de notre République sacrée. Je t'ôte ainsi toute possibilité de devenir un symbole pour ton peuple, tu en deviens un élément honteux qui n'aura plus jamais la possibilité de les exhorter. Que ton peuple apprenne la paix désormais, car j'ai ainsi montré la magnanimité du jugement de Rome. Que ma longanimité soit ta malédiction : car là où tu as cru pouvoir agresser Rome, là ou tu as cru pouvoir mettre entre Rome et le Samnium une inimitié, Rome t'a répondu selon sa Loi et selon la volonté de paix. Que la paix règne sur le Samnium notamment sous la Gouvernance du Sénateur Barrezus mais que la honte et l'infamie soient sur ton nom, toi qui faillis la briser Campanae.

Tu es donc condamné à l'exil et à l'infamie.

Ce jugement devra être présenté aux Dieux pour leur validation, nous qui avons une justice supérieure à la justice du sang.

Bustos se rassied, le visage marqué par la fatigue et la dureté de sa voix trahit son énervement, sa déception et sa lassitude

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CARNEUS Tiberius
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

Primus n'avait pas même osé de quitter sa place alors que le Préteur se retirait pour quelques instants, de peur de rater un jugement qu'il pouvait sentir d'une grande importante.

Lorsque le Préteur Bustos revient, il se redresse et tend l'oreille, cherchant à ne rien manquer du discours et de la condamnation.

Le jeune homme, qui porte la toge virile depuis peu, apprend.


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Ti. Carneus Oceanus (dit "Le Navarque"), 49 ans,

Navarque de la Zone Ouest 372, Navarque Maximus 373-374.
Tribun de la Plèbe 369-371,
Navarque 358-362, Navarque Maximus 363, puis Navarque de la Zone Ouest 364-367,
Navarque-Adjoint 347-358.
°Légat-Adjoint lors de la campagne 364 au Samnium. Surnommé "l'Avatar" par ses hommes°

-Cum hoc aut in hoc redi-
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VANSTENUS Julius
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Posté le : Jeu 22 Juil 2010    

Stoïque, le consul écoute le jugement. Il ne sourcille pas, même quand son nom est cité...

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